Autres films sur ce thème
Manufacturing The Threat
Amy Miller
Produire la menace examine un épisode profondément troublant de l’histoire du Canada lorsqu’un couple en situation précaire a été contraint, par des agents infiltrés des forces de l’ordre, à commettre un attentat terroriste à la bombe. Faisant la lumière sur le monde obscur de l’infiltration policière et l’incitation par des agents provocateurs, le film montre comment les services de police et les agences de sécurité nationale du Canada, auxquels des pouvoirs supplémentaires ont été accordés après les événements du 11 septembre, enfreignent régulièrement les lois avec peu ou pas de comptes à rendre ou de contrôle.
Mapping Territories: A Shangai Story

Caroline Hayeur
Caroline Hayeur et Myléna Bergeron sont les premières artistes canadiennes invitées par le Duolun MoMA (Shanghai Duolun Museum of Modern Art). Elles réalisent une résidence d’artiste de deux mois qui ouvre sur une oeuvre vidéo-musique de 45 minutes. Shanghai est alors en proie à une frénésie dans son développement urbain qui n’épargne que 5 % de sa ville historique. La démolition, la reconstruction et l’expansion de la ville impliquent la migration imposée de populations. Les artistes explorent in vivo les mutations de cette ville-monde et observent la vitesse de métamorphose du paysage accentuée par les grands chantiers qui annoncent l’Exposition universelle de Shanghai en 2010.
Marc Séguin

Sandrine Béchade
Rencontre avec l’artiste en arts visuels réputé dans le cadre de l’exposition « la foi du collectionneur » au Musée d’art contemporain des Laurentides où plusieurs de ses œuvres sont peintes avec des cendres humaines. « Ma responsabilité, c’est de toucher l’humain, lui offrir des questionnements, peut-être des réponses. Tu es artiste, tu as une responsabilité sociale » – Marc Séguin.
Marché Jean-Talon

Hélène Choquette
Six mois dans la vie d’agriculteurs, de marchands et de clients dans le plus grand marché à ciel ouvert au Canada.
Marchés sur Terre
Yvonne Defour
Série documentaire qui nous permet de découvrir des marchés inusités tel que celui de l’encens au Sultanat d’Oman ou le marché de la soie de Tachkent en Ouzbékistan.
Mardi matin, quelque part

Hélène Bélanger-Martin
C’est un mardi matin, quelque part… un trajet mille fois emprunté. Des passages insouciants. Des écoliers, des travailleurs, une mère et son enfant, une femme enceinte, la vie qui bat…. le quotidien dans sa splendeur… à chaque instant vulnérable.
Marée
Laurence Turcotte-Fraser
Deux amants se trouvent et se perdent toujours au même endroit; cette plage perdue à Berthier-sur-mer.
Marguerite

Marianne Farley
Une dame âgée et son infirmière développent une amitié qui poussera celle-ci à déterrer des désirs et passions inavoués et ainsi faire la paix avec son passé.
Mariages
Catherine Martin
Québec, fin du XIXe siècle. Yvonne (Marie-Ève Bertrand) a vingt ans, l’âge des possibles, de l’absolu et de la confusion de l’âme. Sa vie se partage entre l’intensité vibrante de ses rapports avec la nature et l’austérité caractéristique de cette époque victorienne où l’on camoufle tant bien que mal les sentiments et les passions. Cet été là, son univers bascule à cause d’un rêve, de son désir ardent pour un homme et du «retour» insolite de sa mère, morte à sa naissance. Les évènements se précipitent et se télescopent. Elle prend conscience de son corps et du pouvoir de ses désirs d’une manière déterminante. Malgré les épreuves et peut-être grâce à elles, Yvonne se découvre elle-même et décide de son destin.
Marianne III : La dernière barge

Dasha Vymetalova
La série documentaire Marianne III : La dernière barge, diffusée sur les ondes de Télé-Gaspé, explore avec finesse l’histoire captivante de la construction de la dernière barge à l’Anse-au-Griffon par le talentueux artisan Luc Plourde. Ce récit visuellement saisissant dévoile les défis complexes et les étapes minutieuses de ce projet unique, de la conception à la mise à l’eau. Cette série rend un vibrant hommage à un pan essentiel du patrimoine maritime gaspésien, témoignant de son rôle central dans l’identité culturelle et historique de la région.
Marie pleine de grâce
Anaïs Barbeau-Lavalette
Série documentaire sur la chorégraphe Marie Chouinard.
Marie-Antoinette sur fond vert
Marie-Julie Dallaire
Documentaire sur les coulisses de Marie-Antoinette, un film réalisé pour la télévision par Yves Simoneau et Francis Leclerc et entièrement tourné en décors numériques.
Maritime
Évangéline De Pas
Près des trois quarts de la population du Québec vit le long du fleuve St-Laurent et en région maritime. De Montréal à Blanc-Sablon, en passant par les Iles-de-la-Madeleine et la Gaspésie, notre histoire, nos mœurs et notre culture ont été façonnées par la mer. De nos jours, on oublie trop souvent l’importance de nos racines maritimes. La série documentaire Maritime propose des histoires de gens d’ici qui ont un lien extraordinaire avec la mer. Ces récits d’hommes et de femmes sont le reflet de la réalité d’aujourd’hui à travers leurs yeux, leurs idées, leur travail, leurs aspirations et leurs rêves. Qu’ils soient chercheurs, pêcheurs, aquiculteurs, constructeurs navals, artistes, navigateurs ou simplement riverains, ils ont toutes et tous cette culture de la mer qui fait d’eux des gens de parole et d’action.
Martha qui vient du froid

