Autres films sur ce thème
One Divided by Two: Kids and Divorce
Joyce Borenstein
Danny’s parents’ divorce sparked nightmares of being abandoned by his mom. Adrianne was relieved because her parents stopped fighting. Lauren felt guilty, thinking she may have caused her parents’ separation. Jeffrey wished his parents could get back together. Annie was angry that her step-dad imposed so many household rules. One Divided By Two focuses on 13 young people (aged 8 to 18) whose parents have divorced. The video brings an original approach to the subject: animation takes over where live footage stops, moving beyond it – describing the heightened feelings, hopes and memories.
One of the boys
Myriam Guimond
Par une chaude journée d’été à la campagne, Ines, une jeune adolescente, participe à une partie de balle amicale avec des garçons de son âge, dont Malik, celui pour qui elle a le béguin.
Onzième spéciale
Micheline Lanctôt
Esther (Sylvie Catherine Beaudoin), trente-cinq ans, mariée et mère de famille, est une femme superactive. Elle rêve de faire carrière comme artiste-peintre. Aujourd’hui, elle sent l’heure venue de faire reconnaître son talent. Mais le chemin du succès est parchemé d’embûches. Les amis peintres, les anciennes camarades d’école rencontrées dix-huit ans plus tard n’ont d’attention que pour leur personne, d’intérêt que pour leur plan de carrière. Esther se heurte à un mur d’indifférence, et sa volonté de réussir coûte que coûte ne va pas sans créer quelque conflit avec son mari. Ce portrait, brossé à larges traits, dépeint une jeune femme idéaliste pressée d’«arriver» et celui, plus féroce, d’un groupe social enfermé dans sa réussite.
Opaline
Alix Galdin
Le titre Opaline évoque un objet de verre délicat et laiteux, reflétant la thématique de ce court métrage expérimental qui aborde la précieuse mais fragile période de l’enfance. Dans ce film, l’enfant pris dans la tempête familiale devient l’archive vivante d’une violence indicible. Les images qui composent ce poème visuel, d’abord captées par l’appareil photographique, ont été filmées en Super 8, puis peintes. Dans un quotidien figé et anxiogène, c’est la couleur ruisselant sur le film qui réhabilite le mouvement.
Opération Père Noël
Geneviève Albert
Le documentaire Opération Père Noël nous fait découvrir l’organisme éponyme qui permet à des enfants défavorisés ou sans famille de vivre un moment magique le matin de Noël. Depuis 25 ans, l’organisme cofondé par Normand Brault et Thérèse Guillemette s’occupe de jumeler des enfants avec de généreux donateurs anonymes. Ces derniers offriront le cadeau demandé par l’enfant dans sa lettre au père Noël. Bien souvent, ce cadeau sera le seul que l’enfant recevra.
Opération Survie
Erica Pomerance
En Afrique subsaharienne, des millions de femmes accouchent loin d’un centre de santé. Suite à l’excision ou à un mariage précoce, lors de l’accouchement elles risquent de contracter un fistule obstétricale : le bébé meurt et la vie de la mère devient un véritable calvaire: incontinente, elle est souvent répudiée par son époux et sa communauté. Danielle Perreault, médecin omnipraticienne québécoise, se rend au Mali pour faire enquête.
Oppression – Les phobies
Lucie Lachapelle
Épisode de la série documentaire Oppression. Pour certains, il s’agit des serpents, des ascenseurs ou de la foudre. Pour d’autres, ce sont les regards, les réactions ou le jugement des autres qui posent problème. Les phobies prennent plusieurs formes mais elles affectent toutes profondément les personnes qui en souffrent.
Oppression: L’autisme
Lucie Lachapelle
Épisode de la série documentaire Oppression. L’autisme ne découle pas d’une négligence affective parentale comme on l’a longtemps soutenu. Plutôt que d’être blâmés, les parents ont besoin d’être appuyés pour traverser cette dure épreuve.
Oppression: le déficit de l’attention
Éliette Aubin
Épisode de la série documentaire Oppression. Le film suit au quotidien la vie d‘enfants et d‘adultes qui vivent avec le TDAH, tout en apportant un éclairage scientifique et une compréhension des facteurs aggravants et aidants de cette condition.
