Autres films sur ce thème
Soupirs d’âme
Helen Doyle
Kate O’Dowell vit simultanément deux événements troublants : la mort de son père adoptif et un voyage en Bosnie à la fin de la guerre. Document hybride, Soupirs d’âme est écrit à la manière d’un roman où le personnage s’empare de son destin et nous entraîne dans sa quête d’identité.
Souris, tu m’inquiètes

Aimée Danis
Le bonheur familial repose bien souvent sur un drame insoupçonné : la perte d’identité de la femme qui ne vit plus qu’en fonction de son mari et de ses enfants. Devant le « malaise sans nom » qui l’envahit, Francine, jeune femme en apparence comblée, sera amenée à quitter momentanément les siens pour tenter de trouver qui elle est. Ce film, qui se compose d’une partie dramatisée à laquelle des séquences témoins apportent la densité du vécu, met en lumière l’existence quotidienne telle que perçue par la femme québécoise.
Sous la peur

Lise Bonenfant
Qu’est-ce qui se cache sous la peur des hommes qui ont développé des comportements violents? Voilà la question que Lise Bonenfant s’est posée tout au long de la réalisation de ce documentaire. Sous la peur répond à cette question. D’abord par les personnes porteuses qui témoignent dans ce documentaire et puis, bien malgré elle, par sa parole. En effet, à son insu, une voix s’est imposée. Persistante. Cette voix, c’est la sienne. Elle y résiste, elle ne veut pas se dévoiler, elle ne veut pas montrer sa souffrance, et finalement elle prend la parole. Un guide d’animation accompagne la vidéo.
Souterrain
Sophie Dupuis
Maxime est un jeune valdorien qui travaille dans une mine d’or. À travers plusieurs difficultés qu’il traverse dans sa vie, il remettra en question sa définition de la masculinité. Et c’est dans la forte fraternité qui unit tous ses collègues de la mine qu’il trouvera le support nécessaire pour surmonter un sentiment de culpabilité tenace qui l’empêche d’atteindre le bonheur. Jusqu’au jour où une explosion éclate sous terre. Maxime descend dans l’antre de la mine avec la ferme intention de ramener chacun de ses collègues vivants à la surface.
Souterrains

Naomie Décarie-Daigneault
Une exploration de l’univers de Diane Obomsawin, à la fois cinéaste d’animation, illustratrice, auteure de bandes dessinées… et rêveuse en eaux profondes.
Souvenirs d’un stage de solidarité au Guatemala

Nicole Deschamps
8 adultes se rendent au Guatemala à la fin de l’ère Maya, du 23 novembre au 13 décembre 2012, pour un stage de solidarité organisé par Solidarité Laurentides Amérique centrale afin de rencontrer le peuple indigène Maya, connaître les coopératives et organisations de commerce équitable, la lutte des paysans, leur histoire, leur culture… 30 minutes de rencontres et de découvertes!
Spoon

Michka Saäl
Dialogue entre un poète noir américain enfermé à vie et moi. Sur le ton de la confidence, Spoon évoque ses 19 ans de vie somnambulique jusqu’à sa condamnation, puis sa découverte de la poésie et de l’écriture. Le récit initiatique de sa descente aux enfers s’inscrit au creux des images de son pays, le désert du Mojave, et de mes paysages intérieurs, quand l’émotion les y convoque. Car Spoon explique, que s’il n’écrivait pas, Il serait une ombre boxant avec la mort.
Spudwrench – Kahnawake Man

Alanis Obomsawin
Randy Horne est un monteur de poutres d’acier de la communauté mohawk de Kahnawake, près de Montréal. Durant la crise d’Oka de 1990, il était connu sous le nom de «Spudwrench». Il se retrouva derrière les barricades pour empêcher la municipalité d’Oka d’agrandir un terrain de golf qui aurait empiété sur un territoire mohawk sacré. Comme de nombreux autres Mohawks, Horne a parcouru le continent et travaillé sur certains des plus hauts édifices du monde, sans toutefois perdre de vue ses racines. Spudwrench, l’homme de Kahnawake est à la fois un portrait de Randy Horne et des générations de Mohawks audacieux qui l’ont précédé comme travailleurs dans la construction, et un regard unique derrière les barricades sur un homme qui défend avec passion un territoire sacré.
Squat!

Ève Lamont
Été 2001 à Montréal, en pleine crise du logement, des sans-abris, des mal-logés et des jeunes militants occupent un bâtiment vacant. Au nom du droit au logement, un squat politique prend forme avec l’appui de la ville. Squat! dévoile l’hypocrisie et l’illogisme des autorités municipales qui ont volé l’initiative et l’idéalisme des squatteurs, en les entraînant dans un jeu politique dont ils ont été les victimes. Le film montre non seulement l’œil vorace et la couverture biaisée des médias, mais dénonce la forte tendance de notre société capitaliste à ne pas considérer le logement comme un droit fondamental et à réprimer toute action pour le reconquérir de façon autonome.
Squatter
Louise Lamarre
À 40 ans, Claude divorce. La première nuit qu’il passe dans son nouvel appartement, il est réveillé par des bruits suspects et tombe face à face avec une femme dans la cinquantaine. Julietta affirme elle aussi habiter les lieux. Ils s’apprivoiseront et devront cohabiter pour le meilleur et pour le pire…
Statu quo
Marion Chuniaud-Lacau
Lamia Chraibi
Dans un monde en suspens, une histoire commune s’écrit. Sans se voir, sans se toucher, des corps se meuvent au rythme de l’ennui. A l’aube de la folie, ils brisent la statu quo et s’abandonnent pour faire corps avec le rêve d’un jour nouveau.
Steampunk Connection

