Autres films sur ce thème
La vie est un simple rendez-vous
Éliette Aubin
À l’école Irénée-Lussier de Montréal, un groupe de jeunes ayant une déficience intellectuelle monte un spectacle qui sera présenté au Théâtre Denise-Pelletier en fin d’année. Une aventure exceptionnelle avec des personnages attachants.
La vie heureuse de Gilles Z
Geneviève Albert
Un hommage à Gilles Carle, fabuleux et regretté cinéaste québécois.
La vie imaginée de Jacques Monory
Jennifer Alleyn
Depuis son atelier de la banlieue parisienne, le peintre Jacques Monory présente les toiles de sa prochaine exposition. Dans ce portrait intimiste, le septuagénaire, en paix avec la trace qu’il laissera, évoque au passage les obsessions de toute une vie. Au menu : monochromie, philosophie et révolvers.
La vie rêvée
Mireille Dansereau
La rencontre, le développement, la crystallisation de l’amitié entre Isabelle et Virginie, sont le noyau du film autour duquel se greffent images, rêves et fantasmes. Elles sont de tempérament différents : l’une est plus sensuelle et plus réaliste, l’autre est plus émotive et naïve. L’une plus dramatique, l’autre plus romantique mais elles se donnent confiance mutuellement. C’est un film sur les Images – la démystification des Belles Images et des rêves qui hantent l’esprit des femmes. Retour à l’enfance sans responsabilité (qui ressemble étrangement à l’état où on a tenu les femmes si longtemps – désir de trouver l’homme qui règlera tous les problèmes). Désir de se libérer de cette femme (la mère) qui empêche la jeune fille de rejoindre son homme idéal (le père). Ces images incrustées dans la psychologie inconsciente du monde féminin seront dans le film pour laisser place bien sûr à de nouvelles images.
La violence ordinaire
Johanne Fournier
Observation des petites violences du quotidien qui nous minent.
La voisine
Diane Poitras
La Voisine est une adaptation cinématographique d’une chorégraphie de Dulcinée Langfelder.
Labyrinthe atypique / Atypical Maze
Martine Asselin
Oeuvre collective bilingue de réalité virtuelle produite dans le cadre du projet « Dans la tête: une expérience immersive » avec l’Agence Topo (2017-2018). Cette oeuvre de déambulation interactive a été créée en collaboration avec un groupe de jeunes adultes autistes. Chaque participant bénéficiait de son espace dans cette «galerie» virtuelle et était libre d’y partager une de ses passions, ou encore d’exprimer une réflexion par rapport à l’autisme ou à son vécu. Un portrait de chacun à proximité de l’oeuvre permet d’en apprendre davantage à leur sujet.
Laissez-nous raconter
Kim O’Bomsawin
Les 11 premiers peuples au Québec et Labrador – Abénaki, Anishnabe, Atikamekw, Cri, Innu, Inuit, Kanien’kehá:ka (Mohawk), Mi’gmaq, Naskapi, Wendat et Wolastoqiyik (Malecite) – nous racontent, à leur manière et de leur point de vue, leurs visions du monde, leurs valeurs et modes de vie, leurs spiritualités, leurs mythes et légendes, leurs blessures et leurs espoirs. Pour ainsi enrichir le récit collectif, décoloniser l’Histoire et contribuer à l’avenir de la Terre-Mère. Épisode 1: Le territoire Épisode 2: L’identité Épisode 3: La spiritualité Épisode 4: La réparation
Larguer les amarres
Johanne Fournier
Catherine, 21 ans, veut devenir cinéaste. Mais elle aime avant tout parcourir le monde pour savourer sa liberté. Johanne, 44 ans, est cinéaste de métier. Décidant de vivre plutôt que de filmer la vie, elle choisit de retourner en Gaspésie rejoindre son amoureux, alors que Catherine s’envole pour Vancouver et le Yukon. D’ouest en est, avec deux caméras en guise de stylos, sans équipe technique, les deux femmes entretiennent une correspondance cinématographique. Tour à tour cartes postales, courts reportages, billets griffonnés ou tableaux soigneusement élaborés, les lettres tissent la trame narrative du film. Il y est question de voyages, du métier, et de l’importance de vivre. À la fois toniques et tendres, ironiques et graves, les envois se croisent, porteurs de complicité heureuse et d’un manifeste plaisir de créer des images pour raconter cet été où fut tourné le premier film de la fille qui voulait faire le même métier que sa mère…
