Online cinema
Ocupa-se ou Mora-se • Ocupy or Die

Rozenn Potin
Portrait of squatters in São Paulo. Or when having a roof over your head is an almost inaccessible luxury!
Si a la vida (Oui à la vie)

Rozenn Potin
Avril 2007, l’État de Mexico devient le premier d’Amérique Latine où l’avortement est légalisé. En réaction, les gouvernements conservateurs dans plus de la moitié des états du pays, durcissent leur législation anti-avortement : donnant un droit juridique au foetus avant la mère! Dans l’état de Guanajuato, les femmes risquent de 25 à 35 ans de prison! Août 2010, Léon, état de Guanajuato, les partisans pro-choix et pro-vie défilent et s’affrontent lors de la conférence mondiale de la jeunesse. Oui à la vie… mais pour qui?
Tranche de vie sur pain blanc

Émilie Baillargeon
Rozenn Potin
Un film d’Émilie Baillargeon et Rozenn Potin réalisé durant KINOMADA Québec 2010.
Anne Trister

Léa Pool
Anne Trister is the chronicle of a young woman painter discovering herself, life and its ruptures. Shaken by the loss of her father buried in Israel, she leaves Switzerland and her past to settle in Montreal with a psychologist friend. To rebuild herself, she will experience an excessive painting project and an impossible relationship. Reality takes care of reframing Anne Trister in her love and artistic life.
Montréal vu par… Six variation sur un thème

Léa Pool
The film is made up of six short stories by six Canadian directors around the theme of Montreal. The six directors take their personal look at this city rich in contrasts. Desperanto (Patricia Rozema) – Using sketchy French, a young Torontonian experiences nightlife in Montreal. The Canvas of Time (Jacques Leduc) – The story of a painting by Jacques Viger The Last Game (Michel Brault) – After 40 years of marriage, a woman tries to tell her husband, during a hockey game, of her intention to divorce. By the way (Atom Egoyan) – At the airport, a conference participant is blocked by a customs officer. Rispondetemi (Léa Pool) – Following an accident, while being taken to the hospital by ambulance, a woman remembers moments of her life. Vue d’ailleurs (Denys Arcand) – An elderly woman, during a reception, remembers the great love she experienced in Montreal.
Daba Kamalen – Farmquest

Erica Pomerance
Series of 8 web clips for Farm Radio International and Farm Business Communications, Canada – Mali FarmQuest, or Daba Kamalen in Bambara, is an innovative reality radio program in Fana, Mali designed to encourage youth to consider farming as a profitable business, and not just a means of subsistence. It follows six young candidates competing to be named Mali’s “best new farmer.” FarmQuest was graciously supported by the Rockefeller Foundation’s Innovation Challenges fund in 2012.
30 minutes, Mister Plummer

Anne Claire Poirier
This short documentary profiles Canadian actor Christopher Plummer of the Shakespearean Theater, best known as The Sound of Music’s Captain von Trapp. In his dressing room, Plummer dons his make-up and prepares to enter stage as Cyrano de Bergerac.
La fin des étés

Anne Claire Poirier
Dans ce court métrage de fiction, Marie (Geneviève Bujold) vit en plein cauchemar depuis l’accident de Bernard, son frère. Cramponnée de façon excessive à cet être handicapé, elle veut en assumer la charge. Étienne, son fiancé, n’a aucun goût pour le sacrifice. Il reproche à Marie de croupir dans son adolescence. L’amour l’emportera. Dans un geste définitif, Marie se libérera des liens qui la retenaient encore à son enfance.
De mère en fille

Anne Claire Poirier
La femme peut-elle se réaliser entièrement tout en acceptant le plus difficile partage qu’implique la maternité? Tourné durant une grossesse réelle, basé sur le journal que la réalisatrice Anne Claire Poirier a elle-même tenu pendant l’une de ses grossesses, ce documentaire montre le corps de la femme enceinte, révèle ses émotions et ses angoisses. Ce film est le premier long métrage au sujet de la femme au Québec, réalisé en 1967, à la veille de la grande prise de conscience féministe.
Mourir à tue-tête

Anne Claire Poirier
Mourir à tue-tête s’attaque à un sujet que les mentalités collectives s’acharnent à considérer comme tabou : le viol de la femme, de l’individuel (le cas de Suzanne) au rituel (la clitoridectomie), en passant par celui de masse (les Vietnamiennes). Le film va cependant plus loin en forçant le spectateur à se poser les questions fondamentales. Pourquoi le viol existe-t-il? Est-ce le sort naturel des femmes d’être violées? Qu’est-ce que le viol abîme chez la femme? Et où se situe la justice des hommes?
Carol Wainio

Julie Perron
«Riches, tactiles et complexes, les œuvres de Carol Wainio exhalent toute la puissance de la peinture, mais ne portent pas sur la peinture. Elles sont plutôt ancrées dans le figuratif et les préoccupations externes. Carol Wainio travaille sur des toiles de grandes tailles, se sert d’une palette de couleurs réduite et parfois monochrome et joue avec la figuration. Ses œuvres engagent avec le public des conversations qui soulèvent des questions sur ce que sont les choses et ce qu’elles seront. En superposant des illustrations de contes de fées, des dessins d’enfant et des images tirées de la culture de masse, elle crée de nouveaux récits, sombres et tristes, où l’enchantement des contes de fées se perd dans les rebus d’une société de consommation.»
Mai en décembre: Godard en Abitibi

Julie Perron
«Ce court-métrage documentaire raconte le passage du cinéaste Jean-Luc Godard à Rouyn-Noranda, en décembre 1968. Quelques mois plus tôt, en mai 1968, la France est secouée par des manifestations populaires et une poignée de cinéastes en colère interrompt le Festival de Cannes. Au Québec, la montée du nationalisme conduit à des affrontements au cours des festivités du 24 juin. C’est dans ce contexte que l’on organise «Les dix jours du cinéma politique» au Cinéma Verdi, à Montréal, qui accueille Jean-Luc Godard, auréolé du succès de ses films À bout de souffle (1959) et Pierrot le fou (1965). Loin de s’en tenir à des rencontres avec ses admirateurs, le cinéaste caresse un projet. Accompagné d’une équipe de cinéastes français et canadiens, il ira à Rouyn-Noranda, où la télévision lui donne carte blanche, et y fera la révolution…»