Marquise Lepage
Sur une musique originale d’Elisapie Isaac, ce long métrage documentaire raconte l’histoire de Martha Flaherty, qui a vécu une bonne partie de sa vie au «Pôle Nord». Au milieu des années cinquante, sous de fausses promesses de vie meilleure, le gouvernement canadien déporte et abandonne à leur sort des familles inuites dans l’extrême Arctique. C’est dans ce désert de glace que Martha et sa famille ont vécu l’une des pages les plus sombres et les plus méconnues de l’histoire canadienne.
Martine à la plage

Martine Asselin
En revisitant ses souvenirs d’enfance, une femme s’interroge sur la maternité. Avec comme point de départ des vacances à la plage, réflexions faites autour des relations parents-enfants. La réalité de trois femmes différentes constituent le matériau de cette expérimentation documentaire: il s’agit d’abord d’une adaptation du texte de Évelyne de la Chenelière, réinterprété visuellement par l’utilisation d’archives des années ‘50 appartenant à une seconde femme qui a vécu la même situation lorsqu’elle était enfant, au moment du tournage des images. Le tout mixé à des images contemporaines d’une journée passé à la plage par la réalisatrice – qui s’appelle aussi Martine – et sa famille.
Mary Shelly

Guylaine Dionne
En 1816, âgée de 19 ans, elle écrivit Frankenstein, le premier roman fantastique publié, lors d’un séjour près du lac Léman en compagnie des écrivains romantiques Lord Byron et Shelley. Elle mourra en 1851 sans avoir réalisé qu’elle avait donné naissance à l’un des mythes les plus importants de la culture occidentale. Sombrée dans l’oubli pendant plus d’un siècle, elle demeure encore aujourd’hui méconnue du grand public. Pourtant, la vie pleine de rebondissements de cette femme libre et avant-gardiste est aussi passionnante que son chef-d’oeuvre. À tel point que la vie de Mary Shelley et son roman semblent indissociables. Où commence la réalité et où s’arrête la fiction? Ce documentaire partiellement dramatisé tente de répondre à cette question et brosse un portrait surprenant de cette femme de lettres que l’on redécouvre aujourd’hui.
Mascarade – Origin Story
Maïlis
Ce film retrace des épisodes de la vie d’Aïsha. De jeune fille Haïtienne grandissant à Montréal-Nord à ses périples au Brésil, le film dévoile ses rencontres avec sa famille choisie et la découverte de son identité en tant que femme et musicienne. Un nouveau sentiment d’appartenance émerge de ces expériences, nourrissant son inspiration. Consciente des blessures qu’elle porte, Aïsha s’engage dans un processus d’apprentissage visant à transformer ses traumatismes en des éléments propices à la guérison. Mascarade – Origin Story explore ainsi les profondeurs de son parcours, mettant en lumière la transformation personnelle et la résilience face aux épreuves de la vie.
Mataperra

Rachel Trudeau
Yelda del Carmen quitte sa patrie cubaine pour Montréal, où elle doit reconstruire sa carrière de danse à partir de zéro. Consciente des défis qui l’attendent, elle se lance dans une aventure unique d’escalade, avant de se consacrer pleinement à ses aspirations en danse. Ce récit entremêle la quête de découverte de soi de Yelda, alors qu’elle jongle entre son amour pour la danse et l’escalade.
Mathieu
Priscillia Piccoli
Mathieu, 26 ans, est atteint d’une maladie rare; le glaucome congénital. Suite à plus de vingt opérations, sa condition s’aggrave, il perdra la vue dans moins de 6 mois. Comment Mathieu fera-t-il pour vivre avec cette dure réalité?
Matrimoine

Ariel St-Louis Lamoureux
Sept jeunes femmes et leurs grand-mères discutent de la condition des femmes à travers les époques. Entre l’anecdotique et l’historique, entre le personnel et le social, les luttes et les choix d’une génération guident les prochaines.
Maud Lewis: A World Without Shadows

Diane Beaudry
Sur fond de ses peintures et des paysages de Yarmouth (Nouvelle-Écosse) qu’elles représentent, ce court documentaire est un portrait de la vie et de l’œuvre de Maud Lewis, l’une des plus grandes peintres primitives du Canada. Après une jeunesse handicapée par l’arthrite, Maud Lewis s’est réfugiée dans la peinture à l’âge de 30 ans. Elle n’avait jamais vu d’œuvre d’art et n’avait jamais suivi de cours d’art, mais ses peintures capturaient la force simple, la beauté et le bonheur du monde qu’elle voyait – un monde sans ombres.
Mazzarello
Carmen Rachiteanu
Le portrait inspirant d’une boxeuse argentine déterminée à transformer les démons de la violence en éthique sportive et de sa relation touchante avec son entraîneur.
McLarena

Mouna Andraos
Canons collectifs – Le projet McLarena a été commandé par le Quartier des Spectacles et l’Office national du film du Canada (ONF) pour Mur à Mur, un évènement célébrant le 100e anniversaire de la naissance de Norman McLaren. L’installation est inspirée du film Canon (1964), réalisé par Norman McLaren et Grant Munro. Le film illustre le principe du canon, de façon musicale et visuelle, grâce à un personnage réalisant des séries de mouvements reproduites à intervalles réguliers. La chorégraphie révèle progressivement des interactions entre les personnages qui se répètent, lorsque