Autres films sur ce thème
Première prise
Claudie Lévesque
Le rêve éveillé d’un jeune pêcheur, surpris par la nature de sa prise. Première prise a été réalisé dans le cadre de la 3ième édition du Festival Montréal Super8 dont la règle très simple consiste à tourner une seule bobine de 50 pieds, sans montage a posteriori. L’année 2005 avait pour thème «Rêver en kodachrome» et rendait hommage à cette pellicule notoire, suspendue la même année.
Premiers jours
Clorinda Warny
Film d’animation créé de dessins pastels, Premiers Jours nous trace le cycle complet de la vie, de la naissance à l’âge adulte, en quatre saisons, et à travers l’évolution de paysages terrestres devenus corps humains.
Prends-moi
Anaïs Barbeau-Lavalette
Un préposé aux bénéficiaires d’un centre pour personnes ayant des handicaps physiques est confronté à ses principes lorsqu’il doit accomplir une tâche particulière.
Prends-moi
Chloé Sirois
Au-delà des tabous et d’une vision pornographique, Prends-moi explore l’univers BDSM dans son authenticité.
Près de nous
Sophie Bissonnette
Célébration de la naissance et de la force des femmes, PRES DE NOUS ouvre les portes d’une maison de naissance pour y découvrir l’approche et la pratique des sages-femmes au Québec. Tourné en 1995 à la Maison de naissance Côte-des-Neiges à Montréal, avec l’équipe de sages-femmes dont Isabelle Brabant, le film fait vivre, sur une période d’un an, l’accompagnement des sages-femmes avec des femmes enceintes et leur famille tout au long de la grossesse et de l’accouchement. À travers des séquences d’une grande intimité prises sur le vif, que ce soit les rencontres prénatales individuelles ou en groupe, ou encore les réunions d’équipe, on découvre le travail et les préoccupations des sages-femmes, ainsi que les craintes et les espoirs des futurs parents. Enfin, on assiste aux accouchements et aux premiers instants d’émerveillement au contact d’un nouveau-né.
Primal
Caroline Hayeur
Primal est un webdocu interactif, est une expérience collaborative sur l’expression de nos sentiments les plus vifs, à travers la fabrication d’un cri éternel collectif. Depuis l’enfance, nous exprimons certaines de nos émotions les plus puissantes par le cri. Il s’agit de l’expression la plus primale puisqu’elle surpasse le langage, et peut traduire la joie comme la colère, la peur comme la surprise. Nous crions avec passion et haine. Nous crions pour nous défouler, pour appeler à l’aide. Le cri est un véhicule brut, cru et primitif des sentiments violents qui nous habitent. Il est l’exutoire qui nous permet de canaliser ces énergies qui nous dépassent parfois nous-mêmes. Primal lance donc le défi aux participants de se laisser aller en criant sans retenue et d’utiliser cette énergie afin de créer une oeuvre artistique collaborative. Les internautes peuvent aussi explorer en profondeur les réalités de jeunes crieurs argentins et canadiens à travers des portraits vidéo.
Primas
Laura Bari
Primas dresse le portrait touchant des cousines Rocío et Aldana, deux adolescentes argentines qui, après avoir subi des actes de violence ayant abruptement mis fin à leur enfance, se libèrent du spectre de leur passé. Sillonnant l’Argentine et Montréal, les jeunes filles entrent dans l’âge adulte par le biais d’expériences révélatrices telles que l’apprentissage de la danse, du mime, du théâtre, du cirque et des arts visuels. Leur corps devient alors l’expression de leur imagination, de leur point de vue unique et de leur résilience sans faille.
Pris au piège
Danièle Lacourse
En 1994, le plus important exode des temps modernes heurtait la conscience de la communauté internationale: deux millions de Rwandais quittaient leur pays, fuyant la guerre et le génocide. Un nom résumait cet exode: Goma, au Zaire, où 3,000 personnes par jour allaient mourir du choléra en juillet 1994. Ce film présente le portrait saisissant d’une communauté de réfugiés rwandais et de leur représentant, aujourd’hui emprisonné après son retour sur sa colline. Il décrit aussi l’impasse de l’aide humanitaire qui, à Goma, nourrit les tueurs et renforce leur emprise sur les réfugiés.
