Autres films sur ce thème
Monique Miller: une vie passionnée (Les grands reportages personnalités)
Martine Breuillaud
On accompagne la comédienne Monique Miller, alors qu’elle arpente les rues Montréal, revisitant des sites emblématiques de son existence. Elle remonte le fil d’une carrière fructueuse, tout en étant résolument tournée vers l’avenir. Passionnée par son art, Monique Miller regarde toujours en avant. C’est, encore aujourd’hui, le leitmotiv d’une carrière remarquable.
Monsieur
Francine Pelletier
Documentaire sur l’ex-Premier ministre du Québec, Jacques Parizeau. Jacques Parizeau est un aristocrate dans un pays qui n’en compte pas. Un homme que certains aiment pour sa détermination et que d’autres détestent pour les mêmes raisons. Un homme qui ne laisse pas indifférent. Ce documentaire est une invitation à découvrir l’homme plutôt que le politicien, l’amoureux plutôt que l’économiste, celui pour qui le destin a quelque peu basculé un certain soir d’octobre 1995.
Montre-moi ce que tu vois de l’autre que je ne vois pas – Alexandre Da Costa
Johane Bergeron
Une série d’articles de journaux d’ici et d’ailleurs servent de point de départ à une conversation intime entre Alexandre Da Costa (violoniste), Tania Kontoyanni (comédienne), le regretté Jean-Guy Moreau (humoriste), Maria Mourani (criminologue) et Roger Sinha (chorégraphe), qui ont prêté leurs voix à la lecture de certains extraits de ces articles. D’origines et d’horizons variés, ainsi posent-ils cinq regards différents, cinq manières autres de voir et de vivre la diversité culturelle actuelle.
Montre-moi ce que tu vois de l’autre que je ne vois pas – Feu Jean-Guy Moreau
Johane Bergeron
Une série d’articles de journaux d’ici et d’ailleurs servent de point de départ à une conversation intime entre Alexandre Da Costa (violoniste), Tania Kontoyanni (comédienne), le regretté Jean-Guy Moreau (humoriste), Maria Mourani (criminologue) et Roger Sinha (chorégraphe), qui ont prêté leurs voix à la lecture de certains extraits de ces articles. D’origines et d’horizons variés, ainsi posent-ils cinq regards différents, cinq manières autres de voir et de vivre la diversité culturelle actuelle.
Montre-moi ce que tu vois de l’autre que je ne vois pas – Maria Mourani
Johane Bergeron
Une série d’articles de journaux d’ici et d’ailleurs servent de point de départ à une conversation intime entre Alexandre Da Costa (violoniste), Tania Kontoyanni (comédienne), le regretté Jean-Guy Moreau (humoriste), Maria Mourani (criminologue) et Roger Sinha (chorégraphe), qui ont prêté leurs voix à la lecture de certains extraits de ces articles. D’origines et d’horizons variés, ainsi posent-ils cinq regards différents, cinq manières autres de voir et de vivre la diversité culturelle actuelle.
Montre-moi ce que tu vois de l’autre que je ne vois pas – Roger Sinha
Johane Bergeron
Une série d’articles de journaux d’ici et d’ailleurs servent de point de départ à une conversation intime entre Alexandre Da Costa (violoniste), Tania Kontoyanni (comédienne), le regretté Jean-Guy Moreau (humoriste), Maria Mourani (criminologue) et Roger Sinha (chorégraphe), qui ont prêté leurs voix à la lecture de certains extraits de ces articles. D’origines et d’horizons variés, ainsi posent-ils cinq regards différents, cinq manières autres de voir et de vivre la diversité culturelle actuelle.
Montre-moi ce que tu vois de l’autre que je ne vois pas – Tania Kontoyanni
Johane Bergeron
Une série d’articles de journaux d’ici et d’ailleurs servent de point de départ à une conversation intime entre Alexandre Da Costa (violoniste), Tania Kontoyanni (comédienne), le regretté Jean-Guy Moreau (humoriste), Maria Mourani (criminologue) et Roger Sinha (chorégraphe), qui ont prêté leurs voix à la lecture de certains extraits de ces articles. D’origines et d’horizons variés, ainsi posent-ils cinq regards différents, cinq manières autres de voir et de vivre la diversité culturelle actuelle.
