Autres films sur ce thème
Les jours
Geneviève Dulude-De Celles
Doctorante et professeure à temps partiel, Marie-Philip aime les chats et Harry Potter. Mais une semaine avant sa fête de 29 ans, la jeune femme apprend qu’elle a le cancer du sein. Durant un an, sans fausse pudeur, nous l’accompagnons dans chacune des étapes tandis qu’elle se confie avec une honnêteté bouleversante. Une ode à la vie, au courage et à la résilience de toutes celles qui se battent quotidiennement contre la maladie.
Les jours heureux
Chloé Robichaud
Emma est une jeune cheffe d’orchestre et étoile montante sur la scène montréalaise. Les jours heureux fait état de sa relation complexe avec son père et agent Patrick, qui maintient une emprise sournoise sur elle depuis l’enfance. La possibilité d’obtenir un important poste au sein d’un orchestre de prestige ne fait qu’accentuer les enjeux pour Emma. Elle devra laisser place à ses émotions véritables et faire des choix, autant pour sa musique que pour elle-même, si elle veut parvenir à naviguer sainement sa carrière et sa relation amoureuse avec Naëlle, une violoncelliste nouvellement séparée et mère d’un garçon.
Les jumeaux dizygotes
Cassandre Émanuel
Les jumeaux dizygotes, c’est l’histoire de Maël et Maya, des jumeaux non-identiques qui, aux dires de plusieurs, auraient entre eux des connections bien particulières.
Les justes
Karina Goma
Qui n’a jamais jeté un regard curieux sur la une sanglante d’un tabloïd ou éprouvé le désir de regarder par une porte entrouverte? Dans les Palais de justice du Québec, de curieux visiteurs scrutent la vie privée de leurs semblables en suivant, avec avidité, l’évolution des procès criminels.
Les lignes invisibles
Sandra Tomaylla
Un aperçu de la vie de quatre femmes à travers les contenus de leurs frigos.
Les loups
Sophie Deraspe
Élie débarque sur une île de l’Atlantique Nord, et tente de s’intégrer à la communauté. Comme ils n’ont pas l’habitude des étrangers, les habitants se méfient de la touriste qui semble cacher de lourds secrets. Comme la principale source de revenus du village est la chasse aux loups marins, les insulaires croient qu’elle pourrait bien faire de l’espionnage pour une association pour la protection des animaux. Quand elle veut en apprendre davantage sur leur mode de vie et les caractéristiques de cette chasse qui est leur gagne-pain, la plupart se ferme à elle, l’incombe de regagner sa métropole et de les laisser tranquilles. Peu d’hommes peuvent introduire une meute de loups…
Les ludions
Anne Claire Poirier
«Nous avons la chance d’être nos maîtres, de pouvoir créer de nouvelles formes et de nous situer, pour ainsi dire, à l’avant-garde.» Ainsi s’expriment les élèves de l’École nationale de théâtre que dirige monsieur Jean Gascon. Tourné en grande partie à Stratford, Ontario, ce film permet de suivre le travail accompli par les étudiants.
Les mains du monde
Anaïs Barbeau-Lavalette
Jean-Noël, Catherine, Ernie, Francis, Yves et Léo ont un seul point commun. Leur solitude. Solitudes d’aujourd’hui, face à un monde trop grand pour eux qui ne tourne pas toujours rond, face au deuil, à la pauvreté, à la vieillesse, à la difficulté de grandir dans un monde comme celui-là, solitude face à la vie si grande qui passe si vite… Pour s’en sortir, pour se retrouver, ils se sont inventés de petits gestes. De petits gestes à eux, pour eux. Tous sont engagés socialement de façon étonnante, admirable. Tous à leur manière, ils sauvent leur peau en donnant un petit peu d’eux. Les mains du monde, ce sont celles de ces résistants silencieux qui choisissent l’entraide comme réponse aux maux d’aujourd’hui. Ce ne sont ni des saints ni des politiciens, simplement des humains. Les mains du monde est une réflexion sur le sens que l’on choisit de donner à sa vie. Et un engagement contre le désespoir contemporain.
Les Mains noires – Procès de l’esclave incendiaire
Ayana O’Shun
Les Mains Noires – Procès de l’Esclave Incendiaire enquête sur l’esclavage en Nouvelle-France au 18e siècle à travers le personnage véridique de Marie-Josèphe Angélique, accusée d’avoir incendié Montréal en 1734. Après un procès épique, cette esclave indomptable est condamnée à être torturée et pendue. Était-elle vraiment coupable ou n’était-elle pas plutôt victime d’une conspiration? Pourquoi cette amnésie concernant cette facette méconnue de l’histoire québécoise? Un passionnant documentaire de 52 minutes mêlant habilement des récits d’historiens et du théâtre filmé à la manière de Dogville de Lars von Trier.
Les marchés de Londres (1969-1996)
Mireille Dansereau
L’histoire de deux personnages que l’on entend, mais ne voit jamais. Comme un vieux manuscrit caché au fond d’un tiroir, le film commence alors qu’une jeune étudiante filme les Marchés de Londres en 1969. 25 ans plus tard, elle invite un homme à visionner le film qui parle de sa jeunesse. Le couple dialogue sur les images de l’époque, un amour naissant se développe alors que le film prend fin. Comme une poupée russe, le film a plusieurs niveaux : la femme qui parle de son passé, le couple qui commente les images et le film lui-même.