Prisonnier 9157
Emmanuelle Vandycke
En 1944, le chirurgien belge Georges Boogaerts, prisonnier politique au camp de concentration du Struthof, tente tout pour aider et soigner les autres prisonniers à l’infirmerie. Il devient un témoin clé d’expériences médicales nazies et de crimes secrets commis au block du crématoire.
Prisonniers de Beckett
Michka Saäl
Le documentaire retrace l’histoire vraie de cinq détenus de Kumla, prison de haute sécurité en Suède qui, grâce à Jan Jonson, acteur et metteur en scène de théâtre, répètent la pièce En attendant Godot. Le jour de la première, trois cents spectateurs font un triomphe aux comédiens. Des célébrités du théâtre ont fait le déplacement et s’enthousiasment. L’expérience vient aux oreilles de Samuel Beckett, qui demande à rencontrer Jan Jonson. La troupe reçoit des offres de plusieurs théâtres suédois. Malgré des réticences, la direction de la prison autorise les comédiens à partir en tournée. Sur la route, les détenus redécouvrent le plaisir d’aller et de venir, de respirer les parfums de la rue. Le retour à la prison n’en est que plus dur…
Prisons sans barreaux
Nicole Giguère
Isabelle Hayeur
Nous baignons dans un environnement saturé de produits chimiques et de champs électromagnétiques. Les effets de ces expositions massives sont ressentis par un nombre croissant de personnes, dont Isabelle, Kathya, Jean-François, Sylvain et Jayden. Une incursion dans l’univers méconnu de l’hypersensibilité environnementale.
Privé
Sophie B. Jacques
Après avoir été religieuse pendant de longues années, une femme décide de trouver l’homme de sa vie.
Professor Norman Cornett : ‘Since When Do We Divorce The Right Answer From An Honest Answer?’
Alanis Obomsawin
Long métrage documentaire sur Norman Cornett, professeur à l’Université McGill, qui s’est acquis au fil des ans l’affection et le respect de beaucoup d’étudiants avec ses méthodes non conventionnelles. Manifestant une rigueur intellectuelle incontestable, il aborde les sujets les plus variés : soins palliatifs, improvisation en jazz, Premières nations, etc. Congédié en 2007, il est le protagoniste d’un hommage senti d’Alanis Obomsawin, figure marquante du cinéma autochtone que l’éducation et la jeunesse intéressent depuis longtemps.
Projet en vie
Marie Brodeur
Série de 12 capsules sur l’Herboristerie au Québec, avec Jonathan Léger-Raymond, herboriste thérapeute (GHQ).
Pulse
Sara Ben-Saud
PULSE est une série de variétés en 13 épisodes qui capture la relation indestructible entre les peuples autochtones du Canada et l’art de la danse. Nous verrons que les danseurs autochtones révolutionnent l’art du mouvement à travers les traditions et les styles de danse. Avec des visuels époustouflants, des personnages captivants, des histoires uniques et des performances à couper le souffle, PULSE est une série de variétés comme aucune autre. Chaque danseur a un parcours. Chaque danse véhicule une émotion. Ensemble, ils détiennent le pouvoir d’unir et de guérir. Nous sommes tous connectés au rythme. Chaque cœur a un battement. Chaque battement a un cœur. Nous pouvons tous le sentir en nous…. Le pouls (The Pulse).
Pure… Poutine?
Magenta Baribeau
Est-ce que l’identité québécoise est plus que le sirop d’érable, la poutine et le pâté chinois?
Qu’est-ce qu’on fait ici?
Julie Hivon
Yan, Simon, Roxanne, Maxime et sa sœur Lily, des amis de longue date, sont au début de la vingtaine. L’âge où tous les espoirs sont permis. Et voilà qu’un bel après-midi d’été, Yan est victime d’un fatal accident de voiture. Le jeune homme meurt sur le coup. Le reste de la bande est sens dessus dessous. Quatre amis ballottés de tous côtés, à la recherche de nouveaux repères, d’un sens profond à donner à leur existence. Tous les quatre… ensemble…
Qu’un au revoir
Geneviève Poulette
Dans une lettre, un grand-père se confie à son petit-fils, en se remémorant le débarquement de Normandie en 1944.
