Autres films sur ce thème
La musique du Maroc (La symphonie du nouveau monde)
Geneviève Tremblay
La musique du Maroc avec l’artiste Hassan El Hadi.
La nageuse de la Place des arts
Hejer Charf
Une femme voilée se baigne à la fontaine de la Place des Arts à Montréal.
La nuit du 4 au 5
Rachel Graton
Une femme a été agressée. Elle a crié, réveillant ses voisins et mettant en fuite son agresseur. Cherchant à reconstruire la chronologie des évènements, elle doit naviguer entre souvenirs fuyants et amnésie momentanée.
La nuit verte du parc Labyrinthe
Anne Barth
Vidéo d’art d’après un texte de Nicole Brossard, cinq tournants : la vie, les questions, le pays, la mort, l’écriture…
La nuit, elles dansent
Isabelle Lavigne
La nuit, elles dansent est une chronique familiale qui plonge au cœur d’un clan de femmes où l’on se transmet le métier de danseuses de mère en filles depuis la nuit des temps. Peu à peu s’y déploie un quotidien en mouvance entre les inquiétudes face aux menaces du métier, les ruses pour tromper la réalité et les espoirs d’une vie meilleure. Au milieu du chaos, la douceur et la tendresse émergent parfois, et la vulnérabilité trouve un espace étroit pour exister. Comme des héroïnes de la mythologie populaire, ces femmes sont excessives, solidaires, dignes et ingénieuses. Tourné au Caire, La nuit, elles dansent dessine avec un lyrisme exempt de tout sentimentalisme un univers baroque insoupçonné et fascinant, où le spectateur pénètre tel un témoin privilégié.
Là où je dors – Luan
Eza Paventi
Portraits documentaires d’enfants de la francophonie à travers le monde. Luan habite dans un appartement en plein cœur de Montréal, avec son père, sa mère, et son grand-frère. Elle a une toute petite chambre très colorée et un lit superposé. Elle adore faire de la musique et s’amuser avec ses amis.
Là où je suis
Myriam Magassouba
Durant un rude hiver abitibien, une adolescente vit le deuil de sa meilleure amie décédée dans un accident de voiture
Là où je vis
Sarah Baril Gaudet
Là où je vis est une histoire faite de solitude et de vent, racontée avec la poésie de la toundra du Nunavik et les mots de la jeune Martha.
La Palabra desenterrada (Le pays hanté)
Mary Ellen Davis
Au Guatemala, deux destins se croisent lors d’un voyage de retour : Mateo Pablo, survivant maya d’un des nombreux massacres perpétrés durant la récente guerre civile, et Daniel Hernández-Salazar, artiste et photographe guatémaltèque dont l’oeuvre scrute et dénonce les séquelles de la violence. Voyageant ensemble vers les hautes terres, ils visiteront le site jadis occupé par la communauté maya de Petanac. C’est à cet endroit que la vie de Mateo a basculé en 1982 lorsque l’armée guatémaltèque a torturé et assassiné sa famille et ses voisins, ne laissant derrière elle qu’un village en cendres, anéanti.Aujourd’hui, la mémoire persiste. Dans les communautés mayas, les survivants se rassemblent autour de fosses creusées par des équipes légistes. Les archéologues déterrent patiemment les disparus, loin des usuels trésors de l’ancienne culture maya. Les ossements, mis à jour, racontent en silence leur propre histoire d’agonie et de terreur. s.-t. anglais: Haunted Land
La part de Dieu, la part du diable
Danièle Lacourse
Ce film décrit la descente aux enfers du seul missionnaire canadien qui a refusé de quitter le Rwanda et a vécu toute la tragédie au milieu de ses paroissiens. Trois mois après le génocide, le Père Claude Simard est brutalement assassiné. En poursuivant l’enquête sur ce crime, ce documentaire révèle les nouveaux cauchemars vécus par les Rwandais, et présente un portrait saisissant du rôle de l’Église et de l’aide internationale. Un regard critique sur le rôle du Canada dans ce pays.
