Autres films sur ce thème
Gagner le nord!
Évangéline De Pas
À l’issue d’un concours organisé par Radio-Canada, Gracia Bahati été sélectionnée pour vivre l’aventure de Gagner le Nord. En août 2010, elle est montée à bord du brise-glace NGCC Des Groseilliers de la Garde côtière canadienne en compagnie d’une équipe de télévision pour participer à une mission scientifique dans le Grand Nord canadien. Le brise-glace est parti de Nanisivik au Nunavut, situé à 280 km au nord-ouest d’Iqaluit, pour se rendre à la station météorologique Eureka, établie sur l’île d’Ellesmere dans l’extrême Arctique.
Guatemala – Tierra maya

Julie Corbeil
Le Guatemala est un pays d’Amérique centrale situé juste au sud du Mexique. Il fait partie de l’Amérique latine et sa population est de 16 millions d’habitants, dont la majorité est de descendance directe des Mayas. S’il y a quelques milliers d’années la civilisation maya était l’une des plus puissantes de la planète, les désastres naturels, les conquêtes européennes et les récents conflits armés ont donné du fil à retordre à son peuple. Les cinéastes Julie Corbeil et Ugo Monticone vous propose une rencontre avec le fascinant mélange de cultures du Guatemala. Un voyage dans un pays où les traditions ancestrales sont profondément ancrées dans le présent.
Héen Tàak – Le fond de l’eau
Nathalie Lasselin
Héen Tàak est un documentaire explorant la nature sauvage du passage intérieur en Alaska. Une découverte de la pointe des glaciers au fond de l’océan en compagnie d’hommes et de femme qui vivent une relation privilégiée avec l’eau et un regard empreint d’amour et de respect. La nature sauvage offre un spectacle unique qui nous surprend sur et sous l’eau à la rencontre d’espèces plus fascinantes les unes que les autres.
Horse-Drawn Magic

Dorothy Todd Hénaut
Film drôle et touchant sur une troupe de comédiennes et comédiens qui voyagent avec des roulottes de gitans tirées par de grands chevaux Clydesdale, amenant la magie du théâtre dans les villes et villages de l’ouest canadien.
Hortense

Jenny Cartwright
Hortense est une transposition sonore de la nouvelle La roseraie d’Esther Rochon. Elle raconte un voyage en mer, des mondes parallèles, des têtes tranchées. C’est de la science-fiction. C’est surtout le récit de l’émancipation d’une femme.
Hotel Chronicles

Léa Pool
D’hôtel en motel partout à travers l’énorme pays, la caméra pose sa lentille devant des citoyens animés ou désillusionnés par le rêve américain, alors que tout le monde cherche ses 15 minutes de gloire et que certains privilèges sont menacés.
Ikaluktuutiaq en avril
Lysanne Thibodeau
Essai documentaire. Une semaine dans le Grand nord à Cambridge Bay au Nunavut.
Il était 6 fois
Liane Simard
Après avoir inscrit son fils dans une école alternative, une mère, en quête de la meilleure éducation pour celui-ci, décide de documenter son parcours pendant tout son primaire. Pendants six ans, armée de sa caméra, elle suit un groupe d’enfants et les voit grandir, s’épanouir et devenir autonomes. Au fil des ans, les enfants s’imprègnent des valeurs enseignées dans cette école, lesquelles sont même notées au bulletin. Lorsque son fils gradue et se prépare pour le secondaire, c’est plutôt la mère qui se voit la plus transformée par ce système de valeurs. Lequel des deux sera le plus autonome aujourd’hui? Tourné de manière intimiste dans un style caméra vérité Il était 6 fois est un film touchant qui aborde l’apprentissage des valeurs humaines et le passage de l’enfance à la puberté. Un « road movie » à la conquête du temps…
In Search of a Lost Continent

Elza Kephart
Le film est raconté du point de vue d’une schizophrène, ou serait-elle une mystique, qui se balade à travers la ville à la recherche d’un mythique continent perdu.
Ithaque
Phyllis Katrapani
Ithaque, une allégorie sur le voyage inspirée du poème Ithaque de Constantin Cavafy. Ce poème dit en voix-off, évoque le retour d’Ulysse vers son île natale. Un homme fait un long voyage en train. Les paysages défilent ainsi que différentes images de sa vie, sans chronologie. Rêve et réalité se confondent, le voyage d’Ulysse et son propre voyage physique et intérieur.
J’ai comme reculé, on dirait
Sophie Bédard Marcotte
Tourné entre Montréal et Berlin, vacillant entre portrait intimiste et autoportrait impressionniste, J’ai comme reculé, on dirait capture le quotidien de Renée, Danielle et Sophie avec une esthétique crue et immédiate et un humour empreint d’auto-dérision.
J’y suis, j’y reste
Lisette Marcotte
La série J´y suis, j´y reste présente certains des plus beaux coins de pays du Québec. Chacun des 13 épisodes fait découvrir un lieu qui se distingue par sa beauté exceptionnelle, par son histoire et par les gens qui l’habitent et qui l’aiment.
J’suis toute mêlée!
Annie Deniel
Paris-Montréal. Montréal-Paris. Deux portraits croisés de femmes en quête de liberté ayant à faire face à une réelle adaptation même si elles ont choisi d’immigrer dans des pays « cousins ». À travers leur cheminement, la réalisatrice s’interroge. A-t-on vraiment conscience, lorsque l’on part s’installer ailleurs, des renoncements et des remises en question que cela implique? La quête identitaire n’est pas un parcours sans peine. Il peut falloir des années pour assumer notre choix et le faire accepter par nos proches.
Jess Goes West

