Cinéma en ligne
Allô Téta Allô Jedo
Joudy Hilal
À l’aide de vidéos faites avec son téléphone, une réalisatrice d’origine syrienne livre un regard sur Montréal, sa ville d’adoption, à ses grands-parents qui sortent rarement de chez eux.
Avant l’automne
Sarah Baril Gaudet
À la veille d’un inévitable exil vers les centres urbains, la jeunesse du Témiscamingue est déchirée entre la quête d’un avenir meilleur et l’attachement à son territoire.
Là où je vis
Sarah Baril Gaudet
Là où je vis est une histoire faite de solitude et de vent, racontée avec la poésie de la toundra du Nunavik et les mots de la jeune Martha.
La main de fatma
Hejer Charf
Court métrage tourné en 2008 suite aux audiences publiques tenues par la Commission Bouchard-Taylor sur les accommodements raisonnables au Québec.
Avant la nuit
Nadine Gomez
Au fil de conversations avec Jean Pichette, sociologue et penseur politique passionné, la réalisatrice considère ce temps d’arrêt forcé comme une occasion de repenser, à partir de la crise actuelle, nos modes d’existence, notre rapport à l’autre, à la nature, à la science, à l’économie, à l’art, au politique, bref, à ce qui fait de nous des êtres humains.
Entre mon nom et ton film – Hommage à Michel Brault
Geneviève Albert
Les Rendez-vous du cinéma québécois présentent une série de courts métrages conçus spécialement en hommage à l’un des pères fondateurs du cinéma québécois et du cinéma direct, Michel Brault. Hommage à ses films Les ordres 1974, 109 min, et Entre la mer et l’eau douce 1967, 85 min.
Je me souviens
Naomie Décarie-Daigneault
Exercice inspiré des Je me souviens de Georges Perec. Ou quand ma grand-mère m’échappe et que je tente de la retenir.
Le temps retrouvé – Hommage à Michel Brault
Naomie Décarie-Daigneault
Les Rendez-vous du cinéma québécois présentent une série de courts métrages conçus spécialement en hommage à l’un des pères fondateurs du cinéma québécois et du cinéma direct, Michel Brault. Hommage à son film Le temps perdu, 1964, 27 min.
Je vous regarde de ma fenêtre
Naomie Décarie-Daigneault
Le récit de la rencontre entre papa et maman. Cartierville, théâtre des premiers amours.
Souterrains
Naomie Décarie-Daigneault
Une exploration de l’univers de Diane Obomsawin, à la fois cinéaste d’animation, illustratrice, auteure de bandes dessinées… et rêveuse en eaux profondes.
La petite fille d’avant
Hind Benchekroun
Enfant, Hind n’appréciait guère les chansons de la diva du monde arabe, Oum Kalthoum, que sa mère faisait jouer sans cesse sur le tourne-disque familial. Après 15 années vécues à Montréal, elle retourne dans son pays d’origine, le Maroc, et entreprend un dialogue avec des personnages clés, sa mère et sa cousine, deux femmes de générations différentes qui ont façonné son identité.
L’appel à l’orignal
Alanis Obomsawin
Les aînés Mariane et Athanas Jacob – de la communauté attikamek de Manawan – nous livrent les secrets de l’appel à l’orignal au moyen d’un cornet d’écorce. Ce magnifique cornet est un outil vital pour attirer l’orignal, un animal essentiel dans leur culture et leur communauté. Ce court métrage fait partie de la série Manawan réalisée par Alanis Obomsawin.
Les femmes me touchent
Nicole Giguère
Un film musical sur une chanson des Folles Alliées. Sur une chanson de Jocelyne Corbeil et de Christine Boilat, illustration des insultes inadmissibles faites au corps et à l’intellect féminins : harcèlement sexuel, publicité et vidéoclips sexistes, pornographie, violence conjugale, viol.
L’impossible été de Jules
Marie-Julie Dallaire
Tourné à Montréal sur une période de quatre mois (de mai à septembre 2020), L’impossible été de Jules suit l’évolution de la relation de la réalisatrice et de son fils de 19 ans, à travers une quinzaine de discussions redondantes sur l’importance — ou l’impossibilité, selon le point de vue — de suivre les consignes sanitaires imposées par la pandémie. Ce film fait partie de la collection La courbe : des histoires de distanciation sociale qui nous rapprochent. Cliquez ici pour en voir plus.
In Extremis
Nathalie Ducharme
Toujours plus haut, toujours plus fort. L’obsession d’une société extrême. Des personnages plus grands que nature mettent leur vie en danger pour atteindre le sommet de la gloire. Geneviève Goulet, alias Lufisto, une lutteuse qui se bat farouchement contre des hommes ou encore George St-Pierre, un gars bien ordinaire qui se transforme en gladiateur dans les combats ultimes, matchs de boxe sanglants qui entrainent souvent des blessures graves. À Paris des jeunes pratiquent le Parkour une course urbaine extrême où les participants doivent franchir des obstacles, et parfois même sauter d’un toit à un autre, comme dans les films d’action. Mais le bilan de cette tendance est de plus en plus tragique. En Bourgogne, des jeunes à la recherche de sensations fortes perdent la vie dans des jeux dangereux. Influencés par ce qu’ils voient à la télé ou au cinéma, ils cherchent eux aussi à se dépasser, à relever des défis irréalistes. Documentaire de la série 109.