Les mercredis de Rose
Guylaine Dionne
Tous les mercredis, Rose se rend faire le ménage chez un client qu’elle ne croise jamais et dont elle découvre peu à peu l’univers, s’en imprégnant tant et si bien qu’elle développe avec celui-ci une véritable relation amoureuse pleine de sensualité, de fantaisie et d’espoir inassouvi.
Les messagers
Helen Doyle
Les Messagers est une rencontre inspirante avec des artistes engagés, un voyage à la découverte de leur parcours; chacun à sa manière s’oppose à la barbarie de notre époque.
Les météorites
Nadia Louis-Desmarchais
Au cœur des années 2000, Léna et Maëlle, deux petites filles noires, vivent dans une famille d’accueil blanche aimante et nombreuse dont nous suivons les bouleversements à travers leur regard lumineux.
Les mètres carrés oubliés
Marie-Geneviève Chabot
Une usine désaffectée de Montréal, l’ancienne Brasserie Dow, se raconte à travers les visites de quelques explorateurs urbains.
Les mondes de Vincent
Rozenn Potin
Les mondes de Vincent est un voyage initiatique et intimiste au pays de la folie. Une incursion dans l’univers de la schizophrénie comme on l’a rarement vu, une rencontre entre un frère et une sœur sur la route de la vie avec comme trame de fond un questionnement sur la maladie mentale, le handicap, l’acceptation, la famille, l’amour…
Les mots / maux du silence
Helen Doyle
Des morceaux de poèmes, de lectures, de textes, d’extraits de pièces de théâtre, de chansons et de réflexion, rassemblés comme une courtepointe. À quoi ça sert, les médicaments, les électrochocs, les institutions??? Si tout cela ne servait qu’à niveler la révolte? À quoi ça sert, la psychiatrie et nos préjugés, réponses quotidiennes… Celles que l’on dit FOLLES???
Les mots bleus
Anaïs Barbeau-Lavalette
Dans un café-bar où sa mère travaille, Angèle, fillette sourde d’une dizaine d’années, parvient à faire sortir Klidas, un vieil homme triste, du silence où il s’est enfermé.
Les mots d’amour
Laetitia Demessence
Une femme est prise au piège de la solitude. Seule dans un monde sans liens humains, elle trouve refuge dans l’énigmatique compagnie de ses voisins à plumes. Son désir désespéré d’amour se transforme en obsession, brouillant les frontières entre la réalité et le rêve.
Les mots dits
Marie Brodeur
C’est avec passion qu’une trentaine de poètes québécois, de toutes générations, nous livrent leurs émotions, leur amour du mot et du langage qui les habite. En une grande récitation du monde, leur feu intérieur dépeint la nature humaine, exprime l’humour, la liberté, la quête du sens d’être, la résistance, l’amour… Dans son film, la réalisatrice Marie Brodeur fait appel aux dernières technologies vidéographiques pour filmer la parole de ceux et celles qui font vibrer notre poésie et révéler leurs préoccupations communes. D’audacieuses mises en scène de poèmes, des entretiens, des lectures et des images de Trois-Rivières – capitale québécoise de la poésie – se succèdent pour nous offrir un éloquent panorama de la poésie québécoise actuelle. Avec, entre autres, Claude Beausoleil, Dan Bigras, Nicole Brossard, Jean-Paul Daoust, Lucien Francoeur, Michel Garneau, Gilbert Langevin, Gaston Miron, Pierre Morrency, Tony Tremblay et Yolande Villemaire.
Les mots et les gestes qui soignent
Marquise Lepage
Le film Les mots et les gestes qui soignent, de la réalisatrice Marquise Lepage est une œuvre en deux volets qui ose faire une incursion dans l’univers des émotions et de l’intimité des femmes et des hommes atteints de cancer. À travers des témoignages touchants et une mine d’informations pertinentes, des spécialistes et des gens qui ont traversé l’épreuve de la maladie abordent d’importants sujets. Beaucoup des thèmes évoqués par ces intervenants sont considérés comme tabous, notamment les relations de couple, les difficultés érectiles, l’importance du toucher, des caresses et le rôle de la sexualité chez les humains. Certaines pistes de réflexion et des solutions – autant du côté psychologique que physique – y sont suggérées. Les mots et les gestes qui soignent: les femmes Les mots et les gestes qui soignent: les hommes * Le site internet Les mots et les gestes qui soignent compte au total 29 vidéos: 8 vidéos: Témoignages sur le cancer du sein 6 vidéos: Témoignages sur le cancer de la prostate 6 vidéos: Psychologues et sexologues 7 vidéos: Médecins et équipe soignante
Les mots gelés
Isabelle D’Amours
Charles est enseignant à l’école secondaire dont son père est le directeur. À la naissance de Charles, sa mère a fait une grave dépression et son père a dû la placer dans un centre spécialisé. Lui-même dépressif et médicamenté, Charles éprouve de grandes difficultés à entrer en contact avec les autres et se réfugie dans un monde imaginaire où il est ami avec « Mme Météo ». Pour exprimer ses émotions, le jeune homme les écrit sur des languettes de papier qu’il congèle ensuite dans des bacs à glaçons. Un jour, son père lui demande de s’occuper de sa mère, et le contact avec cette quasi-inconnue
Les négatifs de McLaren
Marie-Josée Saint-Pierre
Plongé dans l’univers intime du processus de création filmique, cet essai nous entraîne dans les confidences inédites du légendaire animateur canadien Norman McLaren et de sa vision bien personnelle du cinéma.
