Autres films sur ce thème
La Dernière fugue
Léa Pool
Adaptation du roman Une belle mort de Gil Courtemanche. Réunie pour le souper de Noël, la famille Lévesque débat de l’état de maladie avancée du patriarche. Atteint de la maladie de Parkinson, il demande à son épouse, son fils aîné et son petit-fils de l’aider secrètement à mettre fin à ses jours.
La différence n’a pas d’importance
Stella Goulet
Deux adolescentes nous confient le pourquoi et les conséquences de leurs choix vestimentaires excentriques.
La dissolution du paysage
Anne-Marie Bouchard
À l’aide de métaphores visuelles ludiques, le film propose une incursion dans un paysage intérieur, une plongée dans le subconscient, mélange de souvenirs d’enfances et de rêves récurrents, entre le surréalisme et l’automatisme. Un film de manipulation chimique et d’interventions directe sur pellicule, monté sur une musique originale improvisée par Lyne Goulet, Martien Bélanger et Fred Lebrasseur. Les improvisations sur pellicule ont nourri la musique, qui a ensuite nourri le montage et de nouvelles animations.
La double histoire d’Odile
Diane Beaudry
Odile, onze ans, n’aime pas l’école. Pour se consoler et se distraire elle s’est inventé un double. Doucement, à la faveur de quelques réussites, Odile reprendra confiance en sa capacité d’apprendre. Un film pour enfants qui sait allier le sérieux à la fantaisie.
La fabrique – une histoire de culture(s)…

Stéphanie Lessard-Bérubé
La fabrique – une histoire de culture(s)… soulève les enjeux des transformations sociales, culturelles et artistiques de la musique et du statut de l’artiste-musicien au Burkina Faso. Comment préserver les racines sociales d’un art tout en voulant participer à l’économie culturelle internationale? Un voyage musical au cœur du Burkina Faso urbain…
La fabrique du consentement: regards lesbo-queer

mathilde capone
Et si les communautés lesbo-queer avaient quelque chose à partager des singularités de leurs sexualités? À travers l’épineuse question du consentement, seize protagonistes de ces communautés prennent la parole. Existe-t-il une zone floue, un continuum entre consentement et agression? De quelles manières peut-on déjouer la culture du viol et innover en matière de consentement? Comment la notion d’agression a-t-elle été instrumentalisée historiquement pour exclure les femmes trans? Plongeant au coeur de leurs intimités, les protagonistes du film interrogent, se mettent en colère, rient, inventent d’autres possibles. Iel-le-s posent d’autres regards sur le consentement, à partir de l’expérience de leurs communautés marginalisées, de leurs sous-cultures et de leurs explorations.
La face cachée du baklava
Maryanne Zéhil
Le choc des cultures raconté à travers l’histoire de Houwayda, qui a épousé le mode de vie occidental, et de sa sœur Joëlle, qui est restée profondément Libanaise. Dans cette comédie de mœurs où s’additionnent rires, quiproquos et paradoxes se meuvent une horde de personnages québécois et libanais, aussi détestables qu’attachants, dont Pierre, le mari bobo de Houwayda, qui espère secrètement que son épouse ne s’affranchira pas davantage des valeurs traditionnelles qu’elle croit avoir abandonnées. Regard mordant et affectueux sur les Libanais de Montréal et sur les Québécois.
La Femme de l’hôtel

Léa Pool
Appelée à tourner un film dans sa ville natale, Montréal, une réalisatrice trouve l’inspiration chez une femme mystérieuse, Estelle David, qui erre dans un hôtel. S’inspirant de cette femme, la réalisatrice trouve la manière de mieux définir le rôle qu’elle est en train d’écrire pour la comédienne qui incarnera ce personnage dans son film.
La femme de mon frère

Monia Chokri
Pour Sofia, 35 ans, l’avenir n’a rien de joyeux. Sans emploi malgré un doctorat en philosophie politique, elle est enceinte et vit chez son frère. Pour ne rien arranger, ce dernier devient amoureux de sa gynécologue… Prix coup de cœur de la sélection Un certain regard à Cannes, La femme de mon frère dévoile tout le talent de réalisatrice de Monia Chokri. Comédie existentielle dopée au malaise et à l’humour physique, mise en scène avec un effet rétro aussi senti que maîtrisé, le film est porté par Anne-Élisabeth Bossé, dont l’énergie décalée fait des ravages dans ce personnage de femme névrosée et attachante.
La femme qui a vu l’ours