Viva la Salsa
Nathalie Ducharme
Les danses latines font un retour en force. Place à la salsa! Avec la popularité croissante des musiques du monde, les Québécois se découvrent une passion pour les danses latines. La salsa, sensuelle et rythmée, permet aux couples de se rapprocher et de faire connaissance. À Montréal, les bars se font concurrence pour offrir des soirées de danse latine. Sur le territoire québécois, une vingtaine d’écoles de danse enseignent maintenant l’art de la salsa. Karina Marceau rencontre des danseurs qui ont fait de la salsa un passe-temps, voire même un mode de vie. Pendant que certains dansent pour faire des rencontres, d’autres se donnent corps et âme à la compétition. Ce documentaire nous amène enfin au pays d’origine de la salsa, Santiago de Cuba, berceau du Buena Vista Social Club, une ville où la musique et la salsa font partie du quotidien. Pendant que les musiciens se donnent en spectacle dans la rue, les Cubains dansent sur les trottoirs. Documentaire pour la série 109.
Élargir ses horizons
Louise Giguère
Vidéo sur les nouvelles réalités du marché du travail et les femmes. Quatre femmes sur le marché du travail s’expriment sur les nouvelles réalités du milieu de l’emploi : travail autonome, entreprenariat, changements technologiques, “re-engineering”… Cet outil d’intervention vise à donner aux femmes en recherche d’emploi le goût de sortir des sentiers battus, de découvrir de nouvelles avenues pour leur projet professionnel.
Sans voix sans visage
Lise Bonenfant
Documentaire onirique sur la violence des femmes. La violence au féminin, un sujet tabou, honteux, pourtant réel et de plus en plus fréquent. La nier équivaut à refuser de voir la détresse de celles qui demeurent prisonnières de leur comportement violent. C’est aussi refuser de leur donner une lueur d’espoir, une éclaircie. Sans voix sans visage aborde ce sujet délicat avec des femmes qui ont subi puis exercé la violence, pour finalement la surmonter.
Julie Hivon par Lisa Sfriso
Lisa Sfriso
Court portrait de la réalisatrice Julie Hivon, dans le cadre de la série Les Dames aux caméras.
Îles d’inspiration
Guylaine Dionne
Une relation singulière entre une étendue de terre entourée d’eau et un homme. Entre une vie particulière permettant de laisser libre cours à l’imaginaire d’artistes, de créateurs ou d’auteurs pour lesquels les mots, les dessins, les peintures semblent enfin avoir trouvé un refuge.
Là où je dors – Luan
Eza Paventi
Portraits documentaires d’enfants de la francophonie à travers le monde. Luan habite dans un appartement en plein cœur de Montréal, avec son père, sa mère, et son grand-frère. Elle a une toute petite chambre très colorée et un lit superposé. Elle adore faire de la musique et s’amuser avec ses amis.
Anne-Marie Ngô par Nicole Giguère
Nicole Giguère
Les Dames aux caméras présente une série de huit courts portraits de cinéastes québécoises de long-métrage de fiction. Capsule-portrait de la réalisatrice Anne-Marie Ngô. Anne-Marie Ngô est réalisatrice mi vietnamienne, mi québécoise mais 100% créative. Pour son premier long métrage À trois, Marie s’en va (2010) elle décide de produire et de réaliser son film elle-même entourée de plusieurs de ses ami-e-s et d’encore plus de moustiques, comme elle se plait à le raconter. Belle leçon d’audace que cette jeune cinéaste qui aime les défis. Elle est en train d’écrire son prochain film et de produire son deuxième bébé… prouvant que la création et la procréation peuvent cohabiter.
Tara Johns par Marquise Lepage
Marquise Lepage
Les Dames aux caméras présente une série de huit courts portraits de cinéastes québécoises de long-métrage de fiction. Capsule-portrait de la réalisatrice Tara Johns. Tara Johns est originaire de l’Ouest canadien et anglophone de naissance, mais francophile depuis longtemps. L’auteure de The Year Dolly Parton was my Mom (2011) (L’année où Dolly Parton était ma mère) s’est d’ailleurs établie au Québec depuis plusieurs années. Montréal est sa ville d’adoption mais c’est surtout le lieu où elle a eu la plus grande révélation de sa vie…
Bonne chance
Marie-Geneviève Chabot
Bonne chance relate les aventures et les questionnements d’une troupe d’art humanitaire, le Capoté Circus, dans son expédition de cent jours en Afrique. Ces jeunes intrépides veulent offrir un peu de la magie du cirque, proposer des ateliers aux plus jeunes et distribuer des condoms par centaines. En référence à ce qu’on écrit à l’arrière des véhicules qui s’engagent sur les routes accidentées d’Afrique, Bonne chance est un délicieux road movie. Bonne chance est un documentaire qui ose questionner la spontanéité et le romantisme de certains d’entre nous, désireux d’aider, mais peu portés à prendre le temps de demander aux premiers intéressés ce dont ils ont réellement besoin.