Autres films sur ce thème
La survie de nos enfants
Alanis Obomsawin
Dans ce long métrage documentaire, la cinéaste et artiste autochtone Alanis Obomsawin démontre la détermination et la ténacité du peuple mi’gmaq de Listuguj qui désire gérer lui-même les ressources naturelles de son territoire traditionnel. La survie de nos enfants offre une perspective contemporaine sur la lutte que poursuit le peuple mi’gmaq et sur sa victoire définitive, dont le point culminant est le « Prix pour la rivière la mieux gérée » accordé à la communauté par le gouvernement même qui refusait de reconnaître ses droits traditionnels.
La table
Izabel Grondin
Un homme se présente au domicile d’un potentiel employeur pour répondre à une offre d’emploi. Ce qu’il ignore c’est que le job commence dès qu’il entre dans la maison…
La tache
Émilie Baillargeon
Un femme est prête à tout pour faire disparaître une mystérieuse tache de sang sur le tapis de son salon.
La Terre vue du coeur
Iolande Cadrin-Rossignol
Autour d’Hubert Reeves et Frédéric Lenoir, des scientifiques, auteurs et artistes nous interpellent : la biodiversité est aujourd’hui menacée. Si certains humains sont à l’origine de la crise, d’autres, de plus en plus nombreux, s’y attaquent à bras le corps et créent des solutions. Ensemble, dans ce film dédié aux générations futures, ils nous rappellent à quel point le vivant sous toutes ses formes est un fascinant et touchant mystère… qu’il ne tient qu’à nous de préserver !
La tête contre le mur
Halima Elkhatabi
Ils s’appellent Lucia, Sergio, Michaela, Yael ou Tamar. Ils sont israéliens. Mais ils ont tous aussi un rêve en commun: celui de voir l’occupation des territoires palestiniens par les forces israéliennes cesser. Devant la caméra de Halima Elkhatabi, à l’ombre du mur de séparation en Cisjordanie, ces Israéliens dissidents racontent la violence réelle et symbolique subie chaque jour. Mais ils révèlent aussi la collaboration des Israéliens et des Palestiniens et la détermination qui anime leur combat sans armes. Nourri à l’espoir, La tête contre le mur offre un point de vue unique sur cette situation, à mille lieues des images sensationnalistes dont nous sommes abreuvés. Simplement pour croire qu’un changement est encore possible.
La théorie du tout
Céline Baril
La théorie du tout navigue entre les gens et les paysages, entre la parole et le territoire. Les paysages, évocateurs, nous disent beaucoup dans leur présence muette. Les gens, invités à nous à parler d’eux-mêmes, de leur lien au monde, nous entretiennent du sol, du sous-sol, de la forêt, du fleuve, de ce tout qui les détermine.
La tirelire
Stella Goulet
Un petit garçon casse sa tirelire tout en rêvant à ce qu’il va pouvoir se procurer avec les sous. Mais la réalité est différente de ses attentes. Il trouvera une solution originale.
La tradition de l’orgue au Québec
Iolande Cadrin-Rossignol
La longue présence de la musique classique au Québec.
La Trame des Gestes
Isabela Motta Cardoso
Dans un sentiment de communion avec la nature, une herboriste rumine la pratique de faire de la corde à partir de fibres végétales. Elle se connecte à ses ancêtres à travers ses gestes, expérimentant le corps et la nature dans une relation profondément connectée.
La traversée
Ève Saint-Louis
Après un an d’absence, Chantale, qui étudie désormais à Paris, décide de rentrer à Québec, chez sa mère, pour y passer les fêtes de fin d’année. Contre toute attente, son père, avec qui elle a une relation tumultueuse, propose de venir la chercher à l’aéroport de Montréal pour qu’ils fassent le chemin ensemble. Hésitant à le revoir, elle accepte tout de même sa proposition.
La traversée du salon
Geneviève Albert
Après un séjour dans un centre d’aide pour alcooliques, Céline tente de réinventer sa vie.
La Turbulence des fluides
Manon Briand
Alice, une sismologue travaillant au Japon, est forcée de revenir au Québec pour tenter de résoudre un phénomène étrange : depuis une semaine, dans une petite baie éloignée du nord du Québec, la marée s’est arrêtée. En mettant les pieds à Baie-Comeau, l’enquête de la scientifique prend une tournure imprévue. L’endroit est insupportable d’humidité, les gens ont des comportements loufoques, une petite chinoise est somnambule toutes les nuits et le numéro de téléphone de Marc, séduisant pilote d’avion-citerne, est arraché de tous les bottins téléphoniques de la ville. Pour élucider une énigme impossible, Alice devra apprendre à oublier la science et faire plutôt confiance à ses sentiments.
La vallée des larmes
Maryanne Zéhil
Marie (Nathalie Coupal), une éditrice montréalaise spécialisée dans les témoignages de survivants de conflits internationaux, reçoit de manière anonyme le récit distillé d’Ali, un jeune Palestinien qui a grandi dans un camp de réfugiés au Liban. Bouleversée par la mission qui lui est assignée, Marie commence un voyage dans le passé. Et c’est au Liban, dans un petit village, au coeur d’une culture sanguinaire dont Marie ignore les enjeux sournois, que se trouve, au bout de son périple, la clef de toutes les énigmes.
La veille
Christine Chevarie
Marguerite Paquin vit dans une résidence pour aînés où 14 soeurs de sa communauté religieuse sont décédées de la COVID-19. Le film nous mène de la grandeur des paysages de la Côte-Nord, où Marguerite a travaillé pendant 47 ans, jusqu’au confinement de sa chambre actuelle, où elle trouve une forme de liberté par la prière et une solidarité inébranlable pour ses consœurs souffrantes.
La vidéo, à part et… Entière: Helen Doyle
Martine Asselin
3e d’une série de 13 émissions télévisées animées par Marie-Michèle Cron, historienne de l’art et critique en arts médiatiques. Rappel des débuts de Vidéo Femmes en compagnie d’Helen Doyle, réalisatrice et cofondatrice. Extraits de Chaperons rouges; Les mots / maux du silence; et Les tatouages de la mémoire.
La vie continue
Vanessa Boisset
Le cancer est une maladie qui nous concerne tous. De près ou de loin. Une tante, une amie, un père, un collègue, ou soi-même… Au Québec, en moyenne toutes les 8 minutes quelqu’un apprend qu’il est atteint d’un cancer. Femme, mère, et survivante du cancer, Vanessa Boisset va pour vous à la découverte des avancées les plus récentes et prometteuses en matière de dépistage, de traitement et de mieux-être patient pour six cancers parmi les plus mortels. Tous les espoirs sont permis!
La vie d’un héros
Micheline Lanctôt
La seconde Guerre mondiale vient tout juste de se terminer. Il reste au Canada des prisonniers de guerre capturés par les Alliés. Dans les Cantons de l’Est, Agathe et Bertin Chevalier, qui ont besoin d’aide sur la ferme, font appel aux services d’un prisonnier allemand de la base militaire voisine. C’est ainsi qu’Hanibal Walburg entre dans leur vie. D’abord méfiante, la famille Chevalier se laisse séduire par le nouveau venu. Celui-ci se rapproche en particulier d’Agathe, quelque peu délaissée depuis que son mari s’est lancé en politique. Des rapports troubles se nouent entre Agathe et Hanibal, qui rentre bientôt en Europe. Avec le temps, le jeune Allemand se transforme aux yeux de la famille en véritable mythe. Agathe continue de lui écrire et lui rend même visite dix ans après son départ. Puis le silence s’installe jusqu’à ce que, près d’un demi-siècle après la guerre, Hanibal revienne au Canada. Les retrouvailles se terminent en un affrontement qui ébranle sérieusement le mythe.
La vie est un simple rendez-vous
Éliette Aubin
À l’école Irénée-Lussier de Montréal, un groupe de jeunes ayant une déficience intellectuelle monte un spectacle qui sera présenté au Théâtre Denise-Pelletier en fin d’année. Une aventure exceptionnelle avec des personnages attachants.
La vie heureuse
Amélie Hardy
En cette époque d’angoisse et d’agitation, ce film explore les exutoires inusités dans lesquels s’apaisent les tourments du corps et de l’esprit. Dans un voyage méditatif au cœur de ces lieux analgésiques, cet essai documentaire dresse le portrait d’une société en quête de sens et de réconfort.
La vie heureuse de Gilles Z
Geneviève Albert
Un hommage à Gilles Carle, fabuleux et regretté cinéaste québécois.
La vie imaginée de Jacques Monory
Jennifer Alleyn
Depuis son atelier de la banlieue parisienne, le peintre Jacques Monory présente les toiles de sa prochaine exposition. Dans ce portrait intimiste, le septuagénaire, en paix avec la trace qu’il laissera, évoque au passage les obsessions de toute une vie. Au menu : monochromie, philosophie et révolvers.