Annie Deniel
Entre passé et futur, Clara, Daniel et François manifestent par leur choix de vivre différemment, leur connection au monde. Pendant 3 ans, la réalisatrice a suivi ces membres de la communauté steampunk. Ce mouvement artistique hors du commun, inspiré par la science-fiction et la révolution industrielle, compte près de 4 M de fans dans le monde. Derrière leurs costumes fantaisistes et leurs créations surprenantes, ils posent un regard sur notre façon d’être et de consommer à l’ère du numérique, conviant ainsi le spectateur à s’interroger sur son propre rapport à la modernité de son époque.
Stephen Faulkner, j’m’en va r’viendre

Sarah Fortin
Après avoir brièvement pensé à accrocher ses patins, l’auteur-compositeur-interprète Stephen Faulkner (alias Cassonade) décide de remonter sur scène avec un jeune groupe mené par le musicien Carl Prévost. Sur la route, de Québec à la Gaspésie, de l’Abitibi à Montréal, le cowboy de ville nous emmène avec lui dans sa vie d’artiste indépendant, hors du temps, lui qui a toujours mené sa barque sans concession, avec ce que cela comporte de bon et de mauvais.
Stiletto
Louise Leroux
Objet sensuel par excellence, ultime symbole de féminité, le talon haut est ancré dans nos imaginaires et dans nos vies. Mais à qui et à quoi sert réellement le talon haut? Pour en avoir le coeur net, la réalisatrice arpente les rues de Montréal, New York et Toronto à la recherche de réponses. Le film bouscule quelques idées reçues et offre une réflexion ouverte sur notre mode de vie et notre rapport à la liberté.
Still Feel You With Me
Béatriz Mediavilla
Court métrage de danse relatant une expérience collective dansée à distance lors d’un atelier dirigé par Béatriz Mediavilla au Portland Dance Film Festival. Tourné en octobre 2020, pendant la pandémie de COVID-19.
Still Untitled
Geneviève Sauvé
Étendue dans son lit, elle reçoit un texto de la part d’un homme qui lui plaît. Il demande une photo d’elle. Insatisfaite des clichés qu’elle prend, elle entame un jeu, où elle se prend pour l’illustre Cindy Sherman dans quatre photographies de sa série Untitled Film Stills.
Strangers

Joannie Lafrenière
Strangers est un documenteur qui s’attarde à un groupe de motocyclistes japonais. Organisant un danse-o-thon pour venir en aide à un de leurs accolytes, ces rockabillys à la coiffe surprenante devront faire face à l’arrivée d’un trouble-fête aux manigances pour le moins douteuses qui viendra semer la zizanie. Court métrage réalisé dans le cadre de l’émission télévisée La Course Évasion autour du monde.
Strangers In Town
Lois Siegel
Strangers In Town est un documentaire sur les albinos. Il considère à la fois les aspects médicaux et sociaux de l’albinisme. Le film tente de surmonter les préjugés et les idées fausses que les gens ont envers les albinos. Les personnalités apparaissant dans le film incluent le guitariste de blues américain Johnny Winter.
Strass Café
Léa Pool
Sur un ton intimiste le film raconte les espoirs et déceptions d’une femme qui se parle à elle-même, qui nous parle aussi. Sur des images anonymes, une voix évoque l’aventure d’une chanteuse employée au Strass Café, un établissement situé près du port. Vivant en solitaire, elle a été attirée par un artiste qui se présentait lui aussi dans la même boîte. Il est possible qu’ils aient dansé ensemble et qu’ils aient eu envie de s’aimer.
Stunt Family

Lois Siegel
Ce court métrage documentaire de la série Canada vignettes nous présente les Fournier, une famille de cascadeurs qui travaillent dans l’industrie du cinéma. Découverts par le cinéaste Gilles Carle, lors d’une de leurs fameuses courses de démolition de voitures, ces hommes et femmes nous prouvent qu’ils n’ont pas froid dans le dos.
Stunt People

Lois Siegel
Stunt People présente quatre générations de la famille Fournier: casser des voitures, prendre feu et tomber d’immeubles pour le plaisir. Leur passion est l’action et l’aventure. Stunt People se déplace dans les coulisses pour donner un aperçu de la façon dont les cascades sont réalisées et pourquoi les cascadeurs risquent leur vie pour effectuer des cascades pour le cinéma.
Sucré seize
Alexa-Jeanne Dubé
Tous campés dans un lieu évocateur et poétique, les personnages se livrent sur différents thèmes: l’image de soi, les troubles alimentaires, l’anxiété, le premier amour, le premier baiser, l’amitié, la sororité, le sexe, le viol, l’inceste, les réseaux sociaux, les révoltes sociales et politiques. Construite sous la forme d’une symphonie, l’œuvre est ponctuée de quatre mouvements se faisant écho narrativement et musicalement. Son identité visuelle distinctive force le film à se définir à quelque part entre long métrage de fiction et objet d’art.
Sugarmakers
Gabriele Kislat
La communauté Camphill Nottawasaga à Angus, en Ontario, offre des possibilités pour les adultes ayant une déficience intellectuelle; vivre, apprendre et travailler ensemble avec les autres dans une atmosphère de respect mutuel et d’égalité. Les «compagnons» sortent et récoltent le sirop d’érable à la main – ce sont les «Sugarmakers».