Cinéma en ligne
Les mots et les gestes qui soignent
Marquise Lepage
Le film Les mots et les gestes qui soignent, de la réalisatrice Marquise Lepage est une œuvre en deux volets qui ose faire une incursion dans l’univers des émotions et de l’intimité des femmes et des hommes atteints de cancer. À travers des témoignages touchants et une mine d’informations pertinentes, des spécialistes et des gens qui ont traversé l’épreuve de la maladie abordent d’importants sujets. Beaucoup des thèmes évoqués par ces intervenants sont considérés comme tabous, notamment les relations de couple, les difficultés érectiles, l’importance du toucher, des caresses et le rôle de la sexualité chez les humains. Certaines pistes de réflexion et des solutions – autant du côté psychologique que physique – y sont suggérées. Les mots et les gestes qui soignent: les femmes Les mots et les gestes qui soignent: les hommes * Le site internet Les mots et les gestes qui soignent compte au total 29 vidéos: 8 vidéos: Témoignages sur le cancer du sein 6 vidéos: Témoignages sur le cancer de la prostate 6 vidéos: Psychologues et sexologues 7 vidéos: Médecins et équipe soignante
La Revanche des sorcières
Ève Lamont
Deux sorcières modernes, l’une de 25, l’autre de 50 ans, vivent des expériences de prise de pouvoir sur le corps et l’esprit. Leur vision de l’autonomie fait d’elles des hérétiques, tout comme le groupe de performeuses les Nitroglycérines qui signe la musique de ce docu vidéo-clip.
La bombe économique
Ève Lamont
En avez-vous assez des coupures de l’État dans les programmes sociaux? Les organisations populaires opposées à ces politiques où l’armement est privilégié au détriment du bien-être collectif expriment leur désaccord.
La fiancée de la vie
Carole Laganière
Un proverbe malaysien dit que la mort est la fiancée de la vie, que l’une et l’autre sont unies par une sorte de promesse. Inséparables. Pourtant, nous vivons dans une société où l’on éloigne les vivants des morts, où tout est mis en oeuvre pour minimiser l’impact de la mort sur les vivants. Ce refus d’affronter la mort nous amène tout naturellement, lorsqu’elle survient, à couvrir nos enfants d’un infini silence protecteur. Dans ce documentaire, la réalisatrice Carole Laganière évoque les silences de son enfance et donne la parole à des enfants qui ont vécu la mort d’un proche, qui se sont retrouvés un jour face à un «plus jamais» aussi injuste qu’inexplicable.
Un toit, un violon, la lune
Carole Laganière
Ils ont fait du music hall, ils ont chanté, ils ont dansé. Certains ont connu le succès, d’autres ont vu leur élan brisé trop tôt. Ces artistes n’ont plus 20 ans, mais ils ont été aimés et rêvent d’exister encore. Ils vivent sous le même toit, au Chez-Nous des Artistes. Le film va à la rencontre de personnages émouvants, vibrants, drôles, et témoigne de leur présent – celui d’artistes devenus vieux et qui n’ont pratiquement plus d’occasions d’exister dans le regard du public. Un portrait doux-amer d’êtres vibrants et plein d’humour.
Vues de l’Est
Carole Laganière
Vues de l’Est va à la rencontre d’enfants du quartier Hochelaga-Maisonneuve, ce quartier où est née la réalisatrice et qui est devenu synonyme de pauvreté, de violence, de décrochage scolaire. Le film donne la parole à des enfants dont on dit qu’ils ont peu de chances d’échapper à leur condition, des enfants qui traversent ces années capitales où l’on se construit une image de soi et où l’on se projette dans l’avenir.
Country
Carole Laganière
Ils sont cow-boys, musiciens, chanteurs ou simples amateurs fervents. Pendant la moitié de l’année, cette faune colorée évolue dans un univers à part où tout se vit sous le règne du country. Parcourant avec eux les festivals country québécois, Carole Laganière y a découvert une culture empreinte de chaleur humaine. Son documentaire nous fait partager, et ultimement comprendre, la passion de ces mordus qui se déplacent de villes en villages pour vivre au rythme du country.
Strangers
Joannie Lafrenière
Strangers est un documenteur qui s’attarde à un groupe de motocyclistes japonais. Organisant un danse-o-thon pour venir en aide à un de leurs accolytes, ces rockabillys à la coiffe surprenante devront faire face à l’arrivée d’un trouble-fête aux manigances pour le moins douteuses qui viendra semer la zizanie. Court métrage réalisé dans le cadre de l’émission télévisée La Course Évasion autour du monde.
La moustache
Émilie Beaulieu-Guérette
Joannie Lafrenière
Court métrage dressant avec humour le portrait d’une communauté d’hommes sri-lankais ayant comme signe distinctif le port de la moustache. Toujours au goût du jour malgré le passage du temps, la moustache représente ici le symbole de la virilité des sri-lankais. Réalisé dans le cadre de l’émission La Course Évasion autour du monde.
Hochelaga, mon amour
Joannie Lafrenière
Court métrage intimiste présentant, sous forme de déclaration d’amour, le quartier Hochelaga-Maisonneuve à Montréal. Cette vidéo de rencontres propose une approche sensible et ludique et témoigne de l’amour que porte Joannie à son quartier. Caniches, hot-dog steamé et belles gens sont donc au programme de ce court métrage réalisé avec tendresse.
La rencontre
Lucie Lachapelle
Tout au long d’un voyage du Nord au Sud du Québec, nous entrons dans l’univers de femmes et d’hommes qui ont lié leur vie à celle d’Amérindiens ou d’Inuit. La sensibilité de leurs témoignages nous permet de partager leurs émotions, leurs découvertes, leurs questionnements tandis que la lucidité de leur regard sur leurs relations avec les gens et le territoire atteste de la possible rencontre.
Village mosaïque – Côte-des-Neiges, Montréal
Lucie Lachapelle
Un quartier au cœur du monde, des visages inoubliables. Nous sommes à Côte-des-Neiges. Lucie Lachapelle est allée frapper aux portes qui l’isolaient de ses voisins pour en tirer un film dense et vibrant qui parle de liberté et de déracinement.
Cry Baby
Gabriele Kislat
Quels rêves viennent quand les bébés sommeillent? Un film d’action. Cry Baby est un court métrage sur le cauchemar d’un bébé. Dans ce cauchemar, le bébé (ma fille Naela quand elle avait 5 mois) vole sur une moto rose et se fait poursuivre par un monstre. Anyways, c’est son rêve, pas le mien, mais je fais de son rêve un film.
VTR Rosedale
Dorothy Todd Hénaut
Un animateur social de Calgary apprend la vidéo et travaille avec les pauvres dans la vallée de Drumheller, Alberta. Des militants à l’humour rare réussissent à changer les choses bien et comme il faut, en exigeant que le gouvernement de la province fasse sa part, et en enthousiasmant les habitants pour tout changer.
Sun, Wind and Wood
Dorothy Todd Hénaut
Un film tourné à l’Île du Prince Édouard, sur l’énergie renouvelable à une échelle quotidienne, et une Arche expérimentale un peu magique.
Horse-Drawn Magic
Dorothy Todd Hénaut
Film drôle et touchant sur une troupe de comédiennes et comédiens qui voyagent avec des roulottes de gitans tirées par de grands chevaux Clydesdale, amenant la magie du théâtre dans les villes et villages de l’ouest canadien.
Londeleau
Isabelle Hayeur
Une jeune femme accusée de sorcellerie raconte à un inquisiteur l’histoire de ses parents disparus dans des circonstances mystérieuses.
The Narrow Room
Isabelle Hayeur
Adaptation pour le cinéma de l’oeuvre pour la scène «Arms», chorégraphiée par Susan Marshall.
La chambre blanche
Isabelle Hayeur
Adaptation de la célèbre pièce chorégraphie La Chambre blanche par Ginette Laurin à O Vertigo Danse.
Droits d’auteur(e)
Isabelle Hayeur
Les personnages d’un documentaire s’emparent de la caméra de la réalisatrice pour se mettre en scène dans des pastiches de films célèbres.
Catherine Martin par Isabelle Hayeur
Isabelle Hayeur
Les Dames aux caméras présente une série de huit courts portraits de cinéastes québécoises de long-métrage de fiction. Capsule-portrait de la réalisatrice Catherine Martin. Catherine Martin nous a souvent touchés avec ses oeuvres documentaires ou de fiction. On lui doit le très beau Mariages (2001) et plus récemment Trois temps après la mort d’Anna (2010). Ses personnages féminins très forts sont au centre de ses récits. La recherche des sites de tournage prend souvent une grande importance dans son inspiration. Elle se sent parfois envoutée par certains lieux…
Portrait d’Angela Grauerholz
Isabelle Hayeur
Angela Grauerholz réinvente admirablement le devoir de mémoire par la photographie. Sous son objectif, la photo, le livre ou l’installation deviennent les lieux de toutes les expériences, celle de l’artiste, celle du spectateur et celle d’un instant qui n’existe plus. Subjectif, voyeur, omniscient, intime, ambigu, son regard, toujours présent, anime la photo ou l’installation pour créer un espace que le public est appelé à franchir.
Habiter – Au-delà de ma chambre
Caroline Hayeur
Un parcours photographique sur la notion du chez-soi comme espace de bien-être avec quatre adolescents montréalais. Cette oeuvre interactive, diffusée sur le web, est un parcours photographique sur la notion du chez-soi comme espace de bien-être avec quatre adolescents montréalais. La photographe poursuit sa réflexion sur le monde de l’adolescence et son travail avec une communauté donnée incluant une dynamique participative.
Chronopée_A, issue de TRAHIR
Caroline Hayeur
Le voyage sous le thème générique de l’exploration du territoire se scinde en une dizaine de micro-récits poétiques adaptés aux contextes successifs de leur diffusion. Par le biais de jeux d’abstraction et parfois même d’absences (comme les blancs sur la portée musicale), TRAHIR entame un rythme, une texture ou une tessiture que les artistes nouent ou dénouent par les enchevêtrements des images et des sons.
