Autres films sur ce thème
L’errance invisible
Lise Bonenfant
Documentaire sur l’itinérance au féminin. L’itinérance qui me fascine n’est pas toujours apparente et ne prend pas nécessairement la forme d’un individu, mendiant ou dormant sur un banc public. Il s’agit plutôt de femmes qui ont erré d’institutions en logements précaires, elles ont habité chez des parents et des amis. Ces femmes sont fières et elles s’habillent convenablement dans des friperies de sorte qu’on ne les voit pas. Elles sont invisibles.
L’été c’est pas juste Noël
Guylaine Maroist
Au Québec (Canada) le 25 juillet, on célèbre Noël une deuxième fois dans l’année, avec une saveur estivale très particulière. Pendant les trois jours qui précèdent le Noël du campeur et jusqu’à sa célébration, nous suivrons cinq familles totalement différentes, mais toutes issues de la classe ouvrière. Au fil d’entrevues et de mises en situation, qui nous font voir les activités typiques du camping, nos personnages nous parlent de cette fête atypique qui célèbre l’esprit de Noël, de l’enfance et de la famille.
L’heure du thé
Lisa Sfriso
Cibelle à la recherche de son thé préféré. Un conte lucide sur le rapport au temps.
L’Histoire des infirmières
Martine Breuillaud
Documentaires sur l’histoire des infirmières au Québec.
L’Île aux oiseaux
Émilie Baillargeon
L’architecte Pierre Thibault et son équipe quittent l’atelier pour aller à la rencontre des paysages qui deviendront leurs laboratoires de création le temps d’un été. Libérés de leurs contraintes habituelles et de la rigueur de leur pratique, ils transportent avec eux une simple structure de bois et se laissent guider par l’esprit des lieux.
L’Île de sable
Johanne Prégent
Manou 16 ans découvre un secret de famille qui la bouleverse, et sa soeur aînée qu’elle connaît à peine fait irruption dans sa vie.
L’immortalité en fin de compte
Pascale Ferland
En sillonnant les rangs des campagnes québécoises, on peut parfois repérer des architectures et des installations inhabituelles. Ces curieuses constructions sont l’oeuvre de gens sans éducation artistique, dominés par l’envie absolue de créer. Le film nous présente trois de ces créateurs. Confrontés aux jugements de leurs concitoyens, ils doivent vivre en marge d’une société qui cherche à tout prix à les isoler.
L’Imposture
Ève Lamont
Dans ce long métrage documentaire, des femmes qui se sont prostituées dénoncent la tendance actuelle à faire de la prostitution un métier « comme un autre ». Elles ont 22, 34 ou 48 ans, elles habitent Montréal, Québec ou Ottawa… Ces femmes, qui ont récemment quitté la prostitution ou qui tentent d’en sortir, mènent un âpre combat pour se réinsérer socialement et retrouver quiétude et sécurité. Dans ce long processus parsemé d’embûches, chacune cherche à reprendre le contrôle de sa vie, à retrouver son estime d’elle-même et à s’offrir une place au soleil.
L’invincible
Monique Crouillère
Oumar, un jeune malien vient passer un mois dans la famille de Céline dans un programme d’échange. Plusieurs chocs culturels attendent l’adolescent.Film destiné aux 8-12 ans des écoles canadiennes afin des les sensibiliser à l’interdépendance planétaire.
L’Océan vu du coeur
Iolande Cadrin-Rossignol
Marie-Dominique Michaud
Longtemps, l’Océan nous a paru inaltérable et inépuisable, mais l’impact de nos actions sur sa biodiversité et sa température est alarmant. Dans L’Océan vu du cœur, suite de La Terre vue du cœur, Hubert Reeves, entouré de scientifiques, d’explorateurs passionnés, nous propose de redécouvrir ce qui le menace et surtout, sa capacité de régénération phénoménale. Un hymne au Vivant, dans ce qu’il a de plus riche, de plus précieux et nécessaire à préserver si l’on veut survivre, parmi d’autres espèces, sur notre planète bleue.
L’Odyssée du volontariat
Anaïs Barbeau-Lavalette
7 courts métrages sur des ONG (Organisations non-gouvernementales) à travers le monde. Périple de quatre mois organisé à travers les 5 continents, et diffusé en 7 langues dans plus de cent pays.
L’OSM & Simple Plan, le concert pour les jeunes
Yanie Dupont-Hébert
On suit le groupe Simple Plan alors qu’ils se préparent à donner un concert en compagnie de l’Orchestre Symphonique de Montréal dans le cadre de leur fondation qui vient en aide aux jeunes défavorisés. Puis on assiste au concert. Ce spectacle de 120 minutes se veut le témoin d’un événement ayant réuni sur une même scène l’Orchestre Symphonique de Montréal et la formation montréalaise pop-punk Simple Plan, dans le but d’amasser des fonds au profit de la Fondation Simple Plan et des activités éducatives de l’OSM, le 20 septembre dernier. L’émission nous entraîne d’abord dans les coulisses du tournage, afin de permettre aux téléspectateurs de découvrir le processus de création qui a engendré ce spectacle exceptionnel, pour ensuite faire place à un concert unique et une performance mémorable présentant les chansons de Simple Plan magnifiées par le talent des musiciens de l’OSM.
