Autres films sur ce thème
Chez Lise
Jeanne Pope
Deanna et Gordon ont des rêves comme tout le monde: un appartement, un travail et l’espoir de rester ensemble. Ils n’ont pas de famille, mais à La maison Chez Lise ils ont trouvé la stabilité et Lise Bissonnette, la propriétaire de 70 ans, les protège comme une mère. Chez lise est une chronique amoureuse, un rare aperçu de ces vies en marge de la société tout autant qu’un hommage à l’infatigable Lise, dont la bienveillance, la bonne volonté et l’optimisme sont aussi rares qu’admirables.
Chez madame Poule
Tali
Court métrage d’animation racontant avec finesse et sans une once de moral les caprices et les fantaisies égoïstes de l’enfant que sa maman sait corriger avec tendresse et fermeté. Pauvre madame Poule! Son aîné de poulet lève même le nez sur les plats qu’elle lui prépare. Jusqu’au jour ou elle en a assez.
Chien Blanc
Anaïs Barbeau-Lavalette
1968. Les États-Unis sont au bord de l’implosion: Martin Luther King est assassiné et les haines raciales mettent le pays à feu et à sang. Romain Gary, qui vit à Los Angeles avec son épouse, l’actrice Jean Seberg, recueille un chien égaré. Le chien trouve rapidement sa place dans la maison, auprès de Diego, fils unique du couple. Il est affectueux avec tout le monde. Tout le monde, sauf les personnes Noires. C’est que Chien blanc est un chien spécialement dressé pour chasser les manifestants Noirs. Pour Seberg, très active au sein des Black Panthers, il est impensable de garder le chien, mais pour Gary, il est impensable de l’abattre. Gary fait une fixation sur cet animal: Il ne peut l’abandonner. Il le confie à un chenil dans l’espoir de guérir le chien de cette haine que l’homme lui a chevillée au corps. Et c’est Keys, un soigneur Noir, qui se charge de réformer la bête. Habité par sa propre tragédie, il ne fera pas son travail à moitié.
Chien de garde
Sophie Dupuis
JP vit avec son frère Vincent, sa mère Joe et sa copine Mel dans un petit appartement de Verdun. Constamment sur la corde raide, JP tente de conserver un équilibre entre les nombreux besoins de sa famille de qui il se sent responsable, son travail de collecteur qu’il fait avec son frère et ses fonctions dans le petit cartel de drogue de son oncle Dany qu’il considère comme un père.
Chienne de vie
Hélène Choquette
Entre Montréal et Toronto, Chienne de vie met en lumière la relation singulière et fusionnelle entre des itinérants et leur chien.
Chill ou crève
Amandine Navarro
Après une soirée où l’alcool et la drogue est consommé à outrance, un groupe de jeunes se prépare à sortir mais l’un d’entre eux est malade. Les autres partent et le laissent seul dans la salle de bain… mais un étranger est entré dans la maison.
China Me
Michka Saäl
China Me explore les changements vécus par les Chinois, sous l’angle des problèmes psychologiques qu’ils provoquent. Au fil du quotidien et des témoignages de ceux qui vivent mal la course au progrès, se dessine un portrait intimiste de la Chine d’aujourd’hui.
Christmas at Moose Factory
Alanis Obomsawin
C’est avec ce court documentaire poétique, paru en 1971, que l’éminente réalisatrice abénaquise Alanis Obomsawin a débuté son parcours derrière la caméra. Filmé dans un pensionnat du nord de l’Ontario, il se compose entièrement de dessins faits par de jeunes cris et d’histoires qu’ils racontent. L’écoute a toujours été au cœur de la démarche de la réalisatrice. « Le film documentaire, a-t-elle expliqué dans une entrevue en 2017, est le seul espace dont nos peuples disposent pour parler de leur réalité. J’ai le sentiment que les documentaires sur lesquels j’ai travaillé ont eu cette utilité d’aider les gens, nos gens à poser un regard sur nous… et par la suite à apporter des changements réellement significatifs pour l’avenir de nos enfants. »
Chronique d’un génocide annoncé – partie 1 – Le sang coulait comme une rivière
Danièle Lacourse
Documentaire de la série Rwanda. Ce film reconstitue le récit des préparatifs, de l’exécution et des lendemains tragiques d’un crime que la conscience et les lois internationales avaient pourtant appelé à prévenir et à punir. À travers trois ans de tournage, le film suit le cheminement de Rwandais au coeur même de chaque composante du génocide. Filmé sur trois ans, ce document unique soulève des questions troublantes sur le fait que le monde a fermé les yeux devant un des pires crimes contre l’humanité, «parce que le Rwanda était trop petit, trop éloigné, trop pauvre et probablement trop noir pour en valoir la peine». Partie 1 de 3 de la série.
