Autres films sur ce thème
Dimicatio (The Godfather part 2)
Gabriele Kislat
La suite de Pate Besucht, une histoire inspirée par The Godfather, des chats et un parapluie.
Dire – Unspokenwords
Geneviève Sauvé
L’une est célèbre, l’autre s’accroche pour continuer. Leurs réalités bien distinctes et leur rapport à leurs mères sont transposées dans leurs troublantes performances scéniques.
Dix fois Dix
Jennifer Alleyn
Soldat volontaire en 1914; témoin de la montée Nazie en 1933, le peintre, graveur et dessinateur allemand Otto Dix met son travail au service d’une dénonciation systématique de l’horreur. Avec une lucidité décapante, ce grand maître bouleverse et choque. L’art est pour lui une arme. Celui qui disait: “Il me faut le courage de peindre le laid”, laisse une oeuvre aussi troublante qu’humaine et pause un regard sur le chaos qui l’entoure, qui n’est pas sans résonnance avec l’Amérique d’aujourd’hui…
Dixie Time!

Martine Asselin
Petit moment musical festif au Festival du Jazz de Montréal. Cette oeuvre a été produite pour l’émission Impression Jazz, produite par Amérimage-Spectra, dont elle constituait un segment. Martine Asselin y avait été invitée comme «artiste en résidence» pour produire une oeuvre lors du Festival de Jazz édition 2007.
Double portrait
Marilú Mallet
Double portrait est composé de fragments de deux vies humaines: ceux de la réalisatrice et ceux de sa mère, la peintre Maria Luisa Segnoret.
Down Dangerous Passes Road
Mireille Couture
Montages photo et vidéo qui illustrent les tensions intérieures des personnages pour la mise en scène d’Emma Tibaldo. Trois frères se remémorent le passé d’une effroyable façon, suite à un accident de voiture sur Le chemin des passes-dangereuses. J’ai tenté de souligner le rapport distant qu’ils entretiennent, entre eux et avec le lieu de l’accident. Les extraits vidéos que je vous présente accompagnaient la scénographie lorsque la pièce a été montée, à l’automne 2008. La musique, de Micheal Leon, était aussi une composante de la production.
Drei Atlas
Miryam Charles
Une femme de chambre est suspectée du meurtre de son ancien employeur. Interrogée par la police, elle révélera l’existence d’un pouvoir surnaturel.
Du hockey propre, la petite histoire d’un film culte
Sarah Fortin
Le Québec entretient une fascination particulière pour le film Slap Shot, sorti en 1977. Du hockey propre: petite histoire d’un film culte remonte la filière québécoise de ce célèbre film de hockey.
Du pic au coeur
Céline Baril
Serge aime Alice depuis l’enfance. Alice aime Léon qui lui, se passionne avant tout pour la musique. Alice chante dans le band de Léon. Elle est aussi concierge de l’immeuble où ils vivent tous les trois, épiés par l’oeil électronique d’un propriétaire philosophe qui dort dans sa vieille limousine. Du pic au coeur compose un monde voisin de celui de l’enfance où tout est si exagéré, si dessiné, si plein de sens.
Du teiwekan à l’électro

Kim O’Bomsawin
Il y a très longtemps, hommes, femmes et enfants de tous âges, clans, allégeances et nations se sont unis au son des vibrations du teweikan. Entre les mains des auteurs-compositeurs-interprètes Pakesso Mukash (Cri/Abénaki), Shauit (Innu) et Moe Clark (Métis), il s’avère toujours un puissant outil de communion. Sous des airs désormais folk, électro ou reggae, le teweikan – qui signifie tambour traditionnel – s’efforce encore aujourd’hui de créer des ponts entre les générations, les vivants et les morts, les territoires, les conquis et les insoumis. En suivant les trois musiciens dans leurs communautés respectives, nous découvrirons toute la vitalité des artistes autochtones d’ici, les causes qui leur sont chères et leurs inspirations profondes. Nous en profiterons pour remonter le fil de l’histoire de la musique des Premières Nations, du teweikan à l’électro, de Montréal à la baie d’Hudson, des plaines canadiennes à la Côte-Nord.
Duo pour une soliste
Mireille Dansereau
Ce récit, c’est le désespoir de Stéphanie Abrahms, une des plus grandes violonistes du XXe siècle qui soudain apprend qu’elle va mourir et ne pourra plus jouer. En six tableaux, six séances chez le psychiatre, elle cherchera à déjouer l’angoisse de la fin. Tom Kempinsky avait écrit Duet for One en s’inspirant de la vie de la violoncelliste Jacqueline du Pré, atteinte de sclérose en plaques. Pour les besoins de la scène, il en a fait une violoniste et il a transposé l’action de sa pièce dans le bureau d’un psychiatre.
Échos d’Istanbul

Giulia Frati
Ils vendent de tout. Des tissus, de la nourriture, des rideaux… Tous le font dans la rue, à Istanbul. Depuis plus de cinquante ans, pour certains d’entre eux. Mais leur mode de vie doit changer. Comme leur ville qui s’embourgeoise rapidement et que les autorités veulent «moderne et propre». En cinq ans, les quartiers populaires y ont été détruits et les populations évincées. Pour ces vendeurs de rue, c’est toute leur culture et ses traditions qui est en jeux. Rythmant son film par les bruits de la ville habilement mis en valeur, Giulia a suivi l’évolution de la situation sur près de 10 ans.
Écriture(s) vivante(s)

