Cinéma en ligne
Gephyrophobia
Caroline Monnet
The Gatineau-Ottawa region is marked by the daily struggles between these two neighbouring communities, whose cultural, political and linguistic traditions differ. The film Gephyrophobia, an English word for the phobia of bridges, is a film about movement, landscape, and the tension between two distinct identities whose common border is the Ottawa River.
Clebs
Halima Ouardiri
Les pelages bruns, beiges, blancs et noirs se fondent à l’ocre de la terre et des murs inondés de soleil. Calme à l’heure du repos, l’endroit devient assourdissant quand vient le moment de nourrir les bêtes qui entament alors leur concert d’aboiements. Dans le refuge pour chiens errants d’Agadir au Maroc, plus de 750 animaux trouvent aide et protection en attendant d’être adoptés par une famille. Chaque journée ressemble à la suivante, rythmée par la seule distraction des repas. Avec un regard aussi empathique qu’alerte aux jeux de lumière et de textures, Halima Ouardiri observe la chorégraphie qui régit la vie de la population animale, dont le quotidien suspendu évoque l’attente bien plus tragique de millions d’êtres humains à la recherche d’une terre d’accueil.
Mokhtar
Halima Ouardiri
Mokhtar raconte l’histoire d’un jeune garçon qui garde les chèvres de son père dans un petit village du sud du Maroc. Un jour, il trouve un hibou blessé et le ramène à la maison, mais le rapace est considéré comme un mauvais présage par son père, qui punit son fils.
Montre-moi ce que tu vois de l’autre que je ne vois pas – Roger Sinha
Johane Bergeron
Une série d’articles de journaux d’ici et d’ailleurs servent de point de départ à une conversation intime entre Alexandre Da Costa (violoniste), Tania Kontoyanni (comédienne), le regretté Jean-Guy Moreau (humoriste), Maria Mourani (criminologue) et Roger Sinha (chorégraphe), qui ont prêté leurs voix à la lecture de certains extraits de ces articles. D’origines et d’horizons variés, ainsi posent-ils cinq regards différents, cinq manières autres de voir et de vivre la diversité culturelle actuelle.
Montre-moi ce que tu vois de l’autre que je ne vois pas – Feu Jean-Guy Moreau
Johane Bergeron
Une série d’articles de journaux d’ici et d’ailleurs servent de point de départ à une conversation intime entre Alexandre Da Costa (violoniste), Tania Kontoyanni (comédienne), le regretté Jean-Guy Moreau (humoriste), Maria Mourani (criminologue) et Roger Sinha (chorégraphe), qui ont prêté leurs voix à la lecture de certains extraits de ces articles. D’origines et d’horizons variés, ainsi posent-ils cinq regards différents, cinq manières autres de voir et de vivre la diversité culturelle actuelle.
Montre-moi ce que tu vois de l’autre que je ne vois pas – Maria Mourani
Johane Bergeron
Une série d’articles de journaux d’ici et d’ailleurs servent de point de départ à une conversation intime entre Alexandre Da Costa (violoniste), Tania Kontoyanni (comédienne), le regretté Jean-Guy Moreau (humoriste), Maria Mourani (criminologue) et Roger Sinha (chorégraphe), qui ont prêté leurs voix à la lecture de certains extraits de ces articles. D’origines et d’horizons variés, ainsi posent-ils cinq regards différents, cinq manières autres de voir et de vivre la diversité culturelle actuelle.
Montre-moi ce que tu vois de l’autre que je ne vois pas – Tania Kontoyanni
Johane Bergeron
Une série d’articles de journaux d’ici et d’ailleurs servent de point de départ à une conversation intime entre Alexandre Da Costa (violoniste), Tania Kontoyanni (comédienne), le regretté Jean-Guy Moreau (humoriste), Maria Mourani (criminologue) et Roger Sinha (chorégraphe), qui ont prêté leurs voix à la lecture de certains extraits de ces articles. D’origines et d’horizons variés, ainsi posent-ils cinq regards différents, cinq manières autres de voir et de vivre la diversité culturelle actuelle.
Papa est là
Johane Bergeron
Thomas, photographe, se voit subitement privé de l’accès à son fils Diego suite à un enlèvement parental. Pour l’aider à soulager sa détresse et comprendre ce qui lui arrive, il entreprend un dialogue artistique avec Pierre, Ricardo et Tony, des pères dans la même situation dont il fera les portraits.
Montre-moi ce que tu vois de l’autre que je ne vois pas – Alexandre Da Costa
Johane Bergeron
Une série d’articles de journaux d’ici et d’ailleurs servent de point de départ à une conversation intime entre Alexandre Da Costa (violoniste), Tania Kontoyanni (comédienne), le regretté Jean-Guy Moreau (humoriste), Maria Mourani (criminologue) et Roger Sinha (chorégraphe), qui ont prêté leurs voix à la lecture de certains extraits de ces articles. D’origines et d’horizons variés, ainsi posent-ils cinq regards différents, cinq manières autres de voir et de vivre la diversité culturelle actuelle.
Morning After
Patricia Chica
Michael est confronté à un dilemme, lorsqu’une soirée à boire avec des amis se transforme en une exploration sensuelle de l’identité sexuelle.
