Other films on this theme
Les ludions

Anne Claire Poirier
«Nous avons la chance d’être nos maîtres, de pouvoir créer de nouvelles formes et de nous situer, pour ainsi dire, à l’avant-garde.» Ainsi s’expriment les élèves de l’École nationale de théâtre que dirige monsieur Jean Gascon. Tourné en grande partie à Stratford, Ontario, ce film permet de suivre le travail accompli par les étudiants.
Il y a longtemps que je t’aime
Anne Claire Poirier
Il y a longtemps que les hommes parlent des femmes; il y a moins longtemps que les femmes le font d’elles-mêmes. Mais, de toute évidence, on ne parle pas le même langage. Il y a longtemps que je t’aime décrypte les images pour le dire. Avec une centaine d’extraits de plus de soixante films pour suivre l’évolution du regard porté par le cinéma de l’ONF, depuis cinquante ans tant sur la condition féminine que sur la condition masculine.
Salut Victor!
Anne Claire Poirier
Adapté de la nouvelle ” Matthew and Chauncy ” de l’écrivain canadien Edward O. Phillips, Salut Victor! raconte l’histoire de la touchante amitié entre deux résidents d’un foyer pour personnes âgées. Un long métrage qui aborde avec finesse l’homosexualité tout en soulevant le problème universel du vieillissement et de la solitude. Avec Jean-Louis Roux et Jacques Godin.
Ce qui compte
Anne Barth
Drôme, sud de la France. À la suite d’un événement qui l’a bouleversé et interpellé profondément dans ses valeurs, Michel Valentin, un homme d’affaires qui a réussi, a remis en question le sens de sa vie. Grâce à deux rencontres déterminantes, il a poursuivi ses réflexions et s’est engagé à entreprendre autrement. Ce qui compte fait état de ses questionnements, de ses engagements et d’une pensée qui émerge dans le milieu de l’entreprise et dans le monde du travail plus généralement. Ponctué de plusieurs témoignages, le film est un appel vibrant à un changement profond des relations au monde.
Quels enfants laisserons-nous à la planète?
Anne Barth
La question «Quels enfants laisserons-nous à la planète?» est au cœur de l’enseignement d’Isabelle Peloux, institutrice de l’école du Colibri, une école primaire de la Drôme en France. En immersion pendant un an, la réalisatrice a capté de façon sensible les interactions entre Isabelle, les enseignants stagiaires et les enfants. Éducation à la paix, débat philosophique, écologie relationnelle et environnementale sont parmi les sujets du film qui captive petits et grands ! Ce film nous renvoie à l’enjeu même de l’éducation, notre éducation et celle des générations futures… Une éducation centrée sur la nécessité d’apprendre à faire ensemble, sur le besoin d’éduquer pour élever les consciences.
Une rivière imaginaire

Anne Ardouin
«Faut marcher dans le bois ma chère, pis penser, s’imaginer qu’il y a quelque chose au pied de cette montagne-là, ou l’autre bord de la montagne. Faut y aller voir si c’est vrai ou non. Faut quasiment se conter des menteries nous autres-mêmes.» Roméo Céré, prospecteur «Une rivière imaginaire» est le premier documentaire d’Anne Ardouin. Jean-Claude Labrecque a signé les images magnifiques. Ce projet explore le thème de la prospection minière en Abitibi et à Chibougamau. Les prospecteurs ayant une connaissance autodidacte se confrontent aux théories des géologues; ils ont cependant les mêmes objectifs : trouver les indices d’un dépôt de minerai pouvant éventuellement conduire à la création d’une exploitation minière. Le film relate les grandes étapes de ce processus et met en évidence les théories et l’imaginaire de ces chercheurs et leurs liens au territoire. S’inscrivant dans les enjeux portant sur le rôle des régions, des ressources et des paysages, le film apporte un regard particulier sur ces phénomènes.
Ruisseaux