Chronique d’un génocide annoncé – partie 2 – Nous avons été des lâches
Danièle Lacourse
Documentaire de la série Rwanda. Ce film reconstitue le récit des préparatifs, de l’exécution et des lendemains tragiques d’un crime que la conscience et les lois internationales avaient pourtant appelé à prévenir et à punir. À travers trois ans de tournage, le film suit le cheminement de Rwandais au coeur même de chaque composante du génocide. Filmé sur trois ans, ce document unique soulève des questions troublantes sur le fait que le monde a fermé les yeux devant un des pires crimes contre l’humanité, «parce que le Rwanda était trop petit, trop éloigné, trop pauvre et probablement trop noir pour en valoir la peine». Partie 2 du volume 3 de la série.
Chronique d’un génocide annoncé – partie 3 – Nous nous sentons trahis
Danièle Lacourse
Documentaire de la série Rwanda. Ce film reconstitue le récit des préparatifs, de l’exécution et des lendemains tragiques d’un crime que la conscience et les lois internationales avaient pourtant appelé à prévenir et à punir. À travers trois ans de tournage, le film suit le cheminement de Rwandais au coeur même de chaque composante du génocide. Filmé sur trois ans, ce document unique soulève des questions troublantes sur le fait que le monde a fermé les yeux devant un des pires crimes contre l’humanité, «parce que le Rwanda était trop petit, trop éloigné, trop pauvre et probablement trop noir pour en valoir la peine». Partie 3 de 3 de la série.
Chronique d’un temps flou
Sylvie Groulx
À travers le portrait, les interrogations et les préoccupations de jeunes Québécois âgés de 20 à 25 ans, ce documentaire soulève, souvent avec humour, une réflexion sur la société québécoise actuelle : famille, couple, travail, chômage, création, politique, avenir, etc. La réalisatrice, quant à elle, y incarne la génération des 35 ans et contribue ainsi à mesurer le chemin parcouru depuis la fin des années 60.
Chronopée_A, issue de TRAHIR
Caroline Hayeur
Le voyage sous le thème générique de l’exploration du territoire se scinde en une dizaine de micro-récits poétiques adaptés aux contextes successifs de leur diffusion. Par le biais de jeux d’abstraction et parfois même d’absences (comme les blancs sur la portée musicale), TRAHIR entame un rythme, une texture ou une tessiture que les artistes nouent ou dénouent par les enchevêtrements des images et des sons.
Cinéma québécois
Yvonne Defour
Série documentaire sur le cinéma québécois abordé par le biais de diverses thématiques.
Cinq octobre
Lili Labelle
Le froid est bien installé, il neige, c’est l’hiver au Québec. Se remettant peu à peu de son expérience de proche aidante avec sa mère, Maripierre se recueille dans son chalet. Sa sœur Raphaëlle lui rend visite, et ensemble, elles se remémorent le jour où leur mère a eu recours à l’aide médicale à mourir, un cinq octobre.
Claire l’hiver
Sophie Bédard Marcotte
Alors qu’un cargo spatial menace de s’écraser sur la Terre, Claire traverse un hiver difficile.
