Cinéma en ligne
Les pays du Québec : Montréal urbain 1900-1950
Éliette Aubin
Un Montréalais de St-Henri se souvient des tramways, de l’avant et l’après-guerre et de la croissance des communautés juives et italiennes.
La vie est un simple rendez-vous
Éliette Aubin
À l’école Irénée-Lussier de Montréal, un groupe de jeunes ayant une déficience intellectuelle monte un spectacle qui sera présenté au Théâtre Denise-Pelletier en fin d’année. Une aventure exceptionnelle avec des personnages attachants.
Québec… Un peu… Beaucoup… Passionnément…
Dorothy Todd Hénaut
Les 50 dernières années de l’histoire du Québec, comme vues et vécues par Pauline Julien et Gérald Godin. La passion de son pays, des années de la grande noirceur duplessiste, en passant par «Maîtres chez nous» et la saga de René Lévesque et le grand rêve de l’indépendance, les larmes du premier réferendum, et la détermination, l’intelligence et la créativité d’une génération admirable.
Sylvia Safdie, gardienne des pierres
Doïna Harap
Reconnue sur la scène internationale, l’oeuvre de l’artiste montréalaise Sylvia Safdie est diversifiée et puissante. Elle puise ses matériaux de base dans les natures contrastées du Moyen-Orient et du Canada. Cette «nomade enracinée» inscrit dans ses installations les pierres, les terres et les lumières de partout où elle passe dans le monde. Sylvia Safdie est a la fois artiste, femme, immigrante, humaniste. Sa personnalité est aussi vibrante que ses oeuvres d’art. Sa capacité de communiquer autant par ses oeuvres que par ses paroles est extraordinaire. Gardienne de pierres est un film qui résonne avec la créativité et l’énergie de l’artiste pour nous toucher tous.
La Roumanie ma mère et moi
Doïna Harap
Eva n’a jamais été privée de liberté. Sa mère, oui. En 1981, celle-ci a fui la Roumanie Communiste pour éviter à son enfant de grandir sous cette dictature. Quand le mur de Berlin est tombée, suivi de la révolution roumaine en 1989, Doina consacre un film au retour dans son pays natal, avec sa fille de 16 ans. Au rendez-vous de ce voyage dans le temps: la jeunesse roumaine, ses espoirs et ses désillusions depuis le renversement du régime communiste.
Vivre en solo
Doïna Harap
Dans les grandes villes occidentales du monde, un tiers de la population vie en solo. C’est une déferlante, sans précédent dans l’histoire humaine, une tendance irréversible. De New York à Paris, via Vancouver et Montréal, les solos – nouveaux innovateurs sociaux, les chercheurs et les marqueteurs témoignent sur l’émergence d’un nouveau mode de vie.
Peter Krausz – No Man’s Land
Doïna Harap
Au milieu des champs colorés de Chypre, une blessure, une bande de terre brûlée, un «no man’s land»: la frontière. De part et d’autre, des paysans turcs et grecs cultivent cette même terre depuis toujours, mais sont désormais inscrits dans des histoires différentes. Cet essai documentaire invite le spectateur à réagir et à réfléchir à l’arbitraire des frontières, en l’impliquant, par le biais du cinéma, dans la genèse même de l’acte créateur de l’artiste multimédia Peter Krausz.
Vieillir en solo: le défi
Doïna Harap
Puisque l’espérance de vie atteint 77 ans pour les hommes et 85 ans pour les femmes, on peut présumer qu’une petite fille, née en 2003, aura une chance sur deux de devenir centenaire ! Nos sociétés ne savent pas très bien quoi penser, ni comment penser cette révolution démographique qui nous inquiète tout autant qu’elle nous réjouit, puisqu’elle crée un réalité entièrement nouvelle: celle des Fifty plus qui ont encore devant eux près d’une trentaine d’années à vivre… solo !
Solo parent
Doïna Harap
De solo à solo parent: rien n’est plus différent que ces deux modes de vie. L’un s’occupe de soi, l’autre ne s’appartient plus. À travers des personnages attachants, ce film révèle la nouvelle soloparentalité, la croissance du nombre d’hommes qui éduquent seuls leurs enfants, la réalité des célibataires adoptants, bref, la vie de ces innovateurs sociaux.
La voisine
Diane Poitras
La Voisine est une adaptation cinématographique d’une chorégraphie de Dulcinée Langfelder.
Nuits
Diane Poitras
Une traversée de la nuit depuis le crépuscule jusqu’à l’aube à la rencontre de divers noctambules. Comme autant de nuits parallèles réunies en une seule, le temps d’un film. Immobiles ou exubérantes, les nuits de l’intériorité, de la vulnérabilité et de la violence; les nuits de l’amour, de l’ivresse et du désespoir se côtoient. Ce parcours est sinueux. Il se propose d’arpenter divers paysages et états nocturnes, faisant surgir des images et des émotions ancrées dans nos mémoires individuelles et collectives.
Un léger vertige
Diane Poitras
Observateur de la scène politique et sociale, Philippe est journaliste pigiste. Entre deux «papiers», une entrevue à la radio ou un reportage à l’étranger, il se passionne sans répit pour l’actualité. Tout va pour le mieux jusqu’au moment où Catherine, sa fille de 15 ans, bousculera par ses projets d’adolescente un équilibre conquis avec les ans. Quitter l’école, faire du théâtre, travailler, vivre sa vie par elle-même, voilà les désirs de Catherine. Confronté à ces revendications, Philippe perd sa belle assurance et somme Catherine de faire preuve de lucidité. Ils se heurtent, se blessent : il a la force de l’expérience ; elle a l’audace de le mettre devant ses propres vérités et contradictions. Au fil de cette crise qui le déstabilisera, Philippe est forcé de réorganiser sa vie et de faire la part des choses. Le père et la fille se retrouveront, différents, changés, à la fois fébriles et plus confiants face à l’avenir.