Anne Ardouin
Exploration paysagère et poétique des ruisseaux tributaires de la rivière Richelieu; enquête sur les phénomènes merveilleux de ces cours d’eau qui s’écoulent à travers les champs et qui sont peu visibles des grands chemins. «Car le ruisseau évoque un territoire alternatif, peu visible, insoupçonné.» Le projet «RUISSEAUX», intégrant dessins, photographies et vidéo, proposait une exploration des cours d’eau ayant leur embouchure dans la rivière Richelieu et aux environs de Saint-Antoine-sur-Richelieu en Montérégie. Au fil de ses promenades, Anne Ardouin a découvert près de ces minuscules rivières des zones sauvages oubliées où personne ne marche jamais. À travers les saisons, elle y a observé les lumières, les transformations des végétaux, la flore merveilleuse, le ruissellement de l’eau. Car le ruisseau évoque un territoire alternatif, peu visible, insoupçonné. Ce sont des espaces de silence, dans ces abris mystérieux, sous le chaos, bien souvent, de grands arbres – et parfois non loin des maisons de banlieue ou au centre d’un grand champ. À la manière d’une recherche exploratoire et romantique, l’artiste s’est imprégnée de sensations diffuses qui se sont ancrées dans sa mémoire.
Tcikitanaw (la plus haute montagne)

Anne Ardouin
Arrivés dans l’âge adulte d’anciens adolescents atikamekw d’Opitciwan nous confient leurs rêves, leurs perceptions de la vie sur les lieux qui les inspirent dans le territoire. Tcikitanaw (la plus haute montagne) mesure le chemin parcouru par les anciens adolescents atikamekw filmés à Opitciwan, pour le film Awacak, en 1997. Tourné dans les lieux où ils se sentaient bien pour parler – sur la plus haute montagne, sur la plage Masko au nord du village, dans l’école de son enfance, à cet endroit où il aime pêcher, en forêt cherchant la force de l’aigle volant tout en haut, et au chalet de ses parents où le calme de la nature rythme le temps – cette métaphore s’inspire des lieux où reposent leurs rêves, et nous transmet leurs façons de traverser la vie, ses beautés et ses épreuves. Tcikitanaw est un film doux, enveloppé par une belle légende racontée par Jeanette Coocoo de Wemotaci et bercé par la musique de Sakay Ottawa de Manawan. * La suite, dix ans plus tard, du film Awack (passage entre l’enfance et l’âge adulte).
Awacak (passage entre l’enfance et l’âge adulte)
Anne Ardouin
Moments de vie d’adolescents atikamekw en six saisons. D’abord conçu comme un outil de valorisation sociale pour favoriser les discussions, le film Awack (passage entre l’enfance et l’âge adulte) présente six adolescents d’Opitciwan. * La suite, dix ans plus tard, dans le film Tcikitanaw (la plus haute montagne)
Panache
André-Line Beauparlant
Montcerf, dernier village avant l’Abitibi. La forêt, la nuit, le silence…, des branches craquent, de grosses bottes noires avancent avec précaution. Le chasseur cherche la bête. Avec tendresse et sensibilité, la documentariste André-Line Beauparlant plonge dans ce monde à part pour dresser le portrait de six chasseurs. Alternant entrevues et images de chasse, le film aborde avec sincérité et authenticité des sujets aussi profonds que l’amour, la mort ou la religion.
Elvis l’Italiano
André-Line Beauparlant
Chaque communauté a sa propre réincarnation d’Elvis, mais aucune tant aimée comme celle de Giuseppe ‘Joe’ Rondisi de la vibrante Petite Italie de Montréal. Originaire de la Sicile et dans la cinquantaine maintenant, Joe imite Elvis depuis son enfance, en donnant des performances dans les clubs, dans les festivals communautaires, où on le voulait et où il était aimé et applaudi. Le portrait authentique par André-Line Beauparlant, de cet imitateur devenu original déborde avec la chaleur, la douceur et l’humour de Joe alors que ses jours sous les feux des projecteurs arrivent à la fin.
Outside of Europe
Amy Miller
Examines exclusionary nature of European Union immigration policies, migration and detention centres.
Ouvrir la voix

Amandine Gay
Speak Up / Make Your Way is a documentary on black women from European colonial history in Africa and the West Indies. The film focuses on the experience of difference as a black woman and specific clichés linked to these two inseparable dimensions of our “woman” and “black” identity. It is particularly about the intersections of discrimination, art, the plurality of our life paths and the need to reclaim the narrative.
Mère de tant d’enfants

