Autres films sur ce thème
La vidéo, à part et… Entière: Helen Doyle

Martine Asselin
3e d’une série de 13 émissions télévisées animées par Marie-Michèle Cron, historienne de l’art et critique en arts médiatiques. Rappel des débuts de Vidéo Femmes en compagnie d’Helen Doyle, réalisatrice et cofondatrice. Extraits de Chaperons rouges; Les mots / maux du silence; et Les tatouages de la mémoire.
La vie continue

Vanessa Boisset
Le cancer est une maladie qui nous concerne tous. De près ou de loin. Une tante, une amie, un père, un collègue, ou soi-même… Au Québec, en moyenne toutes les 8 minutes quelqu’un apprend qu’il est atteint d’un cancer. Femme, mère, et survivante du cancer, Vanessa Boisset va pour vous à la découverte des avancées les plus récentes et prometteuses en matière de dépistage, de traitement et de mieux-être patient pour six cancers parmi les plus mortels. Tous les espoirs sont permis!
La vie d’un héros
Micheline Lanctôt
La seconde Guerre mondiale vient tout juste de se terminer. Il reste au Canada des prisonniers de guerre capturés par les Alliés. Dans les Cantons de l’Est, Agathe et Bertin Chevalier, qui ont besoin d’aide sur la ferme, font appel aux services d’un prisonnier allemand de la base militaire voisine. C’est ainsi qu’Hanibal Walburg entre dans leur vie. D’abord méfiante, la famille Chevalier se laisse séduire par le nouveau venu. Celui-ci se rapproche en particulier d’Agathe, quelque peu délaissée depuis que son mari s’est lancé en politique. Des rapports troubles se nouent entre Agathe et Hanibal, qui rentre bientôt en Europe. Avec le temps, le jeune Allemand se transforme aux yeux de la famille en véritable mythe. Agathe continue de lui écrire et lui rend même visite dix ans après son départ. Puis le silence s’installe jusqu’à ce que, près d’un demi-siècle après la guerre, Hanibal revienne au Canada. Les retrouvailles se terminent en un affrontement qui ébranle sérieusement le mythe.
La vie est un simple rendez-vous
Éliette Aubin
À l’école Irénée-Lussier de Montréal, un groupe de jeunes ayant une déficience intellectuelle monte un spectacle qui sera présenté au Théâtre Denise-Pelletier en fin d’année. Une aventure exceptionnelle avec des personnages attachants.
La vie heureuse
Amélie Hardy
En cette époque d’angoisse et d’agitation, ce film explore les exutoires inusités dans lesquels s’apaisent les tourments du corps et de l’esprit. Dans un voyage méditatif au cœur de ces lieux analgésiques, cet essai documentaire dresse le portrait d’une société en quête de sens et de réconfort.
La vie heureuse de Gilles Z
Geneviève Albert
Un hommage à Gilles Carle, fabuleux et regretté cinéaste québécois.
La vie imaginée de Jacques Monory
Jennifer Alleyn
Depuis son atelier de la banlieue parisienne, le peintre Jacques Monory présente les toiles de sa prochaine exposition. Dans ce portrait intimiste, le septuagénaire, en paix avec la trace qu’il laissera, évoque au passage les obsessions de toute une vie. Au menu : monochromie, philosophie et révolvers.
La vie nous arrive
Yanie Dupont-Hébert
Catherine Genest
Lisa Sfriso
La vie nous arrive est une série documentaire humaniste qui nous fait découvrir des gens comme vous et moi, de partout au Québec et de tous les âges qui vivent un événement important pour eux.
La vie rêvée

Mireille Dansereau
La rencontre, le développement, la crystallisation de l’amitié entre Isabelle et Virginie, sont le noyau du film autour duquel se greffent images, rêves et fantasmes. Elles sont de tempérament différents : l’une est plus sensuelle et plus réaliste, l’autre est plus émotive et naïve. L’une plus dramatique, l’autre plus romantique mais elles se donnent confiance mutuellement. C’est un film sur les Images – la démystification des Belles Images et des rêves qui hantent l’esprit des femmes. Retour à l’enfance sans responsabilité (qui ressemble étrangement à l’état où on a tenu les femmes si longtemps – désir de trouver l’homme qui règlera tous les problèmes). Désir de se libérer de cette femme (la mère) qui empêche la jeune fille de rejoindre son homme idéal (le père). Ces images incrustées dans la psychologie inconsciente du monde féminin seront dans le film pour laisser place bien sûr à de nouvelles images.
La ville d’un rêve

Annabel Loyola
Montréal est née d’un rêve, celui de personnes qui croyaient en la possibilité de créer un monde meilleur en Nouvelle-France. Qui étaient ces gens? Quel idéal poursuivaient-ils et pourquoi? Les réponses se trouvent dans un manuscrit du XVIIe siècle qui, de toute évidence, serait les mémoires cachés de Jeanne Mance. Avec un regard original et personnel, la cinéaste revisite ce récit où le passé entre en résonance avec une volonté toujours d’actualité de créer un monde plus près de valeurs humanistes.
La violence ordinaire
Johanne Fournier
Observation des petites violences du quotidien qui nous minent.
La visite guidée