Day before yesterday
Patricia Chica
Une jeune femme est retrouvée au milieu d’une rue déserte de Montréal, perdue et sans aucun souvenir de la façon dont elle est arrivée là. Elle est interrogée par la police – se souvient-elle de qui elle est ? Quelqu’un d’autre peut-il se souvenir ?
Mardi matin, quelque part
Hélène Bélanger-Martin
C’est un mardi matin, quelque part… un trajet mille fois emprunté. Des passages insouciants. Des écoliers, des travailleurs, une mère et son enfant, une femme enceinte, la vie qui bat…. le quotidien dans sa splendeur… à chaque instant vulnérable.
Allô Téta Allô Jedo
Joudy Hilal
À l’aide de vidéos faites avec son téléphone, une réalisatrice d’origine syrienne livre un regard sur Montréal, sa ville d’adoption, à ses grands-parents qui sortent rarement de chez eux.
Crimson Dance
Patricia Chica
Une danseuse de burlesque s’éclabousse d’une substance vitale pour prouver que les maux (mots) humains peuvent disparaître grâce à ce précieux liquide écarlate.
Avant l’automne
Sarah Baril Gaudet
À la veille d’un inévitable exil vers les centres urbains, la jeunesse du Témiscamingue est déchirée entre la quête d’un avenir meilleur et l’attachement à son territoire.
Là où je vis
Sarah Baril Gaudet
Là où je vis est une histoire faite de solitude et de vent, racontée avec la poésie de la toundra du Nunavik et les mots de la jeune Martha.
La main de fatma
Hejer Charf
Court métrage tourné en 2008 suite aux audiences publiques tenues par la Commission Bouchard-Taylor sur les accommodements raisonnables au Québec.
Where Have All the Flowers Gone
Hejer Charf
“Where Have All The Flowers Gone”, chantait Marlene Dietrich. Jack Kerouac et l’esprit révolté de la Beat Generation ont longtemps imprégné la Californie. De San Francisco à Los Angeles, un écrivain de rue, un ex-détenu d’Alcatraz, un Américain converti à l’Islam, des artistes bohèmes disent la désillusion, le déclin et s’accrochent au rêve.
Hollywood Signals
Amandine Navarro
1975. Sur un tournage de film pornographique, des acteurs et figurants s’enivrent et profitent du moment entre deux prises. L’acteur principal du fameux film « Deep Throat » (Gorge profonde) nous parle du côté underground du milieu du film pornographique. Il prend le rôle du chanteur en faisant le playback.
Mr Hawk
Amandine Navarro
Le chanteur du groupe rentre chez lui après une grosse journée de travail. Il s’allume une cigarette et lance son application d’expérience virtuelle comme il le fait quotidiennement. Grâce à ses lunettes VR, il part à la rencontre de son animal totem, le faucon.
Leslie Love
Amandine Navarro
Leslie est une femme imbue d’elle-même, dotée d’un gros égo et d’une belle paire de bottes, tout lui est due. Se retrouvant dans un bar, elle bouscule le monde sur son passage, vole le verre d’un habitué, se sert du mascara d’une cliente… c’est une Queen, rien ne l’arrête.
Colours
Amandine Navarro
Entouré de son groupe de danseuses, Nick Saanto entre dans un drôle de musée. Accueillis par deux Drag queens, ils découvrent une pluralité d’identités Queer : une lesbienne, un homme trans, un enfant drag accompagné de Drag queens, un homme gay, un groupe de bisexuels. Enfermés dans des pièces et visibles à travers des vitrines, ils représentent des moments précis de l’histoire LGBTQ. La devise du Musée : «You can judge ok ? But don’t express yourself! » (Tu peux juger mais pas t’exprimer sur ce que tu vois). Toutes sortes de visiteurs sont présents pour regarder, découvrir et se questionner sur ces personnes… Par sa voix/son chant, Nick les libère du musée et permet ainsi à la communauté de célébrer leurs différences, au-delà de tout jugement.
Chill ou crève
Amandine Navarro
Après une soirée où l’alcool et la drogue est consommé à outrance, un groupe de jeunes se prépare à sortir mais l’un d’entre eux est malade. Les autres partent et le laissent seul dans la salle de bain… mais un étranger est entré dans la maison.
Femmes des casernes
Louise Leroux
Film d’action au féminin, Femmes des casernes pénètre les coulisses du milieu incendie montréalais et témoigne de la force de caractère des quelques femmes qui y travaillent. Tourné sur une période de trois ans, le film expose le quotidien de deux pompières d’expérience ainsi que les efforts déployés par deux recrues qui tentent de faire leur place dans ce milieu des plus traditionnels. À peine une trentaine de femmes font partie du Service d’incendies de Montréal, contre plus de 2300 hommes. Depuis quelques années, les choses commencent toutefois à changer, grâce au programme “Les filles ont le feu sacré”, une initiative destinée à sensibiliser les jeunes femmes aux attraits d’un métier valorisant, mais très exigeant. Dès les études, les aspirantes doivent redoubler d’efforts pour être acceptées dans un univers qui ne leur fait pas de cadeau. Comme en témoigne le parcours semé d’embûches des jeunes Justine et Karine, qui voudraient suivre l’exemple de Mélanie, pompière depuis dix ans à la caserne 41 du quartier Parc-Extension.