La Passion d’Augustine
Léa Pool
Dans les années 1960 au Québec, Mère Augustine dirige un couvent catholique québécois qui abrite une école de jeunes filles. Passionnée de musique, elle a donné aux cours de musique une grande place dans l’enseignement des pensionnaires. Le calme du pensionnat est soudainement brisé par l’arrivée en cours d’année de la nièce de Mère Augustine, Alice Champagne, une pianiste brillante mais une élève turbulente. Et, pour ne rien arranger, le pensionnat est menacé par l’ouverture au Québec de nombreuses écoles publiques gratuites. Mais les sœurs ne comptent pas rester oisives face à la situation…
La passion de Victorin
Nicole Gravel
Évocation de la jeunesse et de la passion du jeune enseignant de 18 ans, Conrad Kirouac, pour les 12 premières plantes qu’il découvre dans le boisé de son collège, alors qu’il est futur fondateur du Jardin Botanique de Montréal et auteur de la Flore Laurentienne.
La passion en huit temps
Lisa Sfriso
Portrait de huit femmes agricultrices passionnées de leur métier.
La passion selon Gabriel
Sylvie Groulx
Dans un film en forme de fugue musicale, nous allons à la découverte de Gabriel Gascon, l’homme, le comédien, le camarade de jeu, comme on aborde un album d’images et de paroles. Ce métier, que Gabriel Gascon a tenu à porter à un point de grande incandescence, il l’incarne avec une authenticité et un talent qui nous sont transmis grâce à une série de photos de famille, de films d’archives et de petites mises en scène soignées.
La Pastèque au Musée: la fabrication
Anna Lupien
Quinze bédéistes se sont inspiré·es des œuvres de la collection du MBAM pour créer des planches originales. Ce documentaire ludique nous fait découvrir leur processus de création et nous propose un regard neuf et amusé sur les œuvres du Musée.
La peau du Temps
Marie Brodeur
Vidéo d’art inspiré de l’œuvre de Giuseppe Archimboldo, peintre italien de la Renaissance reconnu pour ses portraits fantaisistes composés avec des fruits, des fleurs ou des poissons. Sur une version travestie de la chanson Avec le temps de Léo Ferré.
La peau et les os
Johanne Prégent
La peau et les os nous introduit en douceur dans le monde de l’anorexie et de la boulimie. Les héroïnes de ce film ont en commun leur jeunesse et leur charme… Ainsi qu’une terrible tendance à vouloir disparaître. Pourquoi?
La peau et les os, après
Hélène Bélanger-Martin
Documentaire percutant sur les troubles alimentaires dont on comprend mal l’ampleur stupéfiante et les causes complexes. La peau et les os – après… propose une réflexion étoffée sur ce mal-être qui frappe plus que jamais. Le film met en vedette Annie, Isabelle, Marlène, Hélène et la jeune Charlotte, 17 ans, qui ont accepté de revivre ces périodes de détresse. Un « cancer de l’âme » qui tue plus que toute autre maladie mentale.
La peau sauvage
Ariane Louis-Seize
Suite à la découverte d’un bébé python dans son appartement, le quotidien d’une jeune femme solitaire se métamorphose. Cette mystérieuse rencontre libère des pulsions trop longtemps enfouies et laisse enfin place à sa vraie nature.
La Pension des étranges
Stella Goulet
Suite à des déboires et pour s’occuper de sa mère malade, Maryse ouvre une pension pour personnes âgées. Tous se rallient pour protéger ce nid douille, tout en permettant à la jeune femme de trouver l’amour.
La petite fille d’avant
Hind Benchekroun
Enfant, Hind n’appréciait guère les chansons de la diva du monde arabe, Oum Kalthoum, que sa mère faisait jouer sans cesse sur le tourne-disque familial. Après 15 années vécues à Montréal, elle retourne dans son pays d’origine, le Maroc, et entreprend un dialogue avec des personnages clés, sa mère et sa cousine, deux femmes de générations différentes qui ont façonné son identité.
La petite maison
Catherine Veaux-Logeat
La réussite de 3 jeunes mamans arrivées en détresse à la Petite Maison de la Miséricorde où l’on accueille les femmes cheffes de famille mono parentales. Une institution fondée par Sœur Rosalie.
La petite martienne
Claudie Lévesque
Une petite martienne naît par erreur dans un oignon à tulipe noire. Elle décide d’envahir la terre à la recherche de l’amour… Réalisé dans le cadre d’un projet collectif soulignant le 15ième anniversaire des Films de l’Autre.
La phonie furieuse
Tahani Rached
Un film fantaisiste sur un « virus » à la mode : le walkman, lecteur de cassettes portatif avec écouteurs, grâce auquel on peut désormais s’extraire des limites de la vie quotidienne, « s’embuller » à plaisir dans un monde musical et glisser dans la danse de son imaginaire… Mais, cette « phonie furieuse », ô combien populaire, cacherait-elle quelques désagréments?