Autres films sur ce thème
Hier encore, je t’espérais toujours

Catherine Veaux-Logeat
Nadine Bari nous emmène sur une route en Guinée à la recherche de son mari guinéen. En chemin, elle nous raconte sa longue bataille auprès des autorités politiques pour découvrir la vérité sur la disparition de son mari. Parsemée de grands espoirs et de profonds désespoirs, son histoire ressemble à celle de milliers de femmes qui cherchent encore aujourd’hui la vérité sur le sort de leur mari, père, frère et fils disparus. Inspiré des romans autobiographiques de Nadine, Hier encore, je t’espérais toujours pénètre au cœur de l’enquête et de cette histoire d’amour inébranlable.
Histoire infâme

Nicole Giguère
S’appuyant sur une chanson de Louise Portal, ce court métrage musical illustre quelques aspects de l’histoire des femmes en intégrant fiction, archives et effets visuels.
Histoires de musées
Carole Laganière
Musée des civilisations, Hull : Un homme renoue avec ses racines amérindiennes en compagnie de son jeune fils. Musée de Sherbrooke: Une femme, qui remet en question sa vie, se réfugie au musée. Musée d’art de Joliette: Un ange tombé du ciel se retrouve en mission dans un musée d’art religieux et moderne.
Hotel Chronicles

Léa Pool
D’hôtel en motel partout à travers l’énorme pays, la caméra pose sa lentille devant des citoyens animés ou désillusionnés par le rêve américain, alors que tout le monde cherche ses 15 minutes de gloire et que certains privilèges sont menacés.
Huguette Uguay, l’envers de Madame Bec-Sec
Sarah Fortin
À l’abri des regards, Huguette Uguay a dédié sa vie à enseigner et à défendre la langue française avec la même rigueur et le même humour que son alter ego télévisuel. Le film est un portrait de la femme, comédienne, professeure, passionnée de théâtre et de poésie, où témoignent quelques uns de ses nombreux étudiants du Conservatoire d’art dramatique. Film sur la langue, c’est aussi un film sur la langue tout court, sur ses grandeurs et misères bien québécoises.
Intimités francophones
Anne-Céline Genevois
intimités francophones est une conversation entre les francophones des Amérique. Ils nous racontent leurs enjeux et leurs cultures façonnées par la pluralité des langues des territoires (États-Unis: Louisiane, Maine, Canada: Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Écosse, Ontario et Haïti: Port-au-prince, Cap-Haïtien). À chaque instant, les identités se dévoilent, les mots se délient, les luttes se précisent.
Iqqaumavara – Je m’en souviens

Évangéline De Pas
Marquise Lepage
Iqqaumavara raconte une des pages les plus sombres et les plus méconnues de l’histoire canadienne : le déplacement par le gouvernement canadien, au milieu des années 1950, de 19 familles inuites du Grand Nord québécois dont celle de Martha Flaherty pour les installer en Extrême Arctique. Abandonnées dans le climat le plus inhospitalier de la planète, elles ont affronté le froid intense et la faim pendant des années. Ce site Web trilingue (inuktitut, français et anglais), produit par La Société Makivik en coproduction avec l’Office national du film du Canada (ONF), propose courts métrages, entrevues, photos et documents d’archives pour ne pas oublier ce drame humain et ses répercussions qui se font sentir encore aujourd’hui.
Irena’s Vow
Louise Archambault
L’incroyable histoire vraie de l’infirmière polonaise Irena Gut Opdyke qui a sauvé 12 personnes juives pendant la Deuxième Guerre mondiale en les cachant dans la villa d’un officier allemand.
Is The Crown At War With Us?