Oppression: Le stress post-traumatique
Lucie Lachapelle
Épisode de la série documentaire Oppression. Le stress post-traumatique ne touche pas seulement les soldats témoins des atrocités de la guerre. Ce mal, parfois difficile à diagnostiquer, peut frapper toute personne qui a vécu un événement intense et douloureux. Quand le traumatisme a été causé par une autre personne, les répercussions psychologiques sont toujours plus grandes. C’est alors la confiance en l’être humain qui est profondément atteinte.
Oraison
Laetitia Demessence
Leonor veut percer le mystère d’une danse mythique que sa mère a interprétée il y a trente ans. Confrontée à un chorégraphe peu orthodoxe, elle doit relever de nombreux défis pour mener à bien son initiation.
Orbites
Sarah Seené
Parce qu’elle a perdu la vue il y a quelques années, Marie-Christine explore la vie d’une manière sensible, depuis la pulpe de ses doigts. À travers son expérience personnelle, elle éveille son fils à la curiosité et à l’émerveillement que lui inspire la beauté de l’univers. Rassemblant une constellation d’images analogiques texturées et un bouquet de nappes sonores caressantes, Orbites incarne une plongée dans la mémoire sensorielle de Marie-Christine et mène une réflexion sur l’aspect fondamental de l’amour et de la transmission.
Orison
Gina Haraszti
Méditation en noir et blanc sur la tension entre la connaissance scientifique et la croyance religieuse. Un jeune scientifique, homme de raison, recherche ses sentiments d’enfance, sa capacité de croire oubliée, lorsque son père rabbin décède. C’est un film mélancolique qui capture une sorte de poésie éphémère et intangible sur la façon dont nous disparaissons de ce monde Le film explore la tension entourant les correspondances entre la croyance religieuse et la connaissance scientifique en se concentrant sur les souvenirs de la perte et ses effets émotionnels. Il est visuellement influencé par le concept de wabi-sabi, une philosophie japonaise qui trouve son origine dans la cérémonie japonaise du thé et ses outils. Basé sur des notions bouddhistes, il n’y a pas de mauvais ou de bon, de beau ou de laid, ils n’existent que dans nos idées préconçues. Rien n’est éternel et tout est en train d’apparaître ou de disparaître. Les images capturent des objets imparfaits et des moments éphémères, elles attirent notre attention sur une mouche morte prise dans une toile d’araignée comme une façon d’embrasser notre propre mortalité…
Oscar
Marie-Josée Saint-Pierre
Mélangeant séquences animées et extraits d’archives, Oscar est un portrait touchant du pianiste virtuose Oscar Peterson. Des débuts du jeune prodige de la Petite-Bourgogne à ses triomphes sur la scène internationale, ce documentaire de Marie-Josée Saint-Pierre aborde la profonde solitude de l’artiste constamment en tournée. Au son de sa musique tantôt entraînante, tantôt teintée de mélancolie, le film raconte avec émotion une vie dans le jazz.
Où ai-je déjà vu cela?
Parissa Mohit
Installation vidéographique projetée sur les fenêtres du MAI (Montréal, arts interculturels), Où ai-je déjà vu cela? sollicite par sa poésie urbaine les passants de la rue Jeanne-Mance à Montréal. Conçu à partir de la technique du cinéma d’animation, ce triptyque vidéographique puise son inspiration dans les miniatures persanes anciennes ainsi que dans le Montréal contemporain. Recherchant la similarité entre le passé et le présent, la trame narrative estompe les notions du temps et du lieu. Cette œuvre est inspirée par les peintures miniatures persanes du seizième siècle, ainsi que par des scènes contemporaines de Montréal. En créant une similarité entre le passé et le présent, les notions de temps et de lieu sont dissoutes.
Où vont les âmes
Brigitte Poupart
Anna a dix-huit ans, elle demande l’aide médicale à mourir. La date qu’elle s’impose ne lui donne que quinze jours pour accomplir son souhait de revoir ses demi-sœurs avant de s’éteindre. Séparées par des évènements liés à leur père commun, Ève et Éléonore se voient forcées de renouer avec Anna qui leur a mis une pression publique déjouant leur anonymat. La force de chacune se révèle à travers cette épopée qui leur demande de dépasser leurs peurs et leurs limites. En se laissant être perméables à la vie complexe qui est l’histoire de chacune, elles trouveront une sororité au-delà des dissentiments face à leur père condamné pour viol. Quelle place peut-on faire à l’amour après l’opprobre?
