Autres films sur ce thème
Laissez-nous raconter
Kim O’Bomsawin
Les 11 premiers peuples au Québec et Labrador – Abénaki, Anishnabe, Atikamekw, Cri, Innu, Inuit, Kanien’kehá:ka (Mohawk), Mi’gmaq, Naskapi, Wendat et Wolastoqiyik (Malecite) – nous racontent, à leur manière et de leur point de vue, leurs visions du monde, leurs valeurs et modes de vie, leurs spiritualités, leurs mythes et légendes, leurs blessures et leurs espoirs. Pour ainsi enrichir le récit collectif, décoloniser l’Histoire et contribuer à l’avenir de la Terre-Mère. Épisode 1: Le territoire Épisode 2: L’identité Épisode 3: La spiritualité Épisode 4: La réparation
Laissez-nous respirer
Lisa Sfriso
Une réflexion sur la pauvreté en contexte d’austérité telle que vécue par des personnes analphabètes.
Larguer les amarres
Sandrine Brodeur-Desrosiers
Simon s’apprête à quitter sa vie d’insulaire pour commencer ses études secondaires sur la terre ferme. Un jour, alors qu’il joue sur la plage avec sa sœur, il trouve un petit bateau échoué sur la rive. C’est à travers la réparation du bateau qu’il apprivoisera son sort et décidera, ou non, de larguer les amarres.
Larguer les amarres
Johanne Fournier
Catherine, 21 ans, veut devenir cinéaste. Mais elle aime avant tout parcourir le monde pour savourer sa liberté. Johanne, 44 ans, est cinéaste de métier. Décidant de vivre plutôt que de filmer la vie, elle choisit de retourner en Gaspésie rejoindre son amoureux, alors que Catherine s’envole pour Vancouver et le Yukon. D’ouest en est, avec deux caméras en guise de stylos, sans équipe technique, les deux femmes entretiennent une correspondance cinématographique. Tour à tour cartes postales, courts reportages, billets griffonnés ou tableaux soigneusement élaborés, les lettres tissent la trame narrative du film. Il y est question de voyages, du métier, et de l’importance de vivre. À la fois toniques et tendres, ironiques et graves, les envois se croisent, porteurs de complicité heureuse et d’un manifeste plaisir de créer des images pour raconter cet été où fut tourné le premier film de la fille qui voulait faire le même métier que sa mère…
Larmes à feu
Lysanne Thibodeau
Étude exploratoire du matériel audio et vidéo accumulé lors de ma recherche avec trois des personnages dévoilés par leurs témoignages et non leur apparence.
Larry (iel)
Catherine Legault
L’univers intime de Laurence Philomène, jeune photographe trans non-binaire, se dévoile alors qu’iel est en pleine création de son premier livre, Puberty, une série d’autoportraits documentant sa transition hormonale. En parfaite harmonie avec la démarche autobiographique de l’artiste, Larry (iel) met en abyme la puissance cinématographique des images pop aux couleurs éclatantes de Laurence, qui partage sa réalité avec authenticité et vulnérabilité. Grâce à une incursion privilégiée auprès de sa famille et de sa communauté, le film explore les thèmes des identités de genre non-conformes, de la diversité des corps et des défis inhérents à l’affirmation de soi. Au-delà de la simple transformation individuelle, le film oriente son objectif vers une société en mutation et en évolution, qui grandit elle aussi. Célébrant ceux et celles qui refusent la conformité, Larry (iel) brosse un portrait lumineux et engagé de la multiplicité complexe et souvent méconnue des identités et des expériences trans et non-binaires, nous révélant ainsi l’une des voix les plus originales et inspirantes de sa génération et une icône de la communauté LGBTQ+.
Las Quimeras del diablo (Le songe du diable)
Mary Ellen Davis
De la danse folklorique des 24 Diables surgit une nouvelle perspective sur la réalité du Guatemala. Les Diables dévoilent un puissant antagonisme, qui surgit des temps modernes et de la mythologie. En guerre contre l’humanité, ils entament la «capture des âmes», escortés par la Mort qui décrète la fin du genre humain.Le Guatemala, un pays scindé entre autochtones et blancs, riches et pauvres, civils et militaires. Sur les plantations de coton, les autochtones ne gagnent que deux dollars par jour, et leurs enfants, moins de la moitié de ce montant. Oser protester, c’est risquer sa propre vie. Ce documentaire donne la parole aux Guatémaltèques.Embrassant lyrisme, réalisme et ironie, Le Songe du Diable sillonne l’univers paradoxal de ce pays. On y explore la beauté des paysages, les habitants et leur richesse culturelle, mais on s’y heurte aussi à des conditions de vie ingrates, au spectre omniprésent de la violence, et à un sentiment envahissant d’absurdité.
Las Rutas en febrero (Les routes en février)
Katherine Jerkovic
Sarah vient d’atterrir à Montevideo. Dans sa valise, il y a un carnet d’adresses jauni et un appareil photo numérique. Le lendemain, elle prend un bus de province qui roule toute la journée et qui la laisse dans un casse-croute en bordure de route. Là passe – ou du moins passait – le villageois qui fait la navette jusqu’au petit bled où la grand-mère de Sarah attend depuis des années…. Choc culturel, humour et tristesse façonnent ce film aigre-doux.
Laura Cadieux… la suite
Denise Filiatrault
Laura Cadieux reçoit en cadeau d’anniversaire des billets pour une croisière sur le fleuve St-Laurent et décide d’inviter toutes ses amies à l’accompagner. Mais voilà que madame Therrien, toujours aussi distraite, s’embarque par erreur sur un cargo russe.