Joannie Lafrenière
Depuis 1980, Lucille Côté vit à Laterrière parmi une faune de plus de 250 animaux. Derrière sa tignasse argentée et son air candide, Lucille pratique un métier qui a longtemps été réservé aux hommes : la taxidermie. Inspiré par l’esthétisme des musées d’histoire naturelle, ce projet documentaire prend racine dans les forêts saguenéennes et s’intéresse avec sensibilité à une femme évoluant parmi les loups.
La fête des oiseaux
Johanne Fournier
L’émergence d’une fête populaire pour sauver un parc et une église qui allait devenir plus tard la salle de spectacles L’Anglicane à Lévis.
La fête des pères
Ayana O’Shun
Après le succès de son premier long-métrage Le Mythe de la Femme Noire, Ayana O’Shun nous présente La Fête des Pères. Ce documentaire saisissant explore le phénomène des pères absents dans les communautés noires, à travers le récit personnel de la réalisatrice et de femmes lumineuses et résilientes, du Canada et de la Guadeloupe. En grandissant au Québec, Ayana a été frappée de constater que la moitié des familles noires vivaient sans père en Amérique du Nord (en comparaison au cinquième des familles en moyenne). Quelles sont les raisons de cet état de fait? Est-ce que l’histoire des Noirs dans les Amériques influence la défection des pères? Quelles sont les conséquences de cette absence sur leurs filles, les femmes qu’elles deviennent, et la communauté en général? Ce documentaire est un appel à briser le silence. Il met en lumière le poids de l’héritage social et historique, les conséquences de choix de vie, les complexités de l’amour et de la liberté, ainsi que les espoirs de guérison et de renouvellement.
La fiancée de la vie

Carole Laganière
Un proverbe malaysien dit que la mort est la fiancée de la vie, que l’une et l’autre sont unies par une sorte de promesse. Inséparables. Pourtant, nous vivons dans une société où l’on éloigne les vivants des morts, où tout est mis en oeuvre pour minimiser l’impact de la mort sur les vivants. Ce refus d’affronter la mort nous amène tout naturellement, lorsqu’elle survient, à couvrir nos enfants d’un infini silence protecteur. Dans ce documentaire, la réalisatrice Carole Laganière évoque les silences de son enfance et donne la parole à des enfants qui ont vécu la mort d’un proche, qui se sont retrouvés un jour face à un «plus jamais» aussi injuste qu’inexplicable.
La fille du cratère

Nadine Beaudet
Femme territoire, Yolande Simard Perrault se voit comme le fruit des bouleversements telluriques qui ont frappé la région de Charlevoix, au Québec, voilà des millions d’années. Solide comme le bouclier canadien, elle est la fille du cratère né de la chute d’une météorite, d’où sa vitalité hors du commun. Le film trace le portrait de cette femme déterminée, à l’image d’un pays qui s’est créé dans la démesure. Grand amour de Pierre Perrault, qui délaissera tout pour vivre à ses côtés, elle sera la complice du cinéaste.
La fin de l’immigration?

Marie Boti
La Fin de l’immigration? révèle une tendance qui transformerait le Canada en une société où il y a des citoyens, avec tous les droits, et les autres. En comparant la situation des travailleurs et travailleuses étrangers temporaires avec celle de leurs propres parents, arrivés comme travailleurs non spécialisés au cours du dernier siècle, les cinéastes lèvent le voile sur un monde qui est aussi proche que le resto McDonald’s du coin. Et ils posent la question essentielle – est-ce le genre de société que nous voulons bâtir?
La fin des étés

Anne Claire Poirier
Dans ce court métrage de fiction, Marie (Geneviève Bujold) vit en plein cauchemar depuis l’accident de Bernard, son frère. Cramponnée de façon excessive à cet être handicapé, elle veut en assumer la charge. Étienne, son fiancé, n’a aucun goût pour le sacrifice. Il reproche à Marie de croupir dans son adolescence. L’amour l’emportera. Dans un geste définitif, Marie se libérera des liens qui la retenaient encore à son enfance.
La folle entreprise, sur les pas de Jeanne Mance

Annabel Loyola
Fascinée par le destin singulier de Jeanne Mance (1606-1673), dont le rôle majeur de cofondatrice de Montréal est resté dans l’oubli, la cinéaste décide de partir à la recherche des motivations qui ont poussé une femme ni veuve, ni mariée, ni religieuse au XVIIème siècle à partir vers l’inconnu et à se dépasser dans un contexte hostile pour fonder une ville il y a plus de trois siècles.
La Fontaine au bois, trois fables revisitées
Suzanne Guy
Docu-fiction sur des fables de Lafontaine recréées et actualisées, présentées aux enfants en théâtre de marionnettes.
La Forêt

Diane Obomsawin
Une forêt peuplée d’âmes et de bêtes descendant des mythes et légendes et de mes rêves. Adaptation monobande d’une installation composée de 3 films.
La fourmi et le volcan

Céline Baril
Une famille de petits commerçants chinois veut désespérément quitter Hong Kong avant son rattachement à la Chine en 1997. Ils tentent, mais en vain, d’émigrer au Canada. Un volcanologue d’origine chinoise, habitant l’Islande depuis quelques années, les invite à le rejoindre sur son île. Une correspondance et une relation toute particulière s’établissent entre lui et l’aînée de la famille. Tourné à Montréal, en Islande et à Hong Kong.
La grande amoureuse

Martine Asselin
Pourquoi serait-il mieux d’aimer une seule personne que plusieurs? C’est la question que pose Françoise Simpère, auteure et journaliste française. Mariée depuis plus de 30 ans, mère de deux enfants, elle a décidé qu’il était possible d’aimer au pluriel. Le film nous mène au fil de ses réflexions sur l’amour, la vie, et la beauté des rencontres. Résolument hors normes, «mais tout à fait normale», Françoise partage sa vie et fait réfléchir.