Autres films sur ce thème
Tierra Madre (Terre sacrée)
Mary Ellen Davis
Au Guatemala, la terre appartient à peu de gens, et surtout pas aux paysans mayas. Dans un pays assombri par la guerre, la quête d’un lopin à cultiver frise l’épopée! Tel est le propos que ce documentaire illustre à l’aide d’exemples éloquents et courageux.Malgré les arrestations, les menaces, et la destruction de leur récolte, une communauté Q’eqchi défend ses droits ancestraux sur l’une des propriétés d’un agro-exportateur. Ailleurs, parce qu’ils réclament un salaire ou quelques arpents de terre, des paysans Q’eqchi sont accusés d’être des guérilleros communistes. En 1982, l’armée a massacré des milliers de paysans: hommes, femmes et enfants confondus. Dans un des cas, ils étaient venus fonder un village 4 ans plus tôt. Les voisins et les survivants de «Las Dos Erres» racontent.Envers et contre toutes ces injustices et ces tragédies, les gens continuent pourtant à célébrer la vie. La musique, la danse, les cérémonies et les offrandes se poursuivent. L’espoir triomphera-t-il de la violence? Terre sacrée dévoile le courage et la foi d’un peuple en quête de paix.
Toujours artiste
Nathalie Ducharme
Une incursion dans la vie de 4 vedettes ayant marqué les années 60-70 et 80 par leur travail artistique et ayant contribué à leur façon à notre patrimoine culturel Québécois. Bien qu’ils ne soient plus sous les feux de la rampe, ces artistes sont encore aujourd’hui tout autant passionnés par leur métier. Être artiste, c’est pour la vie! Avec Muriel Millard, Kim Yarosheskaya, Claude Steben, René Caron. Avec la collaboration de Roger Sylvain.
Toxique
Nicole Giguère
État de la situation dans quatre régions du Québec affectées par des maladies environnementales. L’ amiante tue toujours… – Thetford-Mines Quand l’eau vous empoisonne – Shannon Danger d’aluminium! – Jonquière Le cancer attend au sous-sol… – Oka
Tristan Rêveur
Gina Haraszti
Ce projet présente une identité qui a été créée en coopération entre des inconnus sur l’internet. Tristan Rêveur est leur création commune. Ses œuvres d’art ont commencé à se multiplier sur l’internet par des inconnus. La réalisation de ce faux documentaire s’est déroulée de la même manière que celle d’un documentaire. J’ai recherché les faits inventés par d’autres personnes, puis je les ai résumés, arrangés et illustrés pour les montrer. La vidéo utilise un style documentaire classique pour convaincre le public de son authenticité. Le film comporte une fonction supplémentaire pendant l’exposition, qui ne fonctionne qu’en hongrois. La partie qui n’est pas sous-titrée contient des informations qui spoilent : un théoricien bien connu, J.A. Tillmann, commente la fausse identité à l’ère de l’existence en ligne. Le public qui ne fait que regarder l’œuvre, et qui n’écoute pas les écouteurs, n’est pas au courant de la tournure des événements. Le projet peut donc être interprété de deux manières. Après avoir entendu parler de Tristan Reveur, j’ai commencé à suivre son travail sur Internet. Bien que le processus m’intéressait, je voulais montrer…
Tshieutin
Caroline Monnet
Faites un tour dans le nord du Québec et du Labrador sur le premier chemin de fer appartenant aux Premières Nations du Canada. La ligne de train Tshiuetin s’étend sur 132,5 milles d’Emeril, Labrador à Schefferville, Québec. La majorité des passagers du train voyagent régulièrement pour des raisons professionnelles et familiales, en utilisant le chemin de fer car le transport routier et aérien n’est pas possible dans la région – une réalité unique qui met en évidence les défis auxquels sont confrontées tant de communautés nordiques aujourd’hui. La ligne Tshiuetin témoigne de la viabilité d’une entreprise dirigée par les Premières Nations; celui qui combine les avantages économiques locaux avec le respect du patrimoine culturel et linguistique de ceux qui utilisent régulièrement ce service.
Un arbre à colorier
Claudie Lévesque
Court portrait du poète Michel Albert rehaussé par des archives familiales Super8 de son enfance.
Un jour en Palestine
Mary Ellen Davis
Scènes de la vie quotidienne dans les Territoires occupés palestiniens, filmées dans le style du cinéma-maison des années soixante, où flotte une impression d’irréalité. Mais au lieu d’une journée à la plage ou sur l’herbe: un mur, un olivier, un bulldozer et des soldats qui harcèlent des grands-mères.
Un vaccin pour ma mère
Nicole Gravel
Docu-fiction humaniste qui raconte la jeunesse et la passion naissante du jeune Armand Frappier, qui développa le premier vaccin contre la tuberculose au Canada. Qui sauvera les populations québécoises et amérindiennes de la mort.