Claire Lamarche, Lamarche vers l’essentiel
Geneviève Tremblay
Claire Lamarche naît en 1945 au sein d’une famille de six enfants. C’est à Radio-Québec, en 1982, qu’elle fait ses premières armes comme animatrice en tenant la barre de l’émission Droit de parole. C’est au moment où elle fait le saut à TVA qu’elle devient une vedette. Elle touche le public quotidiennement avec des sujets parfois tabous, controversés ou plus légers, qu’elle présente à son émission éponyme pendant 12 ans. En parallèle, elle met sur pied une émission de retrouvailles qui deviendra la plus marquante de sa carrière et qui changera la vie de milliers d’individus.
Claude Jutra, portrait sur film
Paule Baillargeon
Construit comme un théâtre d’ombres et de reflets chatoyants, ce film-enquête intimiste multiplie les pistes (entrevues avec Michel Brault, Bernardo Bertolucci, Geneviève Bujold, documents d’archives et extraits de films) pour éclairer la personnalité complexe d’un grand cinéaste québécois, témoin et acteur de son temps. Éternel rebelle ayant côtoyé les plus grands (Truffaut, Cocteau, Rouch), Claude Jutra a propulsé notre cinématographie dans la modernité en lui donnant certains de ses plus beaux joyaux : À tout prendre, WOW, Mon oncle Antoine et Kamouraska.
Clebs
Halima Ouardiri
Les pelages bruns, beiges, blancs et noirs se fondent à l’ocre de la terre et des murs inondés de soleil. Calme à l’heure du repos, l’endroit devient assourdissant quand vient le moment de nourrir les bêtes qui entament alors leur concert d’aboiements. Dans le refuge pour chiens errants d’Agadir au Maroc, plus de 750 animaux trouvent aide et protection en attendant d’être adoptés par une famille. Chaque journée ressemble à la suivante, rythmée par la seule distraction des repas. Avec un regard aussi empathique qu’alerte aux jeux de lumière et de textures, Halima Ouardiri observe la chorégraphie qui régit la vie de la population animale, dont le quotidien suspendu évoque l’attente bien plus tragique de millions d’êtres humains à la recherche d’une terre d’accueil.
Col Bleu
Mara Joly
Col bleu, c’est la naissance d’une amitié improbable entre une « tite jeune » artiste ancienne carré rouge et un « vieux mononcle » col bleu que tout oppose.
Colours
Amandine Navarro
Entouré de son groupe de danseuses, Nick Saanto entre dans un drôle de musée. Accueillis par deux Drag queens, ils découvrent une pluralité d’identités Queer : une lesbienne, un homme trans, un enfant drag accompagné de Drag queens, un homme gay, un groupe de bisexuels. Enfermés dans des pièces et visibles à travers des vitrines, ils représentent des moments précis de l’histoire LGBTQ. La devise du Musée : «You can judge ok ? But don’t express yourself! » (Tu peux juger mais pas t’exprimer sur ce que tu vois). Toutes sortes de visiteurs sont présents pour regarder, découvrir et se questionner sur ces personnes… Par sa voix/son chant, Nick les libère du musée et permet ainsi à la communauté de célébrer leurs différences, au-delà de tout jugement.
Colours of my Father: a Portrait of Sam Borenstein
Joyce Borenstein
Un portrait documentaire animé de l’artiste Sam Borenstein, raconté et animé par sa fille Joyce Borenstein.
Come worry with us
Helene Klodawsky
La violoniste Jessica Moss et le chanteur et guitariste Efrim Menuck luttent pour équilibrer leur vie de parents avec leur vie de musiciens du Thee Silver Mt. Zion Memorial Orchestra, leur groupe montréalais de renommée internationale. Ils font partie d’un nombre de plus en plus important de groupes ayant accepté de voyager avec un enfant (Ezra, le fils d’Efrim et de Jessica) au sein de leur tournée. Gagner sa vie n’a jamais été aussi difficile pour les musiciens : la génération des téléchargements a ébranlé l’économie de l’industrie musicale, et les tournées perpétuelles sont devenues synonyme de survie économique.