Autres films sur ce thème
Chronique d’un génocide annoncé – partie 1 – Le sang coulait comme une rivière

Danièle Lacourse
Documentaire de la série Rwanda. Ce film reconstitue le récit des préparatifs, de l’exécution et des lendemains tragiques d’un crime que la conscience et les lois internationales avaient pourtant appelé à prévenir et à punir. À travers trois ans de tournage, le film suit le cheminement de Rwandais au coeur même de chaque composante du génocide. Filmé sur trois ans, ce document unique soulève des questions troublantes sur le fait que le monde a fermé les yeux devant un des pires crimes contre l’humanité, «parce que le Rwanda était trop petit, trop éloigné, trop pauvre et probablement trop noir pour en valoir la peine». Partie 1 de 3 de la série.
Chronique d’un génocide annoncé – partie 2 – Nous avons été des lâches

Danièle Lacourse
Documentaire de la série Rwanda. Ce film reconstitue le récit des préparatifs, de l’exécution et des lendemains tragiques d’un crime que la conscience et les lois internationales avaient pourtant appelé à prévenir et à punir. À travers trois ans de tournage, le film suit le cheminement de Rwandais au coeur même de chaque composante du génocide. Filmé sur trois ans, ce document unique soulève des questions troublantes sur le fait que le monde a fermé les yeux devant un des pires crimes contre l’humanité, «parce que le Rwanda était trop petit, trop éloigné, trop pauvre et probablement trop noir pour en valoir la peine». Partie 2 du volume 3 de la série.
Chronique d’un génocide annoncé – partie 3 – Nous nous sentons trahis

Danièle Lacourse
Documentaire de la série Rwanda. Ce film reconstitue le récit des préparatifs, de l’exécution et des lendemains tragiques d’un crime que la conscience et les lois internationales avaient pourtant appelé à prévenir et à punir. À travers trois ans de tournage, le film suit le cheminement de Rwandais au coeur même de chaque composante du génocide. Filmé sur trois ans, ce document unique soulève des questions troublantes sur le fait que le monde a fermé les yeux devant un des pires crimes contre l’humanité, «parce que le Rwanda était trop petit, trop éloigné, trop pauvre et probablement trop noir pour en valoir la peine». Partie 3 de 3 de la série.
Chronique d’un temps flou
Sylvie Groulx
À travers le portrait, les interrogations et les préoccupations de jeunes Québécois âgés de 20 à 25 ans, ce documentaire soulève, souvent avec humour, une réflexion sur la société québécoise actuelle : famille, couple, travail, chômage, création, politique, avenir, etc. La réalisatrice, quant à elle, y incarne la génération des 35 ans et contribue ainsi à mesurer le chemin parcouru depuis la fin des années 60.
Chronopée_A, issue de TRAHIR

Caroline Hayeur
Le voyage sous le thème générique de l’exploration du territoire se scinde en une dizaine de micro-récits poétiques adaptés aux contextes successifs de leur diffusion. Par le biais de jeux d’abstraction et parfois même d’absences (comme les blancs sur la portée musicale), TRAHIR entame un rythme, une texture ou une tessiture que les artistes nouent ou dénouent par les enchevêtrements des images et des sons.
Cinéma québécois
Yvonne Defour
Série documentaire sur le cinéma québécois abordé par le biais de diverses thématiques.
Cinq octobre
Lili Labelle
Le froid est bien installé, il neige, c’est l’hiver au Québec. Se remettant peu à peu de son expérience de proche aidante avec sa mère, Maripierre se recueille dans son chalet. Sa sœur Raphaëlle lui rend visite, et ensemble, elles se remémorent le jour où leur mère a eu recours à l’aide médicale à mourir, un cinq octobre.
Circo
Lamia Chraibi
À Rio de Janeiro, Richard rêve de briller dans les plus grands chapiteaux du monde. Le jour où l’artiste de 20 ans est mis à la porte par sa mère adoptive, sa vie bascule. À travers une approche intimiste puisant dans le cinéma direct, Circo offre une immersion auprès d’habitant·e·s des favelas brésiliennes qui tentent de se réapproprier leur destin.
Claire l’hiver

Sophie Bédard Marcotte
Alors qu’un cargo spatial menace de s’écraser sur la Terre, Claire traverse un hiver difficile.
Claire Lamarche, Lamarche vers l’essentiel

Geneviève Tremblay
Claire Lamarche naît en 1945 au sein d’une famille de six enfants. C’est à Radio-Québec, en 1982, qu’elle fait ses premières armes comme animatrice en tenant la barre de l’émission Droit de parole. C’est au moment où elle fait le saut à TVA qu’elle devient une vedette. Elle touche le public quotidiennement avec des sujets parfois tabous, controversés ou plus légers, qu’elle présente à son émission éponyme pendant 12 ans. En parallèle, elle met sur pied une émission de retrouvailles qui deviendra la plus marquante de sa carrière et qui changera la vie de milliers d’individus.
Claire Richmond
Virginie Nolin
Dans le manoir ancestral des Richmond, deux sœurs enquêtent sur la disparition mystérieuse de leur mère.
Claude Jutra, portrait sur film
Paule Baillargeon
Construit comme un théâtre d’ombres et de reflets chatoyants, ce film-enquête intimiste multiplie les pistes (entrevues avec Michel Brault, Bernardo Bertolucci, Geneviève Bujold, documents d’archives et extraits de films) pour éclairer la personnalité complexe d’un grand cinéaste québécois, témoin et acteur de son temps. Éternel rebelle ayant côtoyé les plus grands (Truffaut, Cocteau, Rouch), Claude Jutra a propulsé notre cinématographie dans la modernité en lui donnant certains de ses plus beaux joyaux : À tout prendre, WOW, Mon oncle Antoine et Kamouraska.
Clebs

