Autres films sur ce thème
Opaline
Alix Galdin
Le titre Opaline évoque un objet de verre délicat et laiteux, reflétant la thématique de ce court métrage expérimental qui aborde la précieuse mais fragile période de l’enfance. Dans ce film, l’enfant pris dans la tempête familiale devient l’archive vivante d’une violence indicible. Les images qui composent ce poème visuel, d’abord captées par l’appareil photographique, ont été filmées en Super 8, puis peintes. Dans un quotidien figé et anxiogène, c’est la couleur ruisselant sur le film qui réhabilite le mouvement.
Opération Père Noël

Geneviève Albert
Le documentaire Opération Père Noël nous fait découvrir l’organisme éponyme qui permet à des enfants défavorisés ou sans famille de vivre un moment magique le matin de Noël. Depuis 25 ans, l’organisme cofondé par Normand Brault et Thérèse Guillemette s’occupe de jumeler des enfants avec de généreux donateurs anonymes. Ces derniers offriront le cadeau demandé par l’enfant dans sa lettre au père Noël. Bien souvent, ce cadeau sera le seul que l’enfant recevra.
Opération Survie

Erica Pomerance
En Afrique subsaharienne, des millions de femmes accouchent loin d’un centre de santé. Suite à l’excision ou à un mariage précoce, lors de l’accouchement elles risquent de contracter un fistule obstétricale : le bébé meurt et la vie de la mère devient un véritable calvaire: incontinente, elle est souvent répudiée par son époux et sa communauté. Danielle Perreault, médecin omnipraticienne québécoise, se rend au Mali pour faire enquête.
Oppression – Les phobies
Lucie Lachapelle
Épisode de la série documentaire Oppression. Pour certains, il s’agit des serpents, des ascenseurs ou de la foudre. Pour d’autres, ce sont les regards, les réactions ou le jugement des autres qui posent problème. Les phobies prennent plusieurs formes mais elles affectent toutes profondément les personnes qui en souffrent.
Oppression: L’autisme
Lucie Lachapelle
Épisode de la série documentaire Oppression. L’autisme ne découle pas d’une négligence affective parentale comme on l’a longtemps soutenu. Plutôt que d’être blâmés, les parents ont besoin d’être appuyés pour traverser cette dure épreuve.
Oppression: le déficit de l’attention
Éliette Aubin
Épisode de la série documentaire Oppression. Le film suit au quotidien la vie d‘enfants et d‘adultes qui vivent avec le TDAH, tout en apportant un éclairage scientifique et une compréhension des facteurs aggravants et aidants de cette condition.
Oppression: Le stress post-traumatique
Lucie Lachapelle
Épisode de la série documentaire Oppression. Le stress post-traumatique ne touche pas seulement les soldats témoins des atrocités de la guerre. Ce mal, parfois difficile à diagnostiquer, peut frapper toute personne qui a vécu un événement intense et douloureux. Quand le traumatisme a été causé par une autre personne, les répercussions psychologiques sont toujours plus grandes. C’est alors la confiance en l’être humain qui est profondément atteinte.
Oraison
Laetitia Demessence
Leonor veut percer le mystère d’une danse mythique que sa mère a interprétée il y a trente ans. Confrontée à un chorégraphe peu orthodoxe, elle doit relever de nombreux défis pour mener à bien son initiation.
Orison
Gina Haraszti
Méditation en noir et blanc sur la tension entre la connaissance scientifique et la croyance religieuse. Un jeune scientifique, homme de raison, recherche ses sentiments d’enfance, sa capacité de croire oubliée, lorsque son père rabbin décède. C’est un film mélancolique qui capture une sorte de poésie éphémère et intangible sur la façon dont nous disparaissons de ce monde Le film explore la tension entourant les correspondances entre la croyance religieuse et la connaissance scientifique en se concentrant sur les souvenirs de la perte et ses effets émotionnels. Il est visuellement influencé par le concept de wabi-sabi, une philosophie japonaise qui trouve son origine dans la cérémonie japonaise du thé et ses outils. Basé sur des notions bouddhistes, il n’y a pas de mauvais ou de bon, de beau ou de laid, ils n’existent que dans nos idées préconçues. Rien n’est éternel et tout est en train d’apparaître ou de disparaître. Les images capturent des objets imparfaits et des moments éphémères, elles attirent notre attention sur une mouche morte prise dans une toile d’araignée comme une façon d’embrasser notre propre mortalité…
Oscar

Marie-Josée Saint-Pierre
Mélangeant séquences animées et extraits d’archives, Oscar est un portrait touchant du pianiste virtuose Oscar Peterson. Des débuts du jeune prodige de la Petite-Bourgogne à ses triomphes sur la scène internationale, ce documentaire de Marie-Josée Saint-Pierre aborde la profonde solitude de l’artiste constamment en tournée. Au son de sa musique tantôt entraînante, tantôt teintée de mélancolie, le film raconte avec émotion une vie dans le jazz.
Où ai-je déjà vu cela?

