Autres films sur ce thème
L’odyssée d’Alice Tremblay
Denise Filiatrault
La célibataire Alice Tremblay mène une vie sans saveur et sans surprise, jusqu’au jour où elle est magiquement transportée dans un univers de conte de fées. Elle rencontre alors tous les personnages qui ont bercé son enfance, mais ceux-ci ont bien changé…
L’ombre
Catherine Martin
Inspiré du conte de fées littéraire du poète et auteur danois Hans Christian Andersen. L’ombre d’un jeune savant prend son indépendance et reparaît quelques années plus tard. Elle a fait illusion dans la société en se faisant passer pour un homme véritable, mais souhaite ne pas s’arrêter là et propose au savant de la suivre et l’aider dans son ascension. Devenu l’ombre de son ombre, le savant aura un dernier sursaut de dignité, trop tardif, et qui lui sera fatal.
L’Oratoire Saint-Joseph: miracles sur la montagne
Marie-Hélène Grenier
Regard privilégié sur l’évolution de la société québécoise à travers ce défi architectural.
L’ordinateur en tête
Diane Beaudry
Mi-fiction, mi-documentaire, ce film cherche à sensibiliser travailleuses et étudiantes au défi que leur pose le développement des nouvelles technologies. L’implantation des ordinateurs en milieu de travail laisse en effet entrevoir la disparition de plusieurs postes, notamment dans les emplois de bureau où les femmes représentent près de 80 pour cent des travailleurs. Afin d’inciter femmes et jeunes filles à redéfinir leurs projets de carrière en fonction des nouvelles technologies, le film ouvre la voie à de multiples pistes de réflexion tant sur l’informatique que sur la condition économique des femmes.
L’Université de Montréal: une naissance difficile
Marie-Hélène Grenier
Documentaire à caractère historique sur la plus grande université francophone d’Amérique.
L’Absent
Céline Baril
Paul Kadar, architecte et musicien, de passage à Budapest, fut pris d’un grand vertige en contemplant le Danube et s’y jeta. Ce film est le journal d’un bonheur partagé entre Paul, sa femme Françoise et Roland, leur jeune fils adoptif. C’est aussi l’histoire de Roland, plusieurs années plus tard, parcourant le monde pour épuiser ses souvenirs et tenter de compléter une partition de Paul, à demi-effacée, retrouvée sur lui après sa mort.
L’âme coincée entre deux morceaux de tôle
Laurence Turcotte-Fraser
Une femme seule dans une chambre, devant son miroir et sa vanité. Enfermée dans son propre monde d’images, elle n’entend pas la personne réelle qui s’approche d’elle.
L’Amour en pen
Manon Barbeau
Dans l’univers de la prison, L’Amour en pen donne la parole à des hommes qui, outre le fait d’avoir braqué, séquestré ou tué, partagent un point commun: une grande histoire d’amour.
L’angoisse de Barbastelle
Stella Goulet
Série Vidéotour 2. Un vampire attend avec angoisse le diagnostic de son médecin.
L’arbre aux branches coupées
Pascale Ferland
À Moscou, des gens âgés et pauvres tentent dignement de se bâtir un monde imaginaire, un espace identitaire créé dans la solitude. Suite à l’éclatement des structures sociales du pays, l’art devient pour ces laissés-pour-compte une véritable bouée de survie.
L’arbre qui dort rêve à ses racines
Michka Saäl
L’improbable amitié entre deux immigrantes à Montréal. L’une est Libanaise et fuit la guerre et l’autre, juive. Autour d’elles, des histoires d’exils et des moments de partage…
L’argent à tout âge
Stella Goulet
Série Vidéotour 2. Des enfants et des adolescents parlent de ce qu’ils feraient s’ils étaient riches.
L’armée de l’ombre
Manon Barbeau
Ce long métrage documentaire de la cinéaste Manon Barbeau donne la parole aux jeunes de la rue. Il bouscule les clichés habituels en donnant pour une rare fois la parole à ces laissés-pour-compte de la nouvelle génération. Soudainement, ces éternels coupables deviennent à leur tour juges du monde qui les entoure et ils nous renvoient une image surexposée de la détresse qui conduit tant de jeunes hommes à mettre fin à leurs jours.
L’art de l’allaitement
Johanne Fournier
L’accompagnement de La ligue La Leche pour aider les mères et les bébés en trois parties: La nature fait bien les choses, Un art qui s’apprend au jour le jour.
L’artiste dans son for intérieur
Helen Doyle
Danielle Marie Chanut crée ce qu’elle nomme ses livres et objets détournés… Après un court prologue avec l’artiste, Helen Doyle a littéralement plongé dans son univers fantasmagorique, détournant à son tour une douzaine de ses créations insolites. Comme un détective avec sa loupe, la cinéaste s’est attardée à poursuivre les traces de notre inconscient collectif à travers les mythes, les contes et les légendes. Comme Danielle Marie, elle a pensé qu’il valait mieux laisser parler la matière… et fouiller dans les interstices d’une page ou dans les fragments d’un coquillage rose, pour y déceler les secrets enfouis et les visions chimériques de l’artiste dans son for intérieur…
L’attente
Marie-Julie Dallaire
JSO piano solo: visuel pour la pièce musicale L’attente, Montréal, juin 2007
L’attrait infini de quelques secondes fragiles
Lucie Lambert
Essai-documentaire présentant l’expérience intérieure d’un cascadeur lors de l’épreuve du feu.
L’avenir des québécoises: des enjeux à préciser
Lise Bonenfant
Documentaire sur ce que veulent les femmes québécoises.
L’école à l’hôpital
Lysanne Thibodeau
Une leçon de courage, des enfants et leur professeurs, à l’hôpital.
L’école cendrillon
Geneviève Brault
Dans son documentaire L’école Cendrillon, la réalisatrice Geneviève Brault découvre que les coupures de budget obligent les écoles à quêter de l’argent pour couvrir des dépenses aussi élémentaires que les craies de couleur pour le tableau et les aiguisoirs à crayon. En Ontario, 46 % des écoles facturent les parents pour les cours d’éducation physique et 29% facturent pour les cours de musique. Quant aux enseignants, ils paient souvent de leur poche les fournitures scolaires. Selon la Fédération canadienne des enseignants, les profs dépenseraient 180 millions $ par année, de leur poche.
L’élue
Louise Lamarre
Jésus revient sur terre mais c’est une femme, Jessy. Ses disciples sont aussi des femmes. Dans ces conditions, répandre la «bonne nouvelle» devient un véritable cauchemar.
L’emploi du temps
Carole Poliquin
À travers la lorgnette d’un observateur du futur, le film pose un regard sur le travail en l’an 2000 et questionne le sens du progrès. À partir de différentes histoires illustrant l’évolution des conditions de travail et l’obsession de créer des emplois quels qu’en soient les coûts humains, sociaux ou environnementaux, le film illustre la nécessité de repenser la place du travail en tenant compte de la diversité des aspirations humaines. Il questionne au passage la société de consommation, le rôle des nouvelles technologies et la loi du profit maximal.
L’empreinte
Carole Poliquin
Notre rencontre historique avec les Premières Nations a-t-elle influencé l’identité québécoise? Un film qui jette un nouvel éclairage sur l’origine de nos comportements collectifs, sur ce qui fait de nous une société distincte.