Halima Ouardiri
Les pelages bruns, beiges, blancs et noirs se fondent à l’ocre de la terre et des murs inondés de soleil. Calme à l’heure du repos, l’endroit devient assourdissant quand vient le moment de nourrir les bêtes qui entament alors leur concert d’aboiements. Dans le refuge pour chiens errants d’Agadir au Maroc, plus de 750 animaux trouvent aide et protection en attendant d’être adoptés par une famille. Chaque journée ressemble à la suivante, rythmée par la seule distraction des repas. Avec un regard aussi empathique qu’alerte aux jeux de lumière et de textures, Halima Ouardiri observe la chorégraphie qui régit la vie de la population animale, dont le quotidien suspendu évoque l’attente bien plus tragique de millions d’êtres humains à la recherche d’une terre d’accueil.
Cohabiter
Halima Elkhatabi
Au fil de saynètes captivantes, de jeunes gens en quête d’une colocation recherchent la perle rare avec qui partager leur espace et leurs valeurs. Portrait complexe et attachant d’une génération habituée à sortir toutes les cartes de son identité, Cohabiter dessine une mosaïque de cultures et d’idées, où se croisent dans un mouvement constant les notions de communauté, d’individualisme et de droit au logement.
Col Bleu

Mara Joly
Col bleu, c’est la naissance d’une amitié improbable entre une « tite jeune » artiste ancienne carré rouge et un « vieux mononcle » col bleu que tout oppose.
Colours

Amandine Navarro
Entouré de son groupe de danseuses, Nick Saanto entre dans un drôle de musée. Accueillis par deux Drag queens, ils découvrent une pluralité d’identités Queer : une lesbienne, un homme trans, un enfant drag accompagné de Drag queens, un homme gay, un groupe de bisexuels. Enfermés dans des pièces et visibles à travers des vitrines, ils représentent des moments précis de l’histoire LGBTQ. La devise du Musée : «You can judge ok ? But don’t express yourself! » (Tu peux juger mais pas t’exprimer sur ce que tu vois). Toutes sortes de visiteurs sont présents pour regarder, découvrir et se questionner sur ces personnes… Par sa voix/son chant, Nick les libère du musée et permet ainsi à la communauté de célébrer leurs différences, au-delà de tout jugement.
Colours of my Father: a Portrait of Sam Borenstein

Joyce Borenstein
Un portrait documentaire animé de l’artiste Sam Borenstein, raconté et animé par sa fille Joyce Borenstein.
Come worry with us

Helene Klodawsky
La violoniste Jessica Moss et le chanteur et guitariste Efrim Menuck luttent pour équilibrer leur vie de parents avec leur vie de musiciens du Thee Silver Mt. Zion Memorial Orchestra, leur groupe montréalais de renommée internationale. Ils font partie d’un nombre de plus en plus important de groupes ayant accepté de voyager avec un enfant (Ezra, le fils d’Efrim et de Jessica) au sein de leur tournée. Gagner sa vie n’a jamais été aussi difficile pour les musiciens : la génération des téléchargements a ébranlé l’économie de l’industrie musicale, et les tournées perpétuelles sont devenues synonyme de survie économique.
Comme toi
Romy Boutin St-Pierre
Il était une fois une princesse bien-aimée… Ou une enfant délaissée qui se crée un monde imaginaire pour ressembler à sa mère à la fois victime et bourreau.
Comme un caillou dans la botte

Hélène Choquette
Comme un caillou dans la botte nous fait découvrir le Florence des marchands ambulants sénégalais pour qui la vente de rue est souvent un passage obligé. Une réalité invisible aux yeux des dix millions de touristes qui affluent dans la capitale toscane chaque année et dont plusieurs achètent les marchandises dans la plus totale insouciance. Filmé entre l’Italie et le Sénégal, ce documentaire montre comment la situation de ces migrants économiques ne cesse de se compliquer avec la crise financière italienne et la vague déferlante de réfugiés demandeurs d’asile.
Comme une comète

Ariane Louis-Seize
En voyage pour observer les étoiles filantes, Chloé, une adolescente taciturne, se découvre une fulgurante attirance pour le nouveau chum de sa mère.
Comme une ombre allongée sur l’asphalte

Chloé Leriche
Des images de vieux matelas et des messages laissés sur une boîte vocale comme autant d’ombres allongées sur l’asphalte.
Comme une spirale
Lamia Chraibi
Comme Une Spirale est un dialogue entre Beyrouth et cinq femmes, travailleuses domestiques migrantes, sous le système de la Kafala. Dans le grain prononcé de la pellicule, elles parlent de leur appartenance à une société qui s’effondre. Leurs voix s’élèvent, dressant le récit d’une liberté dérobée et d’une soif d’exister. Leurs souvenirs dansent au rythme de l’oppression. Et face à la spirale de leur vie, elles se lèvent pour ne pas sombrer dans l’oubli.