Parissa Mohit
Installation vidéographique projetée sur les fenêtres du MAI (Montréal, arts interculturels), Où ai-je déjà vu cela? sollicite par sa poésie urbaine les passants de la rue Jeanne-Mance à Montréal. Conçu à partir de la technique du cinéma d’animation, ce triptyque vidéographique puise son inspiration dans les miniatures persanes anciennes ainsi que dans le Montréal contemporain. Recherchant la similarité entre le passé et le présent, la trame narrative estompe les notions du temps et du lieu. Cette œuvre est inspirée par les peintures miniatures persanes du seizième siècle, ainsi que par des scènes contemporaines de Montréal. En créant une similarité entre le passé et le présent, les notions de temps et de lieu sont dissoutes.
Oui mais non
Alexa-Jeanne Dubé
Un soir d’hiver, Émilie débarque à l’improviste chez sa voisine Joëlle. Plus la soirée avance, plus Émilie désire sa voisine qui de son côté, semble imperméable à ses charmes. Exploration d’une relation ambigüe empreinte d’admiration, de jeux de pouvoir, de tendresse maternelle et d’attirance sexuelle.
Our People Will Be Healed

Alanis Obomsawin
Cinquantième film de la réalisatrice Alanis Obomsawin, Le chemin de la guérison rend compte de l’enrichissement d’une communauté crie du Manitoba grâce à l’éducation. À Norway House, l’école Helen Betty Osborne bénéficie d’un financement dont jouissent peu d’établissements autochtones. L’œuvre transmet un message d’espoir : avec un encadrement scolaire adéquat, intégrant leur histoire, leur langue et leur culture, les jeunes Autochtones peuvent réaliser leurs aspirations.
Oùrs – La porte sera débarrée

Anna Lupien
Les retrouvailles de la réalisatrice avec des ami·es d’Ivujivik connus vingt-cinq ans plus tôt sont à l’origine d’un film tourné à Ivujivik, village le plus septentrional du Nunavik. Les récits des Ivujivimmiut se juxtaposent aux images de leur territoire pour former des diptyques vidéo évocateurs des bouleversements majeurs des dernières décennies, témoignages des collisions entre les peuples. Le projet se décline en plusieurs volets : un film, un livre, une exposition, un site web. www.ours.land
Outside of Europe
Amy Miller
Examines exclusionary nature of European Union immigration policies, migration and detention centres.
Ouvrir la voix

Amandine Gay
Ouvrir la voix est un documentaire sur les femmes noires issues de l’histoire coloniale européenne en Afrique et aux Antilles. Le film est centré sur l’expérience de la différence en tant que femme noire et des clichés spécifiques liés à ces deux dimensions indissociables de notre identité “femme” et “noire”. Il y est notamment question des intersections de discriminations, d’art, de la pluralité de nos parcours de vies et de la nécessité de se réapproprier la narration.
Over My Dead Body

Brigitte Poupart
Danseur, chorégraphe, Dave St-Pierre, est encensé tant par la critique que le public, ses pièces innovantes et subversives font le tour de l’Europe. Toutefois, la vulnérabilité de son corps le rattrape. Dave St-Pierre, 34 ans, est atteint de fibrose kystique. L’espérance de vie moyenne est de 37 ans et les médecins ne lui donnent que deux ans à vivre s’il ne reçoit pas de greffe de poumons. Sous le signe de l’urgence, son amie et complice, la metteure en scène et comédienne Brigitte Poupart nous plonge dans le quotidien de celui qui, à tout moment, espère l’appel du médecin.
P.S. Jerusalem

Danae Elon
Malgré les avertissements de son père, Amos Elon, un grand journaliste israélien opposé aux politiques de son pays, Danae Elon décide de quitter Brooklyn avec son mari et leurs deux jeunes garçons pour retourner vivre dans sa ville natale de Jérusalem. Pendant trois ans, elle filme les défis quotidiens de sa famille. De l’apprentissage d’une nouvelle culture par ses enfants aux profondes difficultés d’intégration de son mari, en passant par la prise de conscience inévitable des tensions insurmontables au sein de la région, ce retour aux sources va devenir une véritable quête d’identité. Avec une grande sincérité, la cinéaste nous propose une chronique autobiographique, familiale et politique aussi juste qu’inoubliable.
Pa t’mentir

Marilyn Cooke
Pa t’mentir s’engage à déconstruire des idées reçues et à démystifier certains tabous présents au sein des communautés noires et multiethniques québécoises. C’est avec franchise que Schelby, Keithy et Irdens parleront de sujets délicats avec des invités dans le but de créer des ponts entre les cultures.
Pachamama
Nathalie Trépanier
Série documentaire sur les traditions culinaires amérindiennes. * Réalisation l’épisode Essipit (saison 2)
Pacific Bell
Sandrine Béchade
Deux frères tentent la périlleuse traversée d’un étrange désert, mais alors qu’ils pensent ne pas en réchapper, une cabine téléphonique apparaît.
Painted Landscapes of the Times – A Film About Sue Coe

Helene Klodawsky
À ce jour, Sue Coe continue de choquer et d’informer l’establishment artistique avec ses représentations graphiques du monde qui l’entoure. Ce film énergique et émouvant présente l’art passionné de Coe et explore sa vision. Réalisé au début de sa carrière, il reste le seul film sur son travail. Dans la tradition de Käthe Kollwitz, George Grosz et Otto Dix, le journalisme visuel de Coe a une forte poussée idéologique qui identifie et traite les aberrations de notre société. Avec une précision féroce, Coe découvre la violence de base inhérente à une gamme de problèmes politiques et sociaux – de l’apartheid et de l’industrie de l’armement au viol et à la gentrification. Pourtant, comme le révèle le film dans un échange animé entre l’artiste et les jeunes, le travail de Coe est accessible à tous. Painted Landscapes of the Times présente l’une des œuvres les plus mémorables de Coe; “Une femme entre dans un bar – est violée par quatre hommes sur la table de billard – pendant que 20 regardent”. Exposée pour la première fois à la P.P.O.W. Gallery en…
Palais Montcalm lieu de mémoire et d’avenir
Lise Bonenfant
Documentaire sur l’histoire du Palais Montcalm de 1932-2007: 75 ans.