L’outil n’est pas toujours un marteau
Sylvie Laliberté
Je voulais partager l’instrument de mon bonheur. C’est facile, c’est clair et c’est bien fait. J’espère que vous en profiterez. Et puis tout le monde a une étoile.
La basse cour
Michèle Cournoyer
Court métrage d’animation utilisant la technique de la rotoscopie et racontant l’histoire d’une femme qui reçoit un appel de son amant dans la nuit. Yeux fermés, mais phares ouverts, elle fonce en taxi le rejoindre. Parée de ses plus belles plumes, elle lui fait la cour, déterminée à aller jusqu’au bout d’une passion dévorante…
La beauté même
Monique Fortier
« Je me suis souvent demandé ce qui fait la beauté… » Ainsi parle Monique Miller qui personnifie dans ce court métrage documentaire la femme universelle, soucieuse de plaire depuis son enfance, vulnérable, selon les heures, aux regards des autres, à la torture de l’attente, à l’obsession des rides de demain. Ce film, qui essaie de cerner ce qu’est pour la femme cette beauté que tout un monde publicitaire lui propose comme but ultime, a été réalisé dans les années 1960. Il s’agit là d’un des premiers films à avoir été réalisé par une femme sur les femmes.
La belle apparence
Denyse Benoit
Une visiteuse de prison va accompagner un ex-détenu et l’aider à s’installer dans un appartement. Un flirt avec ce jeune homme l’entraîne sur une pente qui contrariera la famille de la visiteuse.
La Bête de foire
Isabelle Hayeur
Irène vit dans sa cage, Grégoire habite l’appartement. Les barreaux de fer constituent la condition de leur amour et sa limite. Grégoire est le sosie de Tania, femme décédée de son patron russe lors du siège de la ville rouge. Irène, hantée par Tania, saura-t-elle contrer la reproduction d’événements tragiques?
La bombe au chocolat
Sylvie Rosenthal
Une chef cuisinière renommée souffre de boulimie d’information. Lors d’un lancement de livre, elle rencontre l’auteur, un ex-boulimique d’information. Ce tête-à-tête sera révélateur pour la chef qui découvrira sa vraie nature.
La bombe économique
Ève Lamont
En avez-vous assez des coupures de l’État dans les programmes sociaux? Les organisations populaires opposées à ces politiques où l’armement est privilégié au détriment du bien-être collectif expriment leur désaccord.
La canadienne-française
Sarah Pellerin
Thomas Stein, un francophile torontois en visite à Montréal, tombe sous le charme d’une Montréalaise qui s’est fait voler ses draps dans une buanderie. Ensemble, ils cherchent le voleur.
La cantine afghane
Geneva Guérin
En 2010, ils étaient près de 500 en exil vivant dans des campements de réfugiés à travers la capitale française. Tandis que l’état resserre les vis pour ses réfugiés politiques, des groupes, majoritairement de jeunes hommes, vivant dehors, mènent une existence clandestine et précaire au pays du droit de l’homme. Ils sont charmants, intelligents et ne veulent que «goûter la vie». Ils sont Afghans, demandeurs d’asile à Paris, en France. Ce documentaire nous fait découvrir la Cantine afghane, une association co-gérer par des Français et des réfugiés afghans, qui préparent des repas et évènements culturels afghans dans divers endroits parisiens. Partager un repas, changer le regard. C’est au travers d’échanges culturels et de partage que la Cantine afghane espère créer du lien social entre la population française et les réfugiés politiques. Grâce à cet espace de rencontre, l’organisme tente d’intégrer les nouveaux arrivants tout en offrant aux parisiens la possibilité d’apprendre à connaître ces personnes.
La Capture
Carole Laure
Rose (20 ans) vit à Montréal. Elle ne ment presque jamais. Elle a une élégance naturelle et une sincérité que possèdent peu de filles de son âge. Pourtant, ni ses amis ni son amoureux ne connaissent son lourd passé chargé de violence familiale. Après deux ans d’absence, elle revient voir sa mère et son frère Félix (16 ans) dans sa banlieue natale. Rien n’a changé : la résignation de la mère, le frère en difficulté, et le père qui les terrorise. Elle décide d’intervenir dans leur vie.
La Casa del Nonno (La maison du grand-père)
Lisa Sfriso
Une maison brûle, des souvenirs refont surface. Un film intimiste sur le deuil et l’absence.
