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Jacques Parizeau, l’homme derrière le complet à trois pièces
Marquise Lepage
Jacques Parizeau laisse si peu de gens indifférents et c’est un homme d’une incroyable vivacité d’esprit dont on connaît peu les réalisations et le parcours. L’histoire de sa vie fait ressortir certains éléments moins connus du politicien et de l’homme, des faits inédits, surprenants et déroutants sur ce désarmant personnage qui a marqué l’histoire du Québec.
Sexe, caresses tendresse pour corps malade
Marquise Lepage
Des spécialistes expliquent à quel point la sexualité sous toutes ses formes est un besoin vital pour tout être humain quel que soit son âge ou son état physique. Mais surtout des couples nous livrent généreusement des pans de leur intimité et nous révèlent ce que la maladie a changé dans leur vie. Ils nous racontent les lumineuse découvertes qu’ils ont parfois faites sur eux-mêmes.
Il n’y a pas d’oubli
Marilú Mallet
Fiction sur la situation des exilés chiliens à Montréal. Dans Il n’y a pas d’oubli, composé de trois volets réalisés chacun par un jeune cinéaste chilien contraint de fuir son pays, il est question de la difficile condition d’exilés dans un contexte politico-social déterminé, en l’occurrence, le Québec. Le premier volet, intitulé J’explique certaines choses, est en espagnol avec sous-titres en français, nous montre plus précisément le mode de vie d’un groupe de Chiliens. Dans Lentement, qui forme le deuxième volet, nous est posé, par le biais de Lucia, jeune exilée chilienne, le problème de l’intégration à un nouveau milieu social. Enfin Jours de fer (Steel Blues), troisième et seul volet disponible en anglais, est un cruel rappel de la dure condition de l’homme déraciné qui doit à tout prix trouver du travail pour assurer sa survivance.
Mémoires d’une enfant des Andes
Marilú Mallet
Andahuaylillas, Pérou. Petit village perché à 3 300 mètres d’altitude dans la Cordillère des Andes. Sébastiana, 10 ans, raconte l’histoire à travers les «on-dit», les légendes et les coutumes des habitants de cette agglomération vieille de trois siècles. Des images d’une vie simple et harmonieuse gravées juste à temps, avant que le modèle occidental de la société de consommation ne s’installe.
Journal inachevé, vision subjective de l’exil
Marilú Mallet
Autoportrait d’une femme, exilée et cinéaste, qui questionne son identité et le couple qu’elle formait avec un réalisateur.
Chère Amérique
Marilú Mallet
Deux montréalaises, en apparence très différentes l’une de l’autre, parlent de leur vie, des choix qu’elles ont faits. La plus jeune, Catherine, Québécoise de souche, rêve d’avoir des enfants sans négliger sa carrière de claveciniste. L’aînée, Céleste, d’origine portugaise, a sacrifié l’amour de ses enfants pour faire fortune en Amérique; au fil des ans et des ménages, elle est devenue millionnaire. Chacune, à sa manière, recherche le bonheur.
2, rue de la mémoire
Marilú Mallet
Ana María, écrivain sud-américaine, vit dans un exil à la fois physique et psychologique. Elle rend visite à Carl Philippe, écrivain au passé trouble. Passé, présent, imaginaire et réalité sont filtrés à travers la vision subjective d’Ana María. La ville de Montréal devient un paysage onirique composé de souvenirs d’autres villes où elle a déjà vécu.
Double portrait
Marilú Mallet
An octogenarian, painter María Luisa Segnoret, undertakes to paint the portrait of her daughter filmmaker Marilú Mallet, whereas, mutually, this one makes film this event. A moving portrait of the relation of the filmmaker and her mother.
Sur les traces de Marguerite Yourcenar
Marilú Mallet
«…Les gens vieillissent comme ils sont…» Si la justesse de cette citation de l’écrivaine se confirme au quotidien, ce sont sans doute les trajectoires empruntées qui sculptent les êtres. Marguerite Yourcenar (1903-1987), première femme élue à l’Académie française en 1980, auteure des Mémoires d’Hadrien et de L’Oeuvre au noir, est l’incarnation même d’une érudition d’un autre temps. À la manière d’un road-movie, le film convie le spectateur à emprunter les principaux chemins parcourus par l’écrivaine, à poser son regard sur les paysages qu’elle a vus, à découvrir les lieux dont elle s’est imprégnée. Par des sensations évocatrices du passé qui recréent son univers, en Europe, en Amérique, en Égypte et en Inde, Marguerite Yourcenar transmet ses impressions, que viennent enrichir les témoignages de ceux qui l’ont connue. – Festival international du film sur l’art (FIFA)
Chers nonagénaires
Marilú Mallet
Au fil de mises en situation et de témoignages engageants, Chers nonagénaires nous entraîne dans l’intimité de quelques nonagénaires actifs qui nous font prendre conscience du rôle capital des aînés dans notre société.
Le journal de Francine
Marilú Mallet
Marilú Mallet a filmé l’artiste Francine Simonin en plein processus de création, souvent en compagnie de précieux collaborateurs, et l’a suivie dans ses lieux de travail: son loft de Montréal, sa résidence secondaire d’Évian, où elle séjourne quatre mois par année, à Lausanne, dans l’atelier de Raymond Meyer où elle a réalisé plus de 1000 gravures, et enfin à Barcelone. Pour cette artiste prolifique, femme intelligente, voyageuse et curieuse, la peinture n’est pas intellectuelle, mais viscérale. Sa pratique artistique lui permet de sortir de sa carapace, et de voir jailir et défiler, à travers une gestuelle picturale, ses implusions. Le film explore le travail actuel de l’artiste et nous permet de partager les joies de sa création, ainsi que la frénésie de son intense activité artistique.