Quand j’aurai vu les îles
Catherine Martin
Dans la collection du National Parks Project. Film-essai documentaire au Parc National de l’Archipel des îles de Minage (Québec).
Quand les étrangers se réunissent
Marie Boti
Chaque année, des milliers de travailleuses migrantes, majoritairement philippines, entrent au Canada en tant qu’employées de maison. Laissant derrière elles conjoints et enfants, elles travaillent dans l’isolement pendant des années et envoient presque tous leurs gains dans leur pays d’origine dans l’espoir qu’un jour leurs familles viendront les rejoindre. Quand les étrangers se réunissent pose un regard sur ce qui se produit après des années de séparation et de sacrifices. Devenus de véritables étrangers, les membres de ces familles doivent entreprendre la difficile reconstruction des liens affectifs tout en s’adaptant à un milieu qui est souvent peu accueillant. Au sein de la communauté philippine du Canada, plusieurs groupes et organismes militent activement en faveur des droits et du bien-être des travailleurs migrants. Tourné à Toronto, à Montréal et aux Philippines, ce portrait sincère et touchant présente trois familles sur la voie de la guérison.
Quand les étrangers se réunissent
Marie Boti
Chaque année, des milliers de travailleuses migrantes, majoritairement philippines, entrent au Canada en tant qu’employées de maison. Laissant derrière elles conjoints et enfants, elles travailent dans l’isolement pendant des années et envoient presque tous leurs gains dans leur pays d’origine dans l’espoir qu’un jour leurs familles viendront les rejoindre. Quand des étrangers se retrouvent pose un regard sur ce qui se produit après des années de séparation et de sacrifices. Devenus de véritables étrangers, les membres de ces familles doivent entreprendre la difficile reconstruction des liens affectifs tout en s’adaptant à un milieu qui est souvent peu accueillant. Au sein de la communauté philippine du Canada, plusieurs groupes et organismes militent activement en faveur des droits et du bien-être des travailleurs migrants. C’est en grande partie grâce à ces organismes que la plupart des familles viennent à bout d’obstacles qui, de prime abord, semblent insurmontables. Tourné à Toronto, à Montréal et aux Philippines, ce portrait sincère et touchant présente trois familles sur la voie de la guérison.
Quand les pouvoirs s’emmêlent
Yvonne Defour
Depuis deux décennies, dans plusieurs régions du monde, nous assistons à des rapprochements entre les pouvoirs politiques et religieux. Ce retour des valeurs traditionnelles cause, dans ces mêmes régions, des reculs importants des droits des femmes. Les femmes arabo-musulmanes ont vu leur liberté atteinte durement et leur place dans la société n’est plus comparable à celle du milieu du 20e siècle. Et sous des apparences de grande liberté, les droits des femmes de l’Occident subissent leseffets d’un fort vent traditionnaliste. Le documentaire « Quand les pouvoirs s’emmêlent », réalisé par Yvonne Defour, démontre ces faits dans un voyage initiatique vécu par l’acteur et activiste québécois Vincent Graton. Au cours de son voyage à Tunis, Paris, Washington et Montréal, des femmes et deshommes partagent avec lui leurs réflexions et leurs expériences. En bout de course et à travers les yeux de Vincent, le film fait le constat de la fragilité des droits des femmes pourtant durement acquis et de ce que nous sommes en train de préparer comme sociétés pour nos filles et nos fils.
Quand santé mentale rime avec code postal
Gabrielle Thouin
Gabrielle Thouin a été choquée d’apprendre que son père s’est fait refuser des soins en santé mentale il y a plusieurs années. La raison : son lieu de résidence. Gabrielle constate avec stupéfaction qu’encore aujourd’hui, des personnes n’ont pas accès aux soins parce qu’elles n’habitent pas au bon endroit. La tête pleine de questions, elle apprend comment et pourquoi l’accès à des services en santé mentale est régulé par le code postal.