Guylaine Dionne
Une traversée du Canada avec Jessica Vigneault. En route pour Banff on s’arrête chez sa grand-mère maternelle à Souris au Manitoba et on souligne l’importance de la langue française dans les provinces canadiennes.
L.A. Tea Time

Sophie Bédard Marcotte
Une cinéaste coincée dans un hiver montréalais aride et sans travail entraîne sa directrice photo dans une quête improbable à travers les États-Unis. L.A. Tea Time est un carnet de voyage hors du commun, parfois méditatif, parfois hanté, qui relate les aventures de Sophie et Isabelle avec humour, détours et fantaisie.
L’art érotique
Martine Asselin
L’attrait pour le corps humain et sa sensualité est depuis toujours un des moteurs les plus puissants de la création artistique. À travers un parcours mené dans une douzaine de pays, l’animatrice Anik Magny rencontre des artistes contemporains qui explorent les replis du désir et de l’interdit, nous offrant des œuvres étonnantes qui stimulent les sens et la réflexion.
L’Île aux fleurs
Katerine Giguère
Louise et François partent sur l’Île de Flores en Indonésie afin d’instaurer des jardins de plantes médicinales et établir les bases d’un projet d’écotourisme à titre de coopérants. Pour ces deux québécois, c’est un véritable rêve! Mais les infrastructures locales défaillantes et la corruption endémique ont tôt fait de les ramener à la réalité. Le couple persiste, et, à travers les liens de cœur qu’ils établissent avec les habitants du village de Lekolodo, vont au bout de leurs projets. Plus d’un an après leur retour au Québec, leur héritage perdure sur l’île et constitue un inspirant modèle de coopération.
L’Absent
Céline Baril
Paul Kadar, architecte et musicien, de passage à Budapest, fut pris d’un grand vertige en contemplant le Danube et s’y jeta. Ce film est le journal d’un bonheur partagé entre Paul, sa femme Françoise et Roland, leur jeune fils adoptif. C’est aussi l’histoire de Roland, plusieurs années plus tard, parcourant le monde pour épuiser ses souvenirs et tenter de compléter une partition de Paul, à demi-effacée, retrouvée sur lui après sa mort.
L’Île aux oiseaux

Émilie Baillargeon
L’architecte Pierre Thibault et son équipe quittent l’atelier pour aller à la rencontre des paysages qui deviendront leurs laboratoires de création le temps d’un été. Libérés de leurs contraintes habituelles et de la rigueur de leur pratique, ils transportent avec eux une simple structure de bois et se laissent guider par l’esprit des lieux.
L’invincible
Monique Crouillère
Oumar, un jeune malien vient passer un mois dans la famille de Céline dans un programme d’échange. Plusieurs chocs culturels attendent l’adolescent.Film destiné aux 8-12 ans des écoles canadiennes afin des les sensibiliser à l’interdépendance planétaire.
La canadienne-française
Sarah Pellerin
Thomas Stein, un francophile torontois en visite à Montréal, tombe sous le charme d’une Montréalaise qui s’est fait voler ses draps dans une buanderie. Ensemble, ils cherchent le voleur.
La course des amériques
Catherine Fol
Des États-Unis au Brésil, nous faisons la rencontre de citoyens de tous âges et de toutes classes sociales, acteurs dans leur milieu, à la ville comme à la campagne.
La mémoire tranquille

Naomie Décarie-Daigneault
Une meute d’enfants jouent dans une rue tranquille d’un quartier résidentiel bordé par une voie ferrée. Nous sommes à Cartierville, dans les années 60, en pleine Révolution tranquille. Mon père et ses frères et soeurs mènent la vie typique de la petite-bourgeoise canadienne-française qui émerge dans ces années-là: les étés au bord de la mer, les cigarettes fumées en cachette, la découverte du rock and roll, la crise d’Octobre… Au travers des événements phares qui jalonnent l’histoire du Québec se déroule une autre histoire, plus petite cette fois, celle de la famille et de ses drames ordinaires. Composé d’images d’archives et d’entretiens menés auprès des membres de ma famille paternelle, La Mémoire tranquille tente de démêler l’histoire familiale afin d’en déceler les traces agissantes en soi. Il s’agit d’un témoignage sur l’importance de la parole et de la mémoire pour se libérer de souffrances héritées des ancêtres.
Larguer les amarres
Johanne Fournier
Catherine, 21 ans, veut devenir cinéaste. Mais elle aime avant tout parcourir le monde pour savourer sa liberté. Johanne, 44 ans, est cinéaste de métier. Décidant de vivre plutôt que de filmer la vie, elle choisit de retourner en Gaspésie rejoindre son amoureux, alors que Catherine s’envole pour Vancouver et le Yukon. D’ouest en est, avec deux caméras en guise de stylos, sans équipe technique, les deux femmes entretiennent une correspondance cinématographique. Tour à tour cartes postales, courts reportages, billets griffonnés ou tableaux soigneusement élaborés, les lettres tissent la trame narrative du film. Il y est question de voyages, du métier, et de l’importance de vivre. À la fois toniques et tendres, ironiques et graves, les envois se croisent, porteurs de complicité heureuse et d’un manifeste plaisir de créer des images pour raconter cet été où fut tourné le premier film de la fille qui voulait faire le même métier que sa mère…