Il n’y a pas d’oubli
- Fiction
- Drame
- 99 min
- 27 sec
- français, espagnol, anglais, s.-t. français
- 1975
Fiction sur la situation des exilés chiliens à Montréal. Dans Il n’y a pas d’oubli, composé de trois volets réalisés chacun par un jeune cinéaste chilien contraint de fuir son pays, il est question de la difficile condition d’exilés dans un contexte politico-social déterminé, en l’occurrence, le Québec.
Le premier volet, intitulé J’explique certaines choses, est en espagnol avec sous-titres en français, nous montre plus précisément le mode de vie d’un groupe de Chiliens.
Dans Lentement, qui forme le deuxième volet, nous est posé, par le biais de Lucia, jeune exilée chilienne, le problème de l’intégration à un nouveau milieu social.
Enfin Jours de fer (Steel Blues), troisième et seul volet disponible en anglais, est un cruel rappel de la dure condition de l’homme déraciné qui doit à tout prix trouver du travail pour assurer sa survivance.
Réalisé par :
Prix et distinctions : Mention Festival international du film de Locarno - Suisse 1976
Distribution : Office national du film du Canada (ONF)
Diffusion : Festival international du film de Locarno - Suisse
Salle à l'Office national du film du Canada (ONF)
Production : Office national du film du Canada (ONF)