Alanis Obomsawin
Regard fouillé sur le conflit entre les Mi’gmaqs et leurs voisins non autochtones au sujet des droits de pêche à Burnt Church au Nouveau-Brunswick. Long métrage documentaire sur la petite communauté autochtone d’Esgenoopetitj, ou Burnt Church, au Nouveau-Brunswick, à qui le gouvernement canadien semble avoir déclaré la guerre à l’été 2000. Comment expliquer cette attaque? Pourquoi des officiers du gouvernement canadien ont-ils recours à un tel comportement envers des citoyens qui exercent un droit reconnu par le plus haut tribunal du pays? Jetant ses filets cinématographiques et intellectuels dans l’histoire pour fournir un contexte, Obomsawin délimite les racines complexes du conflit avec passion et clarté, construisant une défense persuasive de la position Mi’kmaq.
Jacques Parizeau, l’homme derrière le complet à trois pièces
Marquise Lepage
Jacques Parizeau laisse si peu de gens indifférents et c’est un homme d’une incroyable vivacité d’esprit dont on connaît peu les réalisations et le parcours. L’histoire de sa vie fait ressortir certains éléments moins connus du politicien et de l’homme, des faits inédits, surprenants et déroutants sur ce désarmant personnage qui a marqué l’histoire du Québec.
Janette et filles

Léa Clermont-Dion
Qu’a accompli Janette Bertrand, qu’a-t-elle contribué à changer durablement? Elle a été journaliste, comédienne, scénariste, auteure, psychologue… À travers son combat pour faire sa place, elle a donné une voix à toutes celles que l’on refusait d’entendre jusqu’à devenir un modèle pour plusieurs générations de femmes qui, à leur tour, inspirent les suivantes. Toutes, filles de Janette : Guylaine Tremblay, Martine Delvaux, Noémi Mercier, Kim Lizotte, Claudia Larochelle, Régine Bertheau, Chris Bergeron et Gabrielle Boulianne-Tremblay.
Jazz Club Owner
Guylaine Dionne
Filmé sur plusieurs années, le film retrace les activités quotidiennes de Joel Giberovitch, le propriétaire et directeur artistique du UPSTAIRS, un petit club de jazz au centre-ville de Montréal. Jazz Club Owner, tente de révéler les secrets du travail passionné et acharné de Joel afin d’attirer les plus grands noms du jazz au Upstairs à tous les jours de l’année depuis 25 ans. Le film présente entre autre la préparation des soirées des Heath Brothers, Jimmy Cobb, Ranee Lee, Sheila Jordan, Peter Bernstein Quartet, Ben Sidran, Mark Guiliana, Jim Doxas, Nir Felder, Tim Lefebvre, Fred Hersch et Guillaume Martineau.
Je m’appelle Kahentiiosta

Alanis Obomsawin
L’histoire d’une jeune Mohawk de Kahnawake arrêtée au terme du conflit armé de 78 jours, la crise d’Oka en 1990. Kahentiiosta était à Kanehsatake, du début à la fin de la crise. Le film décrit ce qu’elle y a vécu, puis surtout sa comparution au tribunal parce que le Procureur général n’acceptait pas son nom mohawk et enfin sa vie et celle d’autres «warriors» au camp militaire de Farnham.
Je m’appelle humain

Kim O’Bomsawin
« Sauvage » dit Joséphine Bacon, « ça veut dire être libre entièrement. » Lorsque les anciens nous quittent, un lien avec le passé disparaît avec eux. La femme de lettres innue Joséphine Bacon incarne cette génération témoin d’une époque bientôt révolue. Avec charisme et sensibilité, elle mène un combat contre l’oubli et la disparition d’une langue, d’une culture et de ses traditions. Sur les traces de Papakassik, le maître du caribou, Je m’appelle humain propose une incursion dans l’Histoire d’un Peuple multimillénaires aux côtés d’une femme libre qui a consacré sa vie à transmettre son savoir et ce lui de ses ancêtres. Dans sa langue, innu veut dire « humain ».
Je me souviens de Charlevoix
Louise Lamarre
Documentaire qui relate l’histoire des noms de lieux de la région de Charlevoix.
Je suis fan
Yanie Dupont-Hébert
Documentaire sur le phénomène des fans de musique examiné selon les époques, les âges et les cultures. Le film documentaire Je suis Fan explore la relation essentielle qui existe entre les artistes et leurs fans et comment celle-ci a évolué des années 50 à nos jours, ainsi qu’à travers l’histoire.
Jeanne Mance