Oui mais non
Alexa-Jeanne Dubé
Un soir d’hiver, Émilie débarque à l’improviste chez sa voisine Joëlle. Plus la soirée avance, plus Émilie désire sa voisine qui de son côté, semble imperméable à ses charmes. Exploration d’une relation ambigüe empreinte d’admiration, de jeux de pouvoir, de tendresse maternelle et d’attirance sexuelle.
Our People Will Be Healed
Alanis Obomsawin
Cinquantième film de la réalisatrice Alanis Obomsawin, Le chemin de la guérison rend compte de l’enrichissement d’une communauté crie du Manitoba grâce à l’éducation. À Norway House, l’école Helen Betty Osborne bénéficie d’un financement dont jouissent peu d’établissements autochtones. L’œuvre transmet un message d’espoir : avec un encadrement scolaire adéquat, intégrant leur histoire, leur langue et leur culture, les jeunes Autochtones peuvent réaliser leurs aspirations.
Oùrs – La porte sera débarrée
Anna Lupien
Les retrouvailles de la réalisatrice avec des ami·es d’Ivujivik connus vingt-cinq ans plus tôt sont à l’origine d’un film tourné à Ivujivik, village le plus septentrional du Nunavik. Les récits des Ivujivimmiut se juxtaposent aux images de leur territoire pour former des diptyques vidéo évocateurs des bouleversements majeurs des dernières décennies, témoignages des collisions entre les peuples. Le projet se décline en plusieurs volets : un film, un livre, une exposition, un site web. www.ours.land
Out Standing
Mélanie Charbonneau
En 1995, de retour d’une mission de maintien de la paix en Croatie, la capitaine Sandra Perron – première femme officier d’infanterie au Canada – secoue l’armée en annonçant sa démission. Peu après, une photo troublante la montrant attachée à un arbre, inconsciente, en uniforme, refait surface. La machine médiatique s’emballe, l’armée lance une enquête, et Sandra se retrouve confrontée à ses traumatismes les plus enfouis. Refusant de se considérer comme une victime, elle choisit de parler, dévoilant le prix brutal du devoir et les batailles silencieuses qu’elle a menées contre le sexisme contre le sexisme et l’hostilité dans les rangs. Inspiré d’une histoire vraie, Out Standing est un récit poignant de courage, de résilience et de vérité, porté par une femme qui a refusé de se taire.
Outside of Europe
Amy Miller
Examines exclusionary nature of European Union immigration policies, migration and detention centres.
Ouvrir la voix
Amandine Gay
Ouvrir la voix est un documentaire sur les femmes noires issues de l’histoire coloniale européenne en Afrique et aux Antilles. Le film est centré sur l’expérience de la différence en tant que femme noire et des clichés spécifiques liés à ces deux dimensions indissociables de notre identité “femme” et “noire”. Il y est notamment question des intersections de discriminations, d’art, de la pluralité de nos parcours de vies et de la nécessité de se réapproprier la narration.
Over My Dead Body
Brigitte Poupart
Danseur, chorégraphe, Dave St-Pierre, est encensé tant par la critique que le public, ses pièces innovantes et subversives font le tour de l’Europe. Toutefois, la vulnérabilité de son corps le rattrape. Dave St-Pierre, 34 ans, est atteint de fibrose kystique. L’espérance de vie moyenne est de 37 ans et les médecins ne lui donnent que deux ans à vivre s’il ne reçoit pas de greffe de poumons. Sous le signe de l’urgence, son amie et complice, la metteure en scène et comédienne Brigitte Poupart nous plonge dans le quotidien de celui qui, à tout moment, espère l’appel du médecin.
P.S. Jerusalem
Danae Elon
Malgré les avertissements de son père, Amos Elon, un grand journaliste israélien opposé aux politiques de son pays, Danae Elon décide de quitter Brooklyn avec son mari et leurs deux jeunes garçons pour retourner vivre dans sa ville natale de Jérusalem. Pendant trois ans, elle filme les défis quotidiens de sa famille. De l’apprentissage d’une nouvelle culture par ses enfants aux profondes difficultés d’intégration de son mari, en passant par la prise de conscience inévitable des tensions insurmontables au sein de la région, ce retour aux sources va devenir une véritable quête d’identité. Avec une grande sincérité, la cinéaste nous propose une chronique autobiographique, familiale et politique aussi juste qu’inoubliable.
