Cinéma en ligne
Hollywood Signals

Amandine Navarro
1975. Sur un tournage de film pornographique, des acteurs et figurants s’enivrent et profitent du moment entre deux prises. L’acteur principal du fameux film « Deep Throat » (Gorge profonde) nous parle du côté underground du milieu du film pornographique. Il prend le rôle du chanteur en faisant le playback.
Mr Hawk

Amandine Navarro
Le chanteur du groupe rentre chez lui après une grosse journée de travail. Il s’allume une cigarette et lance son application d’expérience virtuelle comme il le fait quotidiennement. Grâce à ses lunettes VR, il part à la rencontre de son animal totem, le faucon.
Leslie Love

Amandine Navarro
Leslie est une femme imbue d’elle-même, dotée d’un gros égo et d’une belle paire de bottes, tout lui est due. Se retrouvant dans un bar, elle bouscule le monde sur son passage, vole le verre d’un habitué, se sert du mascara d’une cliente… c’est une Queen, rien ne l’arrête.
Colours

Amandine Navarro
Entouré de son groupe de danseuses, Nick Saanto entre dans un drôle de musée. Accueillis par deux Drag queens, ils découvrent une pluralité d’identités Queer : une lesbienne, un homme trans, un enfant drag accompagné de Drag queens, un homme gay, un groupe de bisexuels. Enfermés dans des pièces et visibles à travers des vitrines, ils représentent des moments précis de l’histoire LGBTQ. La devise du Musée : «You can judge ok ? But don’t express yourself! » (Tu peux juger mais pas t’exprimer sur ce que tu vois). Toutes sortes de visiteurs sont présents pour regarder, découvrir et se questionner sur ces personnes… Par sa voix/son chant, Nick les libère du musée et permet ainsi à la communauté de célébrer leurs différences, au-delà de tout jugement.
Chill ou crève

Amandine Navarro
Après une soirée où l’alcool et la drogue est consommé à outrance, un groupe de jeunes se prépare à sortir mais l’un d’entre eux est malade. Les autres partent et le laissent seul dans la salle de bain… mais un étranger est entré dans la maison.
Femmes des casernes

Louise Leroux
Film d’action au féminin, Femmes des casernes pénètre les coulisses du milieu incendie montréalais et témoigne de la force de caractère des quelques femmes qui y travaillent. Tourné sur une période de trois ans, le film expose le quotidien de deux pompières d’expérience ainsi que les efforts déployés par deux recrues qui tentent de faire leur place dans ce milieu des plus traditionnels. À peine une trentaine de femmes font partie du Service d’incendies de Montréal, contre plus de 2300 hommes. Depuis quelques années, les choses commencent toutefois à changer, grâce au programme “Les filles ont le feu sacré”, une initiative destinée à sensibiliser les jeunes femmes aux attraits d’un métier valorisant, mais très exigeant. Dès les études, les aspirantes doivent redoubler d’efforts pour être acceptées dans un univers qui ne leur fait pas de cadeau. Comme en témoigne le parcours semé d’embûches des jeunes Justine et Karine, qui voudraient suivre l’exemple de Mélanie, pompière depuis dix ans à la caserne 41 du quartier Parc-Extension.
Et au pire on se mariera
Léa Pool
Comme l’enfer, l’amour est pavé de bonnes intentions. Et au pire, on se mariera, c’est l’histoire d’Aïcha, de ceux qui l’aiment, de cet amour qui dévore et qui détruit. Seule avec sa mère Isabelle, Aïcha ne pardonne pas à celle-ci d’avoir mis à la porte son beau-père algérien qu’elle adorait. Elle espère toujours qu’il reviendra la chercher. Lorsqu’elle rencontre Baz, un gars qui a le double de son âge, c’est le coup de foudre, le vrai, le fort, celui qui fait mal. Lui ne veut qu’aider cette jeune fille qui semble perdue mais elle désire bien plus de lui et elle est prête à tout pour l’obtenir. Suivre Aïcha, c’est entrer dans un labyrinthe pour s’y perdre autant qu’elle…
Avant la nuit

Nadine Gomez
Au fil de conversations avec Jean Pichette, sociologue et penseur politique passionné, la réalisatrice considère ce temps d’arrêt forcé comme une occasion de repenser, à partir de la crise actuelle, nos modes d’existence, notre rapport à l’autre, à la nature, à la science, à l’économie, à l’art, au politique, bref, à ce qui fait de nous des êtres humains.
Still Feel You With Me
Béatriz Mediavilla
Court métrage de danse relatant une expérience collective dansée à distance lors d’un atelier dirigé par Béatriz Mediavilla au Portland Dance Film Festival. Tourné en octobre 2020, pendant la pandémie de COVID-19.
Comme une vague

Marie-Julie Dallaire
Comme une vague rend hommage à la musique, cette séquence de sons abstraite, immatérielle et invisible qui provoque dans le cerveau la même réaction que le chocolat, le sexe ou la drogue. Conçu comme une vague cinématographique, ce documentaire nous porte de Montréal à Crémone en passant par la Suède, le Mexique et la Côte Ouest américaine à la rencontre de scientifiques et d’artistes fascinants qui, depuis leurs divers horizons, illustrent le lien essentiel entre le rythme, la musique, notre planète, le cerveau, la vie quotidienne et notre humanité collective.
Habiter le mouvement, un récit en dix chapitres
Béatriz Mediavilla
En 2017, Thierry Thieû Niang, important chorégraphe français, fait une tournée avec Cinédanse afin d’offrir des ateliers intergénérationnels à des non-danseurs. Voyage cinématographique où le geste réfléchi se confond dans cette grande chorégraphie humaine. Divisé en 10 chapitres, le long-métrage porte une réflexion à la fois poétique et ludique sur la beauté des gestes du quotidien qui nous définissent comme être vivant, sur le mouvement des corps et des humains. C’est aussi en quelque sorte, un portrait de Thierry Thieû Niang à travers ses chorégraphies. Une invitation à habiter le mouvement.
Danse avec elles
Béatriz Mediavilla
À Rouyn-Noranda, en Abitibi-Témiscamingue, existe une école de danse dirigée par la même personne depuis 45 ans. Avec son approche toute singulière, la chorégraphe Lynn Vaillancourt y enseigne divers styles de danse et le chant. Mais l’école PRELV ne se limite pas qu’à l’enseignement de la danse : on y transmet également des valeurs empreintes d’humanité et de dignité à des filles âgées de 4 à 20 ans. Pendant un an, la cinéaste Béatriz Mediavilla s’est intégrée aux activités de PRELV pour faire émaner les particularités de cette école et les liens qui unissent les jeunes élèves entre elles.