Une courte histoire de la folie
Isabelle Hayeur
Les tableaux d’Une courte histoire de la folie nous emmènent à travers l’histoire des traitements de la maladie mentale au Québec de la fin du 19e siècle à aujourd’hui par le biais de la danse contemporaine.
Une histoire de femmes
Sophie Bissonnette
La grève des travailleurs des mines de nickel de la multinationale INCO à Sudbury en 1978-79 est un jalon de l’histoire ouvrière au Canada. Les cinéastes ont choisi de suivre ce conflit d’une durée de 9 mois du point de vue des femmes des grévistes qui s’organisent en comité d’appui à la grève. Tourné au cœur des familles ouvrières, le film documente au quotidien l’implication des femmes dans la grève : les activités pour soutenir les familles, les lignes de piquetage, les prises de conscience et les débats parfois houleux avec le syndicat ou leurs maris. Ensemble, les femmes de Sudbury découvrent l’emprise de la compagnie sur leur vie personnelle et sur la vie collective, remettant en question leur rôle domestique traditionnel et découvrant leur propre pouvoir.
Une histoire sur le goût de la langue
Hélène Choquette
Véritable ode à la langue française aux multiples accents du Québec, Une histoire sur le goût de la langue retrace sa trajectoire peu banale, de la Conquête de 1759 à nos jours. En plus d’historiens, linguistes et autres passionnés de la langue, des personnalités reviennent sur des événements charnières tels qu’ils les ont vécus. Un documentaire historique, engageant et décomplexé sur le parcours linguistique d’un peuple jadis assujetti à la Couronne britannique et aujourd’hui plus que jamais fragilisé par l’hégémonie de la langue anglaise.
Une manière de vivre
Micheline Lanctôt
Colette perd son mari dans des circonstances tragiques et se reproche de ne pas avoir été à ses côtés. Sa fille Gabrielle, boulimique, travaille comme escorte de luxe et mène une existence houleuse et sans objet. Joseph, spécialiste de Spinoza, enseigne la philosophie dans une université de Belgique et vient à Montréal participer à une rencontre de philosophes. Ces trois personnages vont entrer en collision et leurs vies en seront changées à jamais.
Une rivière imaginaire
Anne Ardouin
«Faut marcher dans le bois ma chère, pis penser, s’imaginer qu’il y a quelque chose au pied de cette montagne-là, ou l’autre bord de la montagne. Faut y aller voir si c’est vrai ou non. Faut quasiment se conter des menteries nous autres-mêmes.» Roméo Céré, prospecteur «Une rivière imaginaire» est le premier documentaire d’Anne Ardouin. Jean-Claude Labrecque a signé les images magnifiques. Ce projet explore le thème de la prospection minière en Abitibi et à Chibougamau. Les prospecteurs ayant une connaissance autodidacte se confrontent aux théories des géologues; ils ont cependant les mêmes objectifs : trouver les indices d’un dépôt de minerai pouvant éventuellement conduire à la création d’une exploitation minière. Le film relate les grandes étapes de ce processus et met en évidence les théories et l’imaginaire de ces chercheurs et leurs liens au territoire. S’inscrivant dans les enjeux portant sur le rôle des régions, des ressources et des paysages, le film apporte un regard particulier sur ces phénomènes.
Unfortunately It Was Paradise
Ralitsa Doncheva
Composé à partir d’images issues de films documentaires ukrainiens des années 1970 et de films de propagande communistes, Unfortunately It Was Paradise cherche à créer une expérience hypnotique qui, dans une progression en boucle, simule le cycle d’une vie. Troublant de familiarité – et pourtant anonyme – le film suscite à la fois un sentiment de présence et d’absence.
Victor-Lévy Beaulieu: du bord des bêtes
Manon Barbeau
Victor-Lévy Beaulieu est un des auteurs québécois les plus prolifiques des 25 dernières années. Dans la vie privée comme dans ses oeuvres, il est un homme de paroles qui clame ses convictions, haut et fort. Agrémenté d’extraits de ses oeuvres qui viennent approfondir ses propos, ce documentaire montre la part d’ombre et de lumière tant de l’homme que de l’oeuvre, révèle les chuchotements de sa maison et ce qui se passe entre ces chuchotements, quand on n’entend plus rien…
Victorin le naturaliste
Nicole Gravel
Ce film est une évocation historique qui emprunte les pas du frère Marie-Victorin, fondateur du Jardin Botanique de Montréal (1931) et auteur de La Flore Laurentienne. Fascinant univers visuel et sonore, ce film nous initie aux rudiments des sciences naturelles, de la recherche botanique et des grandes explorations floristiques. En compagnie de ce professeur universitaire et religieux, anticonformiste, nous apprenons à herboriser sur une longue route menant à travers les îles et les terres de cet immense jardin vert d’Amérique qu’est le Québec.