Montre-moi… Ce que je ne vois pas
Nathalie Trépanier
Série documentaire sur les préjugés. * Réalisation des épisodes: – Les vieux – Les politiciens – Les assistés-sociaux
Montréal Dead End
Émilie Gauthier
Mara Joly
Montréal, Québec, Canada. Quelle est cette fumée verdâtre s’insinuant dans les rues? Quel que soit le mal étrange infectant chaque quartier, aucune issue n’est possible. Le salut de Montréal repose-t-il sur les épaules de ce « gardien » nouvellement arrivé en ville? Montréal Dead End est un long métrage collaboratif composé de quinze segments. Un segment par quartier. Un quartier par cinéaste, livrant ainsi sa partie de l’histoire. Dix-huit réalisatrices et réalisateurs ont donc contribué à cette fresque horrifique, portée par l’interprétation de plus de 90 comédiens et comédiennes et le savoir-faire de plus de 200 artisans du cinéma. D’une ombre menaçante dans le centre-ville à une rencontre sensuelle, mais mortelle, dans le quartier gai en passant par un jeu du chat et de la souris sur le Mont Royal, la métropole québécoise sera, l’espace d’une journée, en proie à la terreur et à l’horreur. Bienvenue à Montréal. Aucune issue n’est possible.
Montréal Girls
Patricia Chica
Un jeune poète en herbe venu du Moyen Orient, déménage à Montréal pour ses études de médecine et est à jamais changé par la ville et les jeunes femmes qui lui révèlent son destin.
Montréal vu par… Six variation sur un thème
Léa Pool
Le film est constitué de six courts récits de six réalisateurs canadiens autour du thème Montréal. Les six réalisateurs jettent leur regard personnel sur cette ville riche en contrastes. Desperanto (Patricia Rozema) – Utilisant un français sommaire, une jeune torontoise fait l’expérience de la vie nocturne à Montréal. La Toile du temps (Jacques Leduc) – L’histoire d’une toile de Jacques Viger La dernière partie (Michel Brault) – Après 40 ans de mariage, une femme essaie de dire à son mari, pendant une partie de hockey, son intention de divorcer. En passant (Atom Egoyan) – À l’aéroport, un participant à une conférence est bloqué par une douanière. Rispondetemi (Léa Pool) – À la suite d’un accident, alors qu’elle est conduite à l’hôpital en ambulance, une femme se remémore des moments de sa vie. Vue d’ailleurs (Denys Arcand) – Une femme d’un certain âge, pendant une réception, se souvient du grand amour qu’elle a connu à Montréal.
Montréal Yiddish
Erica Pomerance
Montréal Yiddish est un projet de documentaire sur l’histoire de la communauté juive ashkénaze venue s’installer en grand nombre à Montréal au début du XXième siècle. Cette communauté fut l’une des plus importantes à immigrer parmi les vagues d’immigration qu’a connues le Québec et a grandement contribué au façonnement de la société québécoise d’aujourd’hui, notamment par leur autonomie et dynamisme dans les organisations syndicales, et l’instauration de services de santé et sociaux dans leur communauté qui ont été des modèles pour le système de santé que l’on connaît aujourd’hui.
