Autres films sur ce thème
Camille
Catherine Veaux-Logeat
Une femme se réveille la nuit par les cris d’une jeune fille dans une ruelle. Elle hésite à aller aider, trop bien dans son confort. Rongée par le regret, la femme va voir dans la ruelle au petit matin.
Camille, de fil en aiguille
Éliette Aubin
Anne-Marie Tougas
Une jeune fille de 14 ans réalise un projet personnel de création ambitieux: son premier porte-folio comme créatrice de vêtements. Un film en touches impressionnistes, empreint de poésie et d’énergie.
Campus II à V
Louise Giguère
Série de 10 émissions de 30 minutes par saison sur des programmes et des recherches de la vie universitaire. De 2009 à 2013. – 20 épisodes de 7 minutes – 16 épisodes de 3 minutes Louise Giguère: * Réalisation de 5 reportages de 7 min par saison. * Réalisation de 4 capsules de 3 min par saison.
Cancún
Isabelle A. Girard
Une femme abîmée par la vie écrit une lettre de suicide dans une chambre de motel. Surprise par son mari, elle cache les comprimés et le revolver. Il entre et provoque une crise de nerf. Il tente d’apaiser leur mal de vivre avec des promesses d’amour et de voyage. Mais à qui profitera cette vacance?
Capacité 11 personnes
Gaëlle D’Ynglemare
Dans un ascenseur, onze personnes se croisent et s’entrecroisent… petits drames et autres historiettes du quotidien.
Capsules d’information sur la violence conjugale pour les nouveaux arrivants
Vanessa Boisset
Par sa mission d’éducation, de sensibilisation et de défense de droit, le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale contribue à faire évoluer les lois et les politiques afin de rendre plus adéquates les mesures de protection pour les femmes et enfants victimes de violence conjugale. Dans une perspective de prévention, il déploie un éventail de stratégies pour aider tous les acteurs de la société québécoise à mieux comprendre, dépister et agir en matière de violence conjugale.
Capsules vidéos sur l’hypersexualisation
Ève Lamont
Ces 4 capsules traitent de l’influence du sexisme et de l’hypersexualisation sur la jeunesse québécoise. Elles sont destinées aux parents et aux adultes pour les sensibiliser à ce phénomène. Réalisé pour le Y des femmes de Montréal.
Capturing Captain Canada (a.k.a. Peter A. Herrndorf)
Tara Johns
Dans cette fusion de fiction et de documentaire, la chance sourit à un enquêteur spécial lorsque Peter A. Herrndorf offre spontanément de répondre à ses interrogations sur une affaire en cours. Cependant, l’enquêteur se retrouve bientôt à jouer au chat et à la souris tandis qu’il tente de déterminer si ce fils d’immigrant autoproclamé est le superhéros bâtisseur de nation qu’il poursuit depuis des années.
Carla en 10 secondes
Jeanne Leblanc
Au cours d’une fête d’adolescents, des “snapshots” d’un gang bang impliquant une fille et des joueurs de l’équipe de football se répandent à travers la foule. Entendant les commentaires qui circulent, Gaby commence à soupçonner que la personne au centre du gang bang pourrait bien être sa meilleure amie, Carla.
Carnets d’un grand détour
Catherine Hébert
Quand Marc Roger, lecteur public de métier, se donne pour défi de marcher de Saint-Malo à Bamako avec son âne chargé de livres à partager, la cinéaste Catherine Hébert le rejoint au Maroc, avec sa caméra. Alors que des milliers d’Africains traversent chaque jour le continent vers le nord dans l’espoir d’améliorer leurs conditions de vie, Carnets d’un grand détour effectue un émouvant périple à contresens, le long des sentiers du Maroc, du Sénégal et du Mali. Chemin faisant, les superbes images et la narration poétique de la réalisatrice esquissent un regard très personnel sur l’Afrique et ses habitants. Plusieurs quêtes parallèles s’y révèlent : celle de Marc, la sienne, et les récits de plusieurs individus croisés au passage. Un fascinant road movie dont la richesse réside justement dans ces « voyages dans le voyage », de magnifiques détours au hasard des rencontres.
Carol Wainio
Julie Perron
«Riches, tactiles et complexes, les œuvres de Carol Wainio exhalent toute la puissance de la peinture, mais ne portent pas sur la peinture. Elles sont plutôt ancrées dans le figuratif et les préoccupations externes. Carol Wainio travaille sur des toiles de grandes tailles, se sert d’une palette de couleurs réduite et parfois monochrome et joue avec la figuration. Ses œuvres engagent avec le public des conversations qui soulèvent des questions sur ce que sont les choses et ce qu’elles seront. En superposant des illustrations de contes de fées, des dessins d’enfant et des images tirées de la culture de masse, elle crée de nouveaux récits, sombres et tristes, où l’enchantement des contes de fées se perd dans les rebus d’une société de consommation.»
Carré Saint-Louis : une histoire populaire
Hélène Choquette
Le Carré Saint-Louis est l’âme poétique de Montréal. Il est un peu à Montréal ce que la Place du Tertre est à Paris ; un petit parc urbain hanté par l’esprit de nombreux artistes qui ont contribué à forger l’identité culturelle québécoise. C’est bien lui qui se dessinait par-delà le jardin de givre à la fenêtre d’Émile Nelligan. Le documentaire Carré Saint-Louis vous convie à une incursion poético-historique dans la petite histoire de ce square emblématique qui pendant plus d’un siècle fut un lieu de convergence de la bohème, de marginaux, d’artistes et des plus fervents indépendantistes.