Vie de château
Catherine Lemercier
Vie de château est une ode au château Frontenac à travers ses différents espaces, époques et personnages. Traversé par ses multiples occupants – femmes de chambre, concierge, retraités –, le film est un voyage dans le temps et dans l’espace qui nous fait bourlinguer entre le présent et le passé, des cuisines aux somptueux salons. Nous assistons à un mariage au 21e siècle et à l’arrivée du premier ministre Winston Churchill pour la Conférence de Québec en 1944. Le film s’aventure également dans les divers départements du château. Avec la transformation esthétique du château, c’est à une transformation des valeurs, une évolution des goûts et un changement de mentalités que nous assistons avec, en filigrane, ce désir constant de préserver certaines traditions. Vie de château propose un voyage dans lequel les histoires du passé, liées à celles du présent, produisent un kaléidoscope de portraits impressionnistes, mais historiquement fidèles, de ce microcosme qui continue de façonner l’histoire du château Frontenac.
Viva la Salsa
Nathalie Ducharme
Les danses latines font un retour en force. Place à la salsa! Avec la popularité croissante des musiques du monde, les Québécois se découvrent une passion pour les danses latines. La salsa, sensuelle et rythmée, permet aux couples de se rapprocher et de faire connaissance. À Montréal, les bars se font concurrence pour offrir des soirées de danse latine. Sur le territoire québécois, une vingtaine d’écoles de danse enseignent maintenant l’art de la salsa. Karina Marceau rencontre des danseurs qui ont fait de la salsa un passe-temps, voire même un mode de vie. Pendant que certains dansent pour faire des rencontres, d’autres se donnent corps et âme à la compétition. Ce documentaire nous amène enfin au pays d’origine de la salsa, Santiago de Cuba, berceau du Buena Vista Social Club, une ville où la musique et la salsa font partie du quotidien. Pendant que les musiciens se donnent en spectacle dans la rue, les Cubains dansent sur les trottoirs. Documentaire pour la série 109.
Vivre avec l’art… Un art de vivre
Anne-Marie Tougas
Bernard Landriault, un collectionneur d’art, filmé de l’intérieur à travers ses actions, ses réflexions, sa relation avec les œuvres et les artistes de sa collection. Il est un homme sensible, ouvert et passionné. Chez lui, chez le galeriste, au musée ou à l’atelier de l’artiste, Bernard Landriault se dévoile par petites touches, et expose sa relation vivante à l’art, sa philosophie et ses motivations. Ses choix sont guidés par l’émotion, l’intuition et la réflexion. Le collectionneur est en lien profond avec les œuvres et les artistes qu’il continue de suivre et d’appuyer. Vivre avec l’art… un art de vivre, une rencontre avec l’Art, avec ceux qui l’aiment et le font, et en filigrane, une réflexion sur le pouvoir de transformation de l’être humain par l’Art.
Vivre avec la Terre
Julie Perron
Vivre avec la terre, un court-métrage tourné entièrement en Grèce, sur le terrain de fouilles archéologique de Dikili Tash dans les Philippes. On y découvre le travail fascinant d’une archéobotaniste, Tania-Soultana Valamoti et de son équipe qui trouvent et analysent des restes végétaux datant de l’époque du Néolithique et de l’âge de Bronze.
Voisins
Tahani Rached
Garden City, un petit quartier du Caire loin d’être sans importance. Au début du 19e siècle, il fut le centre des affaires politiques internationales de la capitale égyptienne. Le film nous fait découvrir ces villas abandonnées, ces immenses salles de réceptions, ces ambassades étrangères, ces commerces menacés et ces toits terrasses. Les maisons se font témoins à mesure qu’elle dévoilent les remous de l’Histoire. Ces demeures et leurs riverains parlent d’une voix pour décrire l’espoir, la chute et la survie. Loin du politiquement correct, un pan de vérité apparait, loin des clichés.
VTR Rosedale
Dorothy Todd Hénaut
Un animateur social de Calgary apprend la vidéo et travaille avec les pauvres dans la vallée de Drumheller, Alberta. Des militants à l’humour rare réussissent à changer les choses bien et comme il faut, en exigeant que le gouvernement de la province fasse sa part, et en enthousiasmant les habitants pour tout changer.
Vu par hasard – Francois Mathieu
Suzanne Guy
Série documentaire sur l’art public à travers le Québec et ses artistes et leur démarche. De Marc-Aurèle Fortin à Vaillancourt en passant par Miron. Déposées discrètement au ras du sol, marquant le passé d’un site historique, ou harnachées aux murs d’un lieu d’apprentissage, les œuvres de François Mathieu nous amènent à sentir la vie au moyen de matières uniques dépassant le paysage.
Vu par hasard – Pierre Leblanc
Suzanne Guy
Série documentaire sur l’art public à travers le Québec et ses artistes et leur démarche. De Marc-Aurèle Fortin à Vaillancourt en passant par Miron.