Las Quimeras del diablo (Le songe du diable)
Mary Ellen Davis
De la danse folklorique des 24 Diables surgit une nouvelle perspective sur la réalité du Guatemala. Les Diables dévoilent un puissant antagonisme, qui surgit des temps modernes et de la mythologie. En guerre contre l’humanité, ils entament la «capture des âmes», escortés par la Mort qui décrète la fin du genre humain.Le Guatemala, un pays scindé entre autochtones et blancs, riches et pauvres, civils et militaires. Sur les plantations de coton, les autochtones ne gagnent que deux dollars par jour, et leurs enfants, moins de la moitié de ce montant. Oser protester, c’est risquer sa propre vie. Ce documentaire donne la parole aux Guatémaltèques.Embrassant lyrisme, réalisme et ironie, Le Songe du Diable sillonne l’univers paradoxal de ce pays. On y explore la beauté des paysages, les habitants et leur richesse culturelle, mais on s’y heurte aussi à des conditions de vie ingrates, au spectre omniprésent de la violence, et à un sentiment envahissant d’absurdité.
Le chant des étoiles
Nadine Beaudet
À travers la rencontre inédite de l’astronomie et de la musique, ce film porte un regard universel sur nos rapports au temps et à la mémoire. Gilles Beaudet, astrophysicien jovial et terre-à-terre, perd sa mémoire court terme, mais sait toujours raconter avec émerveillement la naissance des étoiles. Margo, sa compagne passionnée, dirige un choeur d’enfants. En parallèle, Bernard Malenfant, opérateur du télescope de l’Observatoire du Mont-Mégantic, partage avec sa fille Blanche, âgée de 5 ans, ce territoire magique, immense terrain de jeux et de liberté.
Le chant des ondes
Caroline Martel
Le Chant des Ondes nous plonge dans l’univers musical et humain d’un instrument électronique de musique aussi fragile que magique: les ondes Martenot. Le Martenot a une sensibilité si inouïe que près d’un siècle après son invention, musiciens, artisans et scientifiques cherchent encore à en percer les secrets. Parmi eux, le fils de l’inventeur Jean-Louis Martenot, la «Jimi Hendrix des Ondes» Suzanne Binet-Audet et Jonny Greenwood de Radiohead. Intégrant cinéma direct, archives inédites et une riche trame musicale et sonore, ce long-métrage documentaire évoque les origines et le fonctionnement des ondes Martenot pour mieux nous faire basculer dans leur mystique. Intrigue au présent sur fond d’histoire, Le Chant des Ondes poursuit le rêve inachevé de cet instrument qui nous mène au cœur même du mystère de la musique.
Le dernier Nataq
Lisette Marcotte
En tant qu’auteure et réalisatrice venant de Rouyn Noranda, dans ce documentaire très personnel je cherche à comprendre l’esprit du lieu qui a donné naissance à la poésie de Richard Desjardins. La réalisation d’une murale en son hommage à l’été 2018 devient un prétexte pour rencontrer le poète de Rouyn et revenir aux sources de sa création. Il est revenu sur ses films, nous racontant entre autres comment ça été difficile pour lui le ressac de la diffusion de « l’Erreur Boréale ». Vingt ans après ce film coup de poing, il nous partage ses réflexions sur les grands enjeux environnementaux.
Le design est partout
Caroline De La Ronde
Une série qui vise à faire connaître le design à un large public en démontrant que partout autour de nous, dans notre quotidien, on fréquente des lieux et on utilise des objets qui ont été conçus par les designers.