Marquise Lepage
C’est à l’initiative du maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay, que l’historien Jacques Lacoursière, appuyé par d’autres historiens renommés, a entrepris une démarche d’un an qui a mené à la reconnaissance de Jeanne Mance à titre de fondatrice de Montréal à l’égal de Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve. Cette proclamation a été adoptée lors d’une séance extraordinaire du conseil municipal le 17 mai 2012, à l’occasion du 370e anniversaire de la fondation de Montréal.
Jess Goes West

Guylaine Dionne
Une traversée du Canada avec Jessica Vigneault. En route pour Banff on s’arrête chez sa grand-mère maternelle à Souris au Manitoba et on souligne l’importance de la langue française dans les provinces canadiennes.
Jeunes et passionnés
Joëlle Arseneau
Issus de tous les milieux, des jeunes Madelinots nous font part de leur passion. Cette série de capsules documentaires nous amène dans l’univers singulier de jeunes aux parcours diversifiés et inspirants : en passant de la chanson à l’intervention sociale, ces filles et ces garçons savent se distinguer dans leur domaine et insuffler la flamme qui brûle en eux.
Jutra

Marie-Josée Saint-Pierre
Par la magie du montage et de l’animation, Claude Jutra dialogue avec lui-même à différentes étapes de sa vie et devient ainsi le narrateur, toujours plein d’esprit, de sa propre biographie. Jutra est tout à la fois un hommage, un chant d’amour au cinéma et le récit du drame d’un artiste brillant parti trop tôt.
Kanehsatake – 270 Years of Resistance

Alanis Obomsawin
En juillet 1990, un litige autour d’un terrain de golf qui serait construit sur des terres kanien’kéhaka (mohawks) à Oka ouvrait la voie à une confrontation historique qui ferait les manchettes internationales et s’imprimerait dans la conscience collective du pays. La réalisatrice Alanis Obomsawin – tantôt avec une petit équipe, tantôt seule – a passé 78 jours derrière les barricades kanien’kéhaka pour filmer l’affrontement armé entre les manifestants, la Sûreté du Québec et l’armée canadienne. Sorti en 1993, ce documentaire phare a été vu dans le monde entier, remportant plus d’une douzaine de prix internationaux et entrant dans l’histoire du Festival international du film de Toronto, où il est devenu le premier documentaire à remporter le prix du meilleur long métrage canadien. Jesse Wente, directeur du Bureau des productions audiovisuelles autochtones, en parle comme d’un « moment charnière dans l’histoire du cinéma des Premiers Peuples ».
Kaspar

Diane Obomsawin
Ce film s’inspire de l’histoire de Kaspar Hauser, célèbre orphelin du 19e siècle. Isolé dans une cave depuis toujours, Kaspar ignore tout de la vie. Lorsque « l’homme en noir » vient le chercher, c’est tout un monde qui s’offre subitement à lui pour la première fois. Une fable impressionniste et poétique sur la découverte d’un univers aussi magnifique que terrifiant.
L’affaire Chantale Daigle: le documentaire

Gaëlle D’Ynglemare
L’affaire Chantale Daigle nous replonge dans cette saga qui a passionné le pays à l’été 1989, en retraçant pas-à-pas ses événements et ses rebondissements, en compagnie des militantes féministes qui ont supporté et accompagné Chantale Daigle au cours de ces mois marquants et fondamentaux pour le droit à l’avortement au Canada.
L’agriculture

Alanis Obomsawin
Série de courtes présentations des pratiques agricoles appliquées par les résidents de la nation líl̓’wate, près de Mount Currie, en Colombie-Britannique, qui illustrent la fertilité de leur territoire et leurs liens profonds à la terre. Ce court métrage fait parte de la série L’il’wata. Au début des années 1970, au tout début de sa carrière de documentariste, Alanis Obomsawin a visité la nation líl̓’wate, une Première Nation salish de l’intérieur de la Colombie-Britannique, et a créé une série de courts métrages où des Autochtones parlent de la culture, des histoires et du savoir-faire des Lil’wats.