Sandra Coppola
Au fil des ans, Eric Jean a développé une démarche artistique hors du commun pour la création de ses pièces de théâtre. En 2011, Eric récidive. Entrevues et improvisations avec les comédiens sont au rendez-vous pour créer une œuvre envoûtante.
Edith Butler, Aimer la vie (Les grands reportages personnalités)

Geneviève Tremblay
La culture acadienne est indissociable de cette artiste qui l’a portée à bout de bras à travers sa voix et ses chansons: musicienne engagée, profonde et réservée malgré les apparences, Édith Butler a tracé le chemin des plus grandes scènes du monde pour la génération qui lui a succédé.
El Motemei

Émilie Baillargeon
Carlos Martinez est le dernier vendeur de maïs ambulant de Valparaiso au Chili. Parcourant les collines de la ville, le crieur publique se transforme en poète.
El Sueño de Alonso (Le rêve d’Alonso)
Danièle Lacourse
Dans un petit village du Chiapas au Mexique, Alonso fait un rêve prémonitoire. Comme des milliers d’autochtones mayas, il doit fuir son village pour rester en vie. Malgré les menaces de mort, il y retournera pour sauver sa famille et 330 civils pris en otage. Alonso nous guide dans un voyage à travers les rêves et les valeurs de sa culture, aujourd’hui menacée.
Éloge de l’ombre
Catherine Martin
L’essai littéraire Éloge de l’ombre de l’écrivain japonais Junichiro Tanizaki, le clair et l’obscur, les origines de la photographie et du cinéma forment la trame de cette « méditation cinématographique » en trois chapitres. Des ombres évanescentes glissent les unes dans les autres et tissent, dans une pénombre habitée, une rêverie envoûtante qui nous ramène à notre présence au monde, au passage du temps, à l’essence même de la vie et à sa fragilité.
Elvis l’Italiano
André-Line Beauparlant
Chaque communauté a sa propre réincarnation d’Elvis, mais aucune tant aimée comme celle de Giuseppe ‘Joe’ Rondisi de la vibrante Petite Italie de Montréal. Originaire de la Sicile et dans la cinquantaine maintenant, Joe imite Elvis depuis son enfance, en donnant des performances dans les clubs, dans les festivals communautaires, où on le voulait et où il était aimé et applaudi. Le portrait authentique par André-Line Beauparlant, de cet imitateur devenu original déborde avec la chaleur, la douceur et l’humour de Joe alors que ses jours sous les feux des projecteurs arrivent à la fin.
Émotionnisme

Hélène Bélanger-Martin
Faisant littéralement corps avec sa toile, le peintre André Desjardins se lance dans la création d’une peinture grand format. Tout commence par une poudre de pigment projetée de façon aléatoire sur le canevas. Puis, s’inspirant des formes et des textures ainsi créées, l’artiste fait naître un visage humain qui semble vouloir émerger du tableau.
Entends ma voix

Maryse Legagneur
Au-delà de la faible représentativité des minorités dans les médias de masse, le débat sur l’égalité porte maintenant sur le contenu même des œuvres. Parmi celles qui ont été taxées d’appropriation culturelle, le spectacle SLĀV, de Robert Lepage et Betty Bonifassi, a créé une grande controverse au Canada. Des membres des communautés afro-descendantes ont dénoncé le manque de créateurs et d’acteurs noirs dans ce spectacle, qui a finalement été retiré de l’affiche après seulement trois représentations. Dans le tumulte de cette controverse, toutes les parties ont parlé, parfois même crié, mais personne ne s’est véritablement compris. Dans le but de faire avancer ce débat de société, les protagonistes, d’un côté comme de l’autre, ont accepté de parler à la journaliste Véronique Lauzon et aux documentaristes Maryse Legagneur et Arnaud Bouquet. Ceux-ci ont tendu leur micro tant aux artistes de SLĀV qu’à ceux qui ont été choqués par leur création. Par la voie de ce documentaire, les principaux intervenants ont accepté de rétablir le dialogue et de se parler ouvertement, dans l’espoir, peut-être, de s’entendre.
Entre elle et moi
Mireille Dansereau
Le portrait d’une femme joallière, Madeleine Dansereau, créatrice de la médaille du Québec, par sa fille cinéaste. Tissu, tissage d’images, le film fait la navette entre la volonté créatrice de la mère, qui prend naissance à l’annonce de son cancer – volonté en acte puisqu’elle apprend, puis exerce, le métier de joaillère- et l’histoire de sa fille, qui travaille, non les métaux, mais les images. Mireille Dansereau pratique variations et modulations: de la photographie fixe remise en circulation, entre mère et fille, dans l’instant du film, à l’image en mouvement autour des lieux de vie de la mère, de la fille, autour des bijoux de l’une et des films et vidéos de l’autre.
Entre mon nom et ton film – Hommage à Michel Brault

Geneviève Albert
Les Rendez-vous du cinéma québécois présentent une série de courts métrages conçus spécialement en hommage à l’un des pères fondateurs du cinéma québécois et du cinéma direct, Michel Brault. Hommage à ses films Les ordres 1974, 109 min, et Entre la mer et l’eau douce 1967, 85 min.