Martine Asselin
Quelque part dans le futur, un groupe de touristes fait une visite des plus instructives. De la science-fiction à saveur environnementale.
La voisine
Diane Poitras
La Voisine est une adaptation cinématographique d’une chorégraphie de Dulcinée Langfelder.
Labyrinthe atypique / Atypical Maze
Martine Asselin
Oeuvre collective bilingue de réalité virtuelle produite dans le cadre du projet « Dans la tête: une expérience immersive » avec l’Agence Topo (2017-2018). Cette oeuvre de déambulation interactive a été créée en collaboration avec un groupe de jeunes adultes autistes. Chaque participant bénéficiait de son espace dans cette «galerie» virtuelle et était libre d’y partager une de ses passions, ou encore d’exprimer une réflexion par rapport à l’autisme ou à son vécu. Un portrait de chacun à proximité de l’oeuvre permet d’en apprendre davantage à leur sujet.
Laila

Diane Beaudry
Laila Paattinen est une femme active. Fatiguée des emplois mal rémunérés, elle a suivi une formation de cinq mois en installation de cloisons sèches. Comme elle avait choisi un emploi non traditionnel pour les femmes, elle s’est heurtée à des résistances sur le marché. Elle a finalement résolu ses problèmes en ouvrant sa propre entreprise de pose de cloisons sèches. Un film utile pour les femmes à la recherche d’un emploi non traditionnel.
Laissez-nous raconter

Kim O’Bomsawin
Les 11 premiers peuples au Québec et Labrador – Abénaki, Anishnabe, Atikamekw, Cri, Innu, Inuit, Kanien’kehá:ka (Mohawk), Mi’gmaq, Naskapi, Wendat et Wolastoqiyik (Malecite) – nous racontent, à leur manière et de leur point de vue, leurs visions du monde, leurs valeurs et modes de vie, leurs spiritualités, leurs mythes et légendes, leurs blessures et leurs espoirs. Pour ainsi enrichir le récit collectif, décoloniser l’Histoire et contribuer à l’avenir de la Terre-Mère. Épisode 1: Le territoire Épisode 2: L’identité Épisode 3: La spiritualité Épisode 4: La réparation
Laissez-nous respirer
Lisa Sfriso
Une réflexion sur la pauvreté en contexte d’austérité telle que vécue par des personnes analphabètes.
Larguer les amarres
Sandrine Brodeur-Desrosiers
Simon s’apprête à quitter sa vie d’insulaire pour commencer ses études secondaires sur la terre ferme. Un jour, alors qu’il joue sur la plage avec sa sœur, il trouve un petit bateau échoué sur la rive. C’est à travers la réparation du bateau qu’il apprivoisera son sort et décidera, ou non, de larguer les amarres.
Larguer les amarres
Johanne Fournier
Catherine, 21 ans, veut devenir cinéaste. Mais elle aime avant tout parcourir le monde pour savourer sa liberté. Johanne, 44 ans, est cinéaste de métier. Décidant de vivre plutôt que de filmer la vie, elle choisit de retourner en Gaspésie rejoindre son amoureux, alors que Catherine s’envole pour Vancouver et le Yukon. D’ouest en est, avec deux caméras en guise de stylos, sans équipe technique, les deux femmes entretiennent une correspondance cinématographique. Tour à tour cartes postales, courts reportages, billets griffonnés ou tableaux soigneusement élaborés, les lettres tissent la trame narrative du film. Il y est question de voyages, du métier, et de l’importance de vivre. À la fois toniques et tendres, ironiques et graves, les envois se croisent, porteurs de complicité heureuse et d’un manifeste plaisir de créer des images pour raconter cet été où fut tourné le premier film de la fille qui voulait faire le même métier que sa mère…
Larmes à feu
Lysanne Thibodeau
Étude exploratoire du matériel audio et vidéo accumulé lors de ma recherche avec trois des personnages dévoilés par leurs témoignages et non leur apparence.
Larry (iel)
Catherine Legault
L’univers intime de Laurence Philomène, jeune photographe trans non-binaire, se dévoile alors qu’iel est en pleine création de son premier livre, Puberty, une série d’autoportraits documentant sa transition hormonale. En parfaite harmonie avec la démarche autobiographique de l’artiste, Larry (iel) met en abyme la puissance cinématographique des images pop aux couleurs éclatantes de Laurence, qui partage sa réalité avec authenticité et vulnérabilité. Grâce à une incursion privilégiée auprès de sa famille et de sa communauté, le film explore les thèmes des identités de genre non-conformes, de la diversité des corps et des défis inhérents à l’affirmation de soi. Au-delà de la simple transformation individuelle, le film oriente son objectif vers une société en mutation et en évolution, qui grandit elle aussi. Célébrant ceux et celles qui refusent la conformité, Larry (iel) brosse un portrait lumineux et engagé de la multiplicité complexe et souvent méconnue des identités et des expériences trans et non-binaires, nous révélant ainsi l’une des voix les plus originales et inspirantes de sa génération et une icône de la communauté LGBTQ+.