Alanis Obomsawin
In her first feature-length documentary, released in 1977, Alanis Obomsawin honours the central place of women and mothers within Indigenous cultures. An album of Indigenous womanhood, the film portrays proud matriarchal cultures that for centuries have been pressured to adopt the standards and customs of the dominant society. Tracing the cycle of Indigenous women’s lives from birth to childhood, puberty, young adulthood, maturity and old age, the film reveals how Indigenous women have fought to regain a sense of equality, instilled cultural pride in their children and passed on their stories and language to new generations. The story of Marle Williamson, an Ojibway, who lived through the residential school era.
Waban-Aki: People from Where the Sun Rises

Alanis Obomsawin
In this feature-length documentary from Alanis Obomsawin, the filmmaker returns to the village where she was raised to craft a lyrical account of her own people. After decades of tirelessly recording others’ stories, she focuses this film on her own.
Sigwan

Alanis Obomsawin
Sigwan tells the touching story of a young girl who is comforted and counselled by the animals of the forest. Written and directed by distinguished filmmaker Alanis Obomsawin, the film addresses issues of exclusion and prejudice that exist within many communities worldwide. Visually breathtaking and in High-Definition, Sigwan is a simple, transformative parable of acceptance.
La survie de nos enfants

Alanis Obomsawin
In this feature-length documentary, Indigenous filmmaker and artist Alanis Obomsawin chronicles the determination and tenacity of the Listuguj Mi’kmaq people to use and manage the natural resources of their traditional lands. The film provides a contemporary perspective on the Mi’kmaq people’s ongoing struggle and ultimate success, culminating in the community receiving an award for Best Managed River from the same government that had denied their traditional rights.
Je m’appelle Kahentiiosta

Alanis Obomsawin
This short documentary by Alanis Obomsawin tells the story of Kahentiiosta, a young Kahnawake Mohawk woman arrested after the Oka Crisis’ 78-day armed standoff in 1990. She was detained 4 days longer than the other women. Her crime? The prosecutor representing the Quebec government did not accept her Indigenous name.
Gabor
Joannie Lafrenière
Gabor is a quirky, feel-good portrait of Gabor Szilasi, the 94-year-old giant of Canadian contemporary photography. It is an uplifting immigrant story and an inspiring lesson on how to grow old with elegance and dignity.
Je voudrais voir la mer

Nicole Giguère
Vidéo clip sur la chanson Je voudrais voir la mer, interprétée par Sylvie Tremblay. Paroles: Michel Rivard Musique: Michel Rivard, Sylvie Tremblay, Marc Pérusse
Devenir

Hélène Bélanger-Martin
Under the direction of Hélène Bélanger-Martin, a film crew took up residence in painter and sculptor André Desjardins’ studio from December 2010 to January 2011. The film immortalises the birth of a sculpture, from idea to final work.
Émotionnisme

Hélène Bélanger-Martin
Literally becoming one with his canvas, the painter André Desjardins embarks on the creation of a large format painting. It all starts with a powder of pigment projected randomly on the canvas. Then, drawing inspiration from the shapes and textures thus created, the artist gives birth to a human face that seems to want to emerge from the painting.
LIBRE
Hélène Bélanger-Martin
This intimate documentary follows sculptor André Desjardins’ creation of a monumental sculpture. The artist opens the doors of his studio, nestled deep in the forest. Alone, surrounded by silence, he sands, polishes, cuts, and reworks the materials of his craft. The sounds of nature merge with the humming of his tools. Slowly, we observe the birth of Free, an eight-foot-tall kneeling figure. The lengthy creative process is punctuated by moments when the artist shares his thoughts. He revisits memories of childhood loss and grief, solitude, and an insatiable need to create.
Nathalie Trépanier, sculpteure d’objets oubliés

Hélène Bélanger-Martin
Flea markets, scrapyards, the bottom of the river, the artist Nathalie Trépanier leads us, with her, in the search for abandoned objects that will be used to create her sculptures. This journey, as surprising as it is refreshing, culminates in the studio where, patiently, the artist assembles all these objects, thus giving birth to playful and endearing characters.