Morceau par morceau
Chloé Sirois
« L’enfance bascule, morceau par morceau, dans la lente décomposition du vivant. » – Jean Rouaud, Les Champs d’honneur (1999)
Mordecai Richler: The Last of the Wild Jews
Francine Pelletier
Scénarisé par le nouveau biographe de Mordecai Richler, Charlie Foran, en collaboration avec la réalisatrice Francine Pelletier, ce film examine l’écrivain Mordecai Richler sous un angle nouveau, celui de tout un cercle d’intellectuels et d’écrivains juifs qui ont dominé la scène culturelle nord-américaine des années 50 jusqu’à l’an 2000. Décédé en 2001, Mordecai Richler fait aussi partie de cette coterie de « Wild Jews », agitateurs et provocateurs-nés, fils d’immigrants nourris aux principes du Talmud comme aux exploits des super-héros des bandes dessinées, pour qui brasser la cage était un devoir quasi sacré et qui, ensemble, ont laissé une marque indélébile sur la culture nord-américaine. Homme volatile s’il y en avait un, souvent contradictoire, sans nuances, Mordecai Richler était aussi, un peu comme ces vieux prophètes de l’Ancien Testament, profondément sensible, engagé et brutalement sincère. Ce documentaire montre comment Mordecai Richler est devenu un véritable cosaque pour son entourage et comment il a bâti son oeuvre sur ce type de provocation.
Mordus de course
Lisette Marcotte
Suivez 10 familles de chez nous passionnées de sports motorisés. Qu’il s’agisse de tracteur à gazon, de dragster, de motoneige sur l’eau, de voiture sur glace ou encore d’hydroplane, l’amour du moteur, de la vitesse et de la compétition, ça se transmet dans l’ADN! Mordus de course et de compétition, la vie des clans tourne autour du circuit à longueur d’année. Le bruit des moteurs est de la musique pour leurs oreilles et l’odeur de la gazoline le plus doux des parfums! Ces familles qui carburent à l’adrénaline sont de véritables références dans leurs milieux de compétition.
Morning After
Patricia Chica
Michael est confronté à un dilemme, lorsqu’une soirée à boire avec des amis se transforme en une exploration sensuelle de l’identité sexuelle.
Motel Paradis
Sophie Deraspe
Suite à une expérience de mort imminente, Jen Paradis a la certitude que sa soeur de 14 ans ne s’est pas suicidée. Déterminée à faire la lumière sur sa disparition, elle ramène dans son village isolé l’enquêteur chargé de l’affaire trois ans plus tôt, maintenant à la retraite. Ensemble ils mèneront leur enquête.
Motetan Mamo (Marchons ensemble)
Sarah Fortin
Série documentaire sur la rencontre entre Atikamekw et Québécois autour de sujets communs comme la politique, l’éducation, l’environnement, la santé, etc.
Mother’s colours
Joyce Borenstein
Judith, artiste peintre, emménage dans une résidence pour personnes âgées, et se sent seule et déprimée. Elle découvre qu’elle peut s’échapper de ce milieu en entrant dans ses tableaux. Son voisin la voit plonger dans ses paysages et se joint à elle.
Motherland: Tales of Wonder
Helene Klodawsky
Ce long métrage documentaire jette un regard curieux et critique sur les discours nord-américains sur la maternité depuis le milieu du XXe siècle. À travers des conversations avec sept mères, une sélection fascinante d’images d’archives et d’images fixes des années 1950, ainsi que des films familiaux très francs et drôles, ce film propose de nouvelles façons de penser à ce que signifie être une bonne mère.
Mourir à tue-tête
Anne Claire Poirier
Mourir à tue-tête s’attaque à un sujet que les mentalités collectives s’acharnent à considérer comme tabou : le viol de la femme, de l’individuel (le cas de Suzanne) au rituel (la clitoridectomie), en passant par celui de masse (les Vietnamiennes). Le film va cependant plus loin en forçant le spectateur à se poser les questions fondamentales. Pourquoi le viol existe-t-il? Est-ce le sort naturel des femmes d’être violées? Qu’est-ce que le viol abîme chez la femme? Et où se situe la justice des hommes?
Mouvements du désir
Léa Pool
Une rencontre et une grande histoire d’amour à travers les beaux paysages traversés par un train canadien qui file de Montréal à Vancouver.
Moyen âge, Québec
Lisette Marcotte
Série sur les adeptes de la reconstitution historique et des jeux de grandeur nature.
Mr Hawk
Amandine Navarro
Le chanteur du groupe rentre chez lui après une grosse journée de travail. Il s’allume une cigarette et lance son application d’expérience virtuelle comme il le fait quotidiennement. Grâce à ses lunettes VR, il part à la rencontre de son animal totem, le faucon.