Autres films sur ce thème
La mallette noire

Caroline Monnet
Une fillette de huit ans et son jeune cousin endurent une expérience traumatisante lors de leur séjour au pensionnat pour enfants autochtones au Canada. Une nuit dans l’infirmerie d’un pensionnat pour enfants autochtones. Une fillette, un bébé qui hurle. Et les visites menaçantes de l’infirmière de garde et du médecin. Entre réalisme et cauchemar, une expérience traumatisante lors de leur séjour en quarantaine.
La médecine apprivoisée – Interactions médicamenteuses
Stella Goulet
Documentaire pour la série: La médecine apprivoisée. Comment empêcher l’interaction entre différents médicaments et quelles peuvent être les conséquences d’une mauvaise gestion des médicaments.
La médecine apprivoisée – L’hyperactivité enfantine
Stella Goulet
Documentaire pour la série: La médecine apprivoisée. Nous suivons un enfant atteint d’hyperactivité ainsi que ses parents. Conséquences de ce problème médical pour la famille et moyens d’améliorer les performances de l’enfant.
La médecine apprivoisée – Le cancer chez l’enfant
Stella Goulet
Documentaire pour la série : La médecine apprivoisée. Nous faisons la connaissance avec Marie-Ève, une fillette atteinte de leucémie. Nous la suivons dans ses traitements, tout en recevant les confidences d’adolescents et de parents qui vivent ou ont vécu cette expérience difficile.
La médiation culturelle – Créer ensemble

Marie-Claude Fournier
Quatre émissions de 30 minutes documentent des projets regroupés autour de quatre axes: Art, éducation et citoyenneté; Art et santé; Art et travail; Art et changement durable. On y découvre entre autres des initiatives du chorégraphe Pierre-Paul Savoie auprès d’enfants du primaire et de la photographe Caroline Hayeur au sein d’une chambre de commerce à Montréal, de l’École nationale d’apprentissage de la marionnette de Saguenay pour briser l’isolement des personnes éprouvant des problèmes de santé mentale ou encore du Musée de la civilisation de Québec pour des projets avec des personnes âgées. Culture pour tous, l’Université du Québec à Montréal, Canal Savoir et Télé-Québec se sont associés pour la production de cette série de 4 émissions télévisuelles consacrées à la médiation culturelle, champ d’action privilégié pour jeter des ponts entre l’art, la culture et la société.
La mélomane voilée

Hejer Charf
Une musulmane voilée, couchée au sol, écoute à n’en plus finir la chanson « I’m a fool to want you » de Billie Holiday. Dans notre époque indélicate, la résistance aux sens est une gloire à Dieu et le corps de La mélomane voilée hésite entre la sensualité et la retenue. Mais l’état amoureux échappe aux dogmes et la lascivité et le désir s’emparent de tout individu ô quand bien même contrôlé.
La mémoire tranquille

Naomie Décarie-Daigneault
Une meute d’enfants jouent dans une rue tranquille d’un quartier résidentiel bordé par une voie ferrée. Nous sommes à Cartierville, dans les années 60, en pleine Révolution tranquille. Mon père et ses frères et soeurs mènent la vie typique de la petite-bourgeoise canadienne-française qui émerge dans ces années-là: les étés au bord de la mer, les cigarettes fumées en cachette, la découverte du rock and roll, la crise d’Octobre… Au travers des événements phares qui jalonnent l’histoire du Québec se déroule une autre histoire, plus petite cette fois, celle de la famille et de ses drames ordinaires. Composé d’images d’archives et d’entretiens menés auprès des membres de ma famille paternelle, La Mémoire tranquille tente de démêler l’histoire familiale afin d’en déceler les traces agissantes en soi. Il s’agit d’un témoignage sur l’importance de la parole et de la mémoire pour se libérer de souffrances héritées des ancêtres.
La mer en soi
Clara Prieur
La mer en soi est une tentative de réminiscence, une réflexion sur notre connexion avec la mer en son absence. Immergée en plein hiver dans la ville de Montréal, la danse invoque le mouvement immuable et régénérateur de la mer, comme un rituel. Il s’agit de chercher l’apaisement qu’elle nous procure, mais aussi son imprévisibilité, sa fraîcheur, sa force revigorante et sa violence. Avec ce corps à corps entre nos souvenirs, nos fantasmes et la réalité, vient la satisfaction de renouer avec une partie fondamentale de notre identité.
La mer entre nous

Marlene Edoyan
Le récit nous transporte à Beyrouth, 25 ans après la fin d’une guerre civile sanglante. La Mer entre nous, nous plonge dans la vie de deux femmes fortes, Hayat et Wafaa. Alors qu’elles élèvent leurs propres enfants, elles font face au défi de transmettre à une nouvelle génération le lourd passé lié à cette guerre civile. Dans un monde qui est de plus en plus connecté, le film pose des questions difficiles afin de tenter de comprendre pourquoi les quartiers de Beyrouth semblent toujours divisés par d’invisibles frontières et si le pardon et la réconciliation sont possibles dans un pays toujours brisé par la religion et l’idéologie politique. Le film met un visage humain sur l’impact de la division sectaire, du nationalisme et de l’intolérance et montre que l’espoir d’une coexistence pacifique est interculturel, universel et fait partie de l’expérience humaine. À travers les histoires et les souvenirs intimes de ces deux protagonistes d’origines différentes, nous comprenons pourquoi les quartiers de Beyrouth se sentent toujours entourés de murs invisibles et pourquoi il est si complexe de parvenir au pardon et…
La mort d’Elvis