Le Diable au corps
Johanne Prégent
Parmi la multitude d’êtres humains aux prises avec la maladie mentale, des artistes s’expriment dans des oeuvres empreintes d’une souffrance et d’une émotivité à fleur de peau. Au Centre hospitalier Robert-Giffard, à Québec, ils bénéficient d’un programme d’accompagnement artistique appelé Vincent et moi, qui leur fournit le matériel nécessaire à la pratique de leur art et un lieu d’exposition annuel. C’est une façon de valoriser le malade et de l’inscrire dans la collectivité pour qu’il retrouve l’estime de lui-même et la reconnaissance extérieure.
Le Golem de Montréal
Isabelle Hayeur
Grâce à une recette juive du 15e siècle, un jeune garçon réussit à créer un homme pas très futé mais inoffensif (un Golem), qui exécute à la lettre tous les ordres qu’on lui donne. Mais le Golem cherche à retourner à Prague, et de plus, il suscite l’envie d’une bande rivale.
Le grand rêve du petit Champlain
Isabelle De Blois
Une aventure architecturale, artistique, historique et sociale initiée par deux visionnaires, deux amis rêveurs, Gerry Paris et le père de la réalisatrice Jacques de Blois, architecte. La petite histoire de la rénovation du Quartier Petit-Champlain à Québec, vue de l’intérieur avec ceux qui y ont collaboré.
Le jardin oublié – La vie et l’oeuvre d’Alice Guy-Blaché
Marquise Lepage
Un long métrage documentaire qui réhabilite la mémoire de la première réalisatrice de l’histoire du cinéma, morte oubliée de tous, au New Jersey, en 1968, à l’âge de 95 ans. Le film reconstitue l’univers de cette femme remarquable grâce à des entrevues réalisées par les télévisions européennes autour des années 1960, des extraits de ses films, des archives familiales, des témoignages de personnes qui l’ont connue, d’universitaires et d’historiens du cinéma.
Le journal de Francine
Marilú Mallet
Marilú Mallet a filmé l’artiste Francine Simonin en plein processus de création, souvent en compagnie de précieux collaborateurs, et l’a suivie dans ses lieux de travail: son loft de Montréal, sa résidence secondaire d’Évian, où elle séjourne quatre mois par année, à Lausanne, dans l’atelier de Raymond Meyer où elle a réalisé plus de 1000 gravures, et enfin à Barcelone. Pour cette artiste prolifique, femme intelligente, voyageuse et curieuse, la peinture n’est pas intellectuelle, mais viscérale. Sa pratique artistique lui permet de sortir de sa carapace, et de voir jailir et défiler, à travers une gestuelle picturale, ses implusions. Le film explore le travail actuel de l’artiste et nous permet de partager les joies de sa création, ainsi que la frénésie de son intense activité artistique.
Le lien cosmique
Catherine Fol
Que savons-nous de notre présence sur Terre? À travers les recherches de scientifiques renommés, Le Lien cosmique nous fait découvrir les nouvelles connaissances concernant l’origine de la vie sur Terre et l’évolution complexe dont nous sommes issus.
Le long cri du train qui passe se glisse au coeur des spectres et tout explose en silence
Anne-Marie Bouchard
Film d’animation expérimental construit autour d’une seule prise de son, évoquant le déplacement, le besoin de communiquer, la solitude, la fragilité, l’aspiration à la liberté, l’arrivée de l’automne, notre existence éphémère.
Le monde d’Adrien
Katerine Giguère
Entrer dans l’univers d’un enfant est toujours un privilège. Adrien chérit un monde bien unique. En passant par plusieurs formes d’art, Adrien nous partage ses passions, sa sensibilité et sa vision du monde, qu’il ose déjà définir.
Le petit Jean-Pierre, le grand Perreault
Paule Baillargeon
Jean-Pierre Perreault aura réinventé la danse sonore et marqué la chorégraphie par sa vision unique. La cinéaste Paule Baillargeon a recueilli l’ultime témoignage du créateur de Joe, avant sa mort en décembre 2002. Extraits de chorégraphies, photos et peintures puisées dans son oeuvre nourrissent ce portrait intimiste d’un grand artiste inspiré par le «vrai monde».