Casques roses
Karina Goma
Par l’entremise de quelques travailleuses de la construction, Casques Roses jette un regard chaleureux et sans compromis sur cette industrie à 98,6% masculine. De la discrimination à l’embauche, à l’intimidation et au harcèlement, en passant par les succès et les solutions d’avenir, le documentaire nous fait découvrir des femmes déterminées qui naviguent à vue dans une industrie trop souvent hostile à leur égard.
Castle Bravo
Monica Emond
Court métrage expérimental sur le colonialisme nucléaire à travers les événements entourant l’essai d’une bombe thermonucléaire par l’armée des États-Unis sur l’atoll habité de Bikini aux Îles Marshall en 1954. Castle Bravo est la première pièce de Landscape of Emergency, un projet artistique indépendant mené par Monica Emond et Jean-Yves Thériault. Icône du colonialisme et de l’impérialisme modernes, Castle Bravo illustre de manière ahurissante l’alliance commandée de la science et du militarisme sous couvert du secret d’État. L’entreprise de destruction et de contamination durable que sont les essais nucléaires compte d’innombrables victimes qui parfois même s’ignorent. Film d’archives. Musique de Cœur Atomique.
Catherine Hébert vue par Lisa Sfriso
Lisa Sfriso
Court portrait de la cinéaste Catherine Hébert réalisé dans le cadre du projet Mosaïque de la SODEC.
Catherine Martin par Isabelle Hayeur
Isabelle Hayeur
Les Dames aux caméras présente une série de huit courts portraits de cinéastes québécoises de long-métrage de fiction. Capsule-portrait de la réalisatrice Catherine Martin. Catherine Martin nous a souvent touchés avec ses oeuvres documentaires ou de fiction. On lui doit le très beau Mariages (2001) et plus récemment Trois temps après la mort d’Anna (2010). Ses personnages féminins très forts sont au centre de ses récits. La recherche des sites de tournage prend souvent une grande importance dans son inspiration. Elle se sent parfois envoutée par certains lieux…
Catimini
Nathalie Saint-Pierre
Quatre filles, âgées de 6 à 18 ans, vivant sous la garde de la Direction de la protection de la jeunesse. Leurs destins solitaires se rejoignent lors d’une réception honorant les Bilodeau, une famille d’accueil où elles ont séjourné à différents moments. Ce sera, pour les unes et les autres, l’occasion de retrouvailles qu’elles n’oublieront pas de sitôt.
Cavebirds
Emily Gan
La réalisatrice Emily Gan suit le parcours de son père alors qu’il construit une ferme de salanganes – des oiseaux aux nids comestibles – dans son village natal en Malaisie, un lieu qu’il a quitté il y a des décennies. Ensemble, ils explorent les différents endroits où ils se sentent chez eux, parfois situés d’un bout à l’autre de la planète. À l’écran, les oiseaux volent d’une scène à l’autre, créant un lien entre ce père immigrant et sa fille.
Ce corps qui parle
Doïna Harap
Quel rapport y a-t-il entre le sourire de la Joconde et le comportement d’un terroriste ? Découvrez les secrets du langage corporel. De la côte Ouest américaine à Tel-Aviv, en passant par l’Angleterre et Amsterdam, ce documentaire nous présente dans le vif de l’action des experts qui utilisent les nouvelles technologies pour mieux lire ce langage inconscient. Le corps humain, capable de saisir en un éclair l’état de son interlocuteur, est à la fois un puissant radar et un émetteur incontrôlable, qui parle sans le vouloir et sans arrêt.
Ce que je suis ici
Stéphanie Lessard-Bérubé
Au rythme d’une journée printanière, Ce que je suis ici dresse un portrait sensible de quatre résident·es de la Maison alternative de Rimouski.
Ce qui compte
Anne Barth
Drôme, sud de la France. À la suite d’un événement qui l’a bouleversé et interpellé profondément dans ses valeurs, Michel Valentin, un homme d’affaires qui a réussi, a remis en question le sens de sa vie. Grâce à deux rencontres déterminantes, il a poursuivi ses réflexions et s’est engagé à entreprendre autrement. Ce qui compte fait état de ses questionnements, de ses engagements et d’une pensée qui émerge dans le milieu de l’entreprise et dans le monde du travail plus généralement. Ponctué de plusieurs témoignages, le film est un appel vibrant à un changement profond des relations au monde.
Ce silence qui tue
Kim O’Bomsawin
En 2014, la GRC révélait un rapport à la conclusion sans appel : 1 181 femmes autochtones avaient disparu ou été assassinées. On peut même estimer qu’au Canada, ces femmes ont huit fois plus de risques d’être assassinées que n’importe quel autre citoyen. Mais l’indifférence semble régner. Pourquoi ? Que faire ? Policiers, juges, proches de femmes assassinées, travailleuses du sexe, militantes, victimes d’abus : la cinéaste Kim O’Bomsawin a récolté leur parole à travers le Canada pour mieux comprendre les différentes facettes de cette insupportable réalité et peut-être enfin réussir à briser Ce silence qui tue.