Justine Prince
Après avoir perdu encore une fois à une compétition d’imitateurs d’Elvis Presley, Steve et son père décident de voler le costume du vainqueur.
La moustache

Émilie Beaulieu-Guérette
Joannie Lafrenière
Court métrage dressant avec humour le portrait d’une communauté d’hommes sri-lankais ayant comme signe distinctif le port de la moustache. Toujours au goût du jour malgré le passage du temps, la moustache représente ici le symbole de la virilité des sri-lankais. Réalisé dans le cadre de l’émission La Course Évasion autour du monde.
La musique de Madagascar (La symphonie du nouveau monde)

Geneviève Tremblay
Madagascar Slim, un musicien malgache qui habite à Toronto depuis 25 ans est touché de retourner au Madagascar pour nous présenter sa famille et la musique de son pays d’origine.
La musique du Japon (La symphonie du nouveau monde)

Geneviève Tremblay
Sandra Kadowaki et Jean -François Gravel font partie du groupe Arashi Daiko à Montréal. Ils se sont rendus au Japon avec notre équipe pour nous faire découvir leur passion pour le taiko. Ils ont même participé à une formation de taikos avec les apprentis du groupe Kodo, les plus grands joueurs de taikos au monde.
La musique du Maroc (La symphonie du nouveau monde)

Geneviève Tremblay
La musique du Maroc avec l’artiste Hassan El Hadi.
La nageuse de la Place des arts
Hejer Charf
Une femme voilée se baigne à la fontaine de la Place des Arts à Montréal.
La nuit du 4 au 5

Rachel Graton
Une femme a été agressée. Elle a crié, réveillant ses voisins et mettant en fuite son agresseur. Cherchant à reconstruire la chronologie des évènements, elle doit naviguer entre souvenirs fuyants et amnésie momentanée.
La nuit verte du parc Labyrinthe

Anne Barth
Vidéo d’art d’après un texte de Nicole Brossard, cinq tournants : la vie, les questions, le pays, la mort, l’écriture…
La nuit, elles dansent

Isabelle Lavigne
La nuit, elles dansent est une chronique familiale qui plonge au cœur d’un clan de femmes où l’on se transmet le métier de danseuses de mère en filles depuis la nuit des temps. Peu à peu s’y déploie un quotidien en mouvance entre les inquiétudes face aux menaces du métier, les ruses pour tromper la réalité et les espoirs d’une vie meilleure. Au milieu du chaos, la douceur et la tendresse émergent parfois, et la vulnérabilité trouve un espace étroit pour exister. Comme des héroïnes de la mythologie populaire, ces femmes sont excessives, solidaires, dignes et ingénieuses. Tourné au Caire, La nuit, elles dansent dessine avec un lyrisme exempt de tout sentimentalisme un univers baroque insoupçonné et fascinant, où le spectateur pénètre tel un témoin privilégié.
Là où je dors – Luan

Eza Paventi
Portraits documentaires d’enfants de la francophonie à travers le monde. Luan habite dans un appartement en plein cœur de Montréal, avec son père, sa mère, et son grand-frère. Elle a une toute petite chambre très colorée et un lit superposé. Elle adore faire de la musique et s’amuser avec ses amis.
Là où je suis
Myriam Magassouba
Durant un rude hiver abitibien, une adolescente vit le deuil de sa meilleure amie décédée dans un accident de voiture
Là où je vis

Sarah Baril Gaudet
Là où je vis est une histoire faite de solitude et de vent, racontée avec la poésie de la toundra du Nunavik et les mots de la jeune Martha.
La p’tite violence
Hélène Girard
Par le biais de rencontres avec des travailleurs de divers métiers, de diverses professions, ce film, allant plus loin que les statistiques et les analyses de toutes sortes, inventorie le rôle et la place du travail dans l’épanouissement humain. Droit acquis, nécessité sociale ou cause d’aliénation, quelle est la véritable part de choix qui s’offre à l’homme en face du travail.
La Palabra desenterrada (Le pays hanté)
Mary Ellen Davis
Au Guatemala, deux destins se croisent lors d’un voyage de retour : Mateo Pablo, survivant maya d’un des nombreux massacres perpétrés durant la récente guerre civile, et Daniel Hernández-Salazar, artiste et photographe guatémaltèque dont l’oeuvre scrute et dénonce les séquelles de la violence. Voyageant ensemble vers les hautes terres, ils visiteront le site jadis occupé par la communauté maya de Petanac. C’est à cet endroit que la vie de Mateo a basculé en 1982 lorsque l’armée guatémaltèque a torturé et assassiné sa famille et ses voisins, ne laissant derrière elle qu’un village en cendres, anéanti.Aujourd’hui, la mémoire persiste. Dans les communautés mayas, les survivants se rassemblent autour de fosses creusées par des équipes légistes. Les archéologues déterrent patiemment les disparus, loin des usuels trésors de l’ancienne culture maya. Les ossements, mis à jour, racontent en silence leur propre histoire d’agonie et de terreur. s.-t. anglais: Haunted Land
La part de Dieu, la part du diable

Danièle Lacourse
Ce film décrit la descente aux enfers du seul missionnaire canadien qui a refusé de quitter le Rwanda et a vécu toute la tragédie au milieu de ses paroissiens. Trois mois après le génocide, le Père Claude Simard est brutalement assassiné. En poursuivant l’enquête sur ce crime, ce documentaire révèle les nouveaux cauchemars vécus par les Rwandais, et présente un portrait saisissant du rôle de l’Église et de l’aide internationale. Un regard critique sur le rôle du Canada dans ce pays.