Laura Laur
Brigitte Sauriol
Mystérieuse, multiple, insaisissable, qui est donc Laura Laur? Ses deux amants, Gilles et Pascal croient détenir la clé du mystère Laura, mais ne font que projeter en elle leurs propres désirs. Mais cette délinquante, qui provoque une telle fascination chez tous ceux qui l’approchent, demeure une énigme. Peu à peu se dessine le portrait d’une femme qui se donne et s’échappe, qui donne envie à tout le monde d’être vrai, d’exister. Librement adapté du roman éponyme de Suzanne Jacob, paru aux éditions du Seuil, France.
Lavée
Jeanne Carrière
Récemment séparée et nouvelle dans la ville, une mère de deux enfants tente de briser son isolement en appelant à des numéros de petites annonces sur le babillard d’une buanderie.
Lazyboy
Ayana O’Shun
Marie-Hélène, femme névrosée et distinguée, se trouve à son premier rendez-vous chez une psychologue réputée. Voulant prouver que dans le fond, elle n’a pas besoin de psy, elle ridiculise intérieurement tout dans le bureau du docteur mais à son insu, passe d’une éclatante supériorité à la plus plate déconfiture. C’est évident : elle aura besoin de se retrouver souvent sur le lazyboy du docteur!
Le 4125, rue Parthenais
Isabelle Lavigne
2 1/2 à louer, au mois, meublés ou non, Le 4125, rue Parthenais raconte l’histoire d’un immeuble à logements. C’est le portrait d’un lieu, tracé au quotidien.
Le baiser
Louise Lamarre
Éric, 14 ans, s’apprête à engouffrer son hot-dog lorsque la belle Sandra, la sœur de son meilleur ami, entre dans le restaurant et se cache sous sa table…
Le bien commun: l’assaut final
Carole Poliquin
L’eau, la santé, les gènes, plus rien aujourd’hui ne semble vouloir échapper au destin de marchandise. Face à la voracité des marchands, qu’adviendra-t-il de la notion de bien commun qui est à la base de toute vie en société?
Le bout du monde
Marie-Geneviève Chabot
Parties sur un coup de tête, sur un coup de vent, sur le pouce, les deux Marie veulent se rendre jusqu’au «boute du boute». De Montréal jusqu’en Gaspésie, on suit leur voyage, à la manière d’un journal de bord, marqué par les rencontres qu’elles font en chemin.
Le camp des 4 “sans”
Isabelle Hayeur
Ève Lamont
Des membres du FRAPRU (Le Front d’action populaire en réaménagement urbain) montent un camp sous la pluie, à Québec, où ils resteront durant trois jours, pour tenter de rencontrer Jean Charest et faire entendre leurs revendications.
Le cancer silencieux
Stella Goulet
Le cancer de l’ovaire est silencieux et extrêmement agressif. Ce documentaire veut informer les femmes pour leur permettre de le dépister le plus tôt possible. Approche des traitements appropriés.
Le Centre Flora Tristan
Hélène Bourgault
Le Centre Flora Tristan, ouvert en 1978, est le premier foyer d’hébergement pour femmes battues en France. Une quinzaine de femmes et leurs enfants y sont recueillis, seize permanentes y travaillent. On suit la vie du centre, son originalité, les démarches individuelles de femmes qui arrivent et qui en repartent.
Le chant d’une soeur
Danae Elon
Peut-on vraiment savoir ce qu’il y a dans le cœur d’un de nos êtres chers? Le chant d’une sœur est l’histoire intime et délicate de deux sœurs Marina et Tatiana, qui vivent séparées par le choix que Tatiana a fait en devenant religieuse. Marina, qui n’a à peine vu ou parlé à sa sœur depuis vingt ans, sent que quelque chose ne va plus. Elle se rend dans un monastère en Grèce pour tenter de retrouver la sœur qu’elle a perdue. Un événement inattendu mènerons toutes les deux sur un chemin qu’elles n’auraient jamais cru pouvoir entreprendre.
Le chant des étoiles
Nadine Beaudet
À travers la rencontre inédite de l’astronomie et de la musique, ce film porte un regard universel sur nos rapports au temps et à la mémoire. Gilles Beaudet, astrophysicien jovial et terre-à-terre, perd sa mémoire court terme, mais sait toujours raconter avec émerveillement la naissance des étoiles. Margo, sa compagne passionnée, dirige un choeur d’enfants. En parallèle, Bernard Malenfant, opérateur du télescope de l’Observatoire du Mont-Mégantic, partage avec sa fille Blanche, âgée de 5 ans, ce territoire magique, immense terrain de jeux et de liberté.
Le chant des ondes
Caroline Martel
Le Chant des Ondes nous plonge dans l’univers musical et humain d’un instrument électronique de musique aussi fragile que magique: les ondes Martenot. Le Martenot a une sensibilité si inouïe que près d’un siècle après son invention, musiciens, artisans et scientifiques cherchent encore à en percer les secrets. Parmi eux, le fils de l’inventeur Jean-Louis Martenot, la «Jimi Hendrix des Ondes» Suzanne Binet-Audet et Jonny Greenwood de Radiohead. Intégrant cinéma direct, archives inédites et une riche trame musicale et sonore, ce long-métrage documentaire évoque les origines et le fonctionnement des ondes Martenot pour mieux nous faire basculer dans leur mystique. Intrigue au présent sur fond d’histoire, Le Chant des Ondes poursuit le rêve inachevé de cet instrument qui nous mène